Henri Grégoire

Bérénice acte II scène 4 Dans l’acte II scène 4, Bérénice et Titus entretiennent un dialogue déséquilibré. En effet, Bérénice cherche des réponses à ses questions auxquelles Titus ne parvient pas à répondre. 1 et 2) Dans ses répliques Bérénice ne cesse de questionner Titus. On peut le remarquer avec de nombreuses interrogations « ? » (v.562, 570, 573, 574, 575, 579, 580, 582, 584, 590, 591, 592 ; 596, 597, 598, 599, 619, 620, 629). Les phrases exclamatives « ! » (v.569, 571, 581, 596, 610, 619)

de plus en plus importante, système féodal où pouvoir émietté et Église comme institution stable du … au... : il faudra montrer une évolution XIème = début des croisades et des missions en Europe de l'Est, de la Reconquista, réforme grégorienne de Grégoire VII = affirmation de l'autorité du pape, construction d'églises, omniprésence, dév des ordres monastiques XII-XIII : poursuite de l'expansion mais contestations, ex hérésie cathare qui se répand XIIème et répression au XIIIème XIIIème : disparition

byzantin Michel VII, en donnant au Saint-Siège (= Vatican -> Pape) des espoirs quant à la réconciliation des deux Eglises (L’Eglise d’Occident (Chrétiens) et l’Eglise d’Orient (Orthodoxes), s’étaient séparées lors du Schisme de 1054), demanda au pape Grégoire VII des secours occidentaux. Il est possible que, malgré tout ce qui séparait l’Eglise d’Orient et l’Eglise d’Occident, le Saint-Siège ait mis sur pied les croisades dans un esprit de solidarité avec l’Eglise d’Orient contre les infidèles (les

canonique. C'est ce qu'on appelle le décret de Gratien rédigé par le moine Gratien. C'est une codification privée. -Le pape voit l'intérêt de cette codification alors il va rédiger une codification officielle, c'est ce qu'on appelle les décrétales de Grégoire IX rédigés en 1234. C'est un texte de droit canonique qui s'est appliqué pendant 7 siècles (1917).

l'Antiquité tardive mais la Papauté avait peu d'influence et peu d'évêques suivaient son autorité religieuse ou politique. Avant 750, les papes se préoccupaient essentiellement des controverses théologiques avec les Byzantins et sur les 850 lettres du pape Grégoire Ier (pape 590-604) qui nous sont parvenus, la vaste majorité concernait les affaires en Italie et à Constantinople. La christianisation de l'Europe occidentale, déjà bien avancée à la fin de l'Empire romain, se poursuivit et des missions furent notamment

ses principaux collaborateurs. L'apôtre de l'Irlande, saint Patrick, organisa l'Eglise d'une manière très originale; les monastères en constituaient le cadre; certains abbés cumulaient la charge épiscopale avec leur charge abbatiale. Le pape saint Grégoire le Grand envoya en 596 des moines pour convertir l'Angleterre; ils créèrent des monastères pour assurer l'office dans les cathédrales. L'évangélisation des pays germaniques aux VIII et IX è siècle fut l'œuvre des moines; saint Willibrord avait fixé

orthodoxe, date où l’Eglise se sépare en deux : d’un côté les orthodoxes en orient et les catholiques, chrétiens en occident. Alors l’Eglise catholique cherchera à rassembler le plus de croyants possible. Ensuite, le Moyen-âge sera aussi composé du pape Grégoire VII qui exécutera de nombreuses modifications au sein même de l’Eglise. On peut se demander alors, quelle est la place qu’occupe la religion chrétienne dans l’Europe occidentale du XIe au XIIIe Siècle ? Il s’agit de commencer en premier lieu par

COMMENTAIRE DU TEXTE «vase de Soisson», Grégoire de Tours, Histoire des Francs. La chronologie du règne de Clovis est très mal connue. L'essentiel de ce que nous en savons provient du récit rédigé à la fin du vie siècle par l'évêque Grégoire de Tours, né près de trente ans après la mort de Clovis. Grégoire de Tours est donc un évêque et un historien du Vième siècle qui admirait énormément Clovis. Il a rédigé Histoire des Francs  sous la forme de dix livres dans lesquels il retrace effectivement

d'aller gouverner les ermites qui s'étaient joints à Albéric et retirés en quête de solitude, dans la forêt de Collan (ou Colan) près de Tonnerre. Peu après, des moines anachorètes de la forêt de Collan, dans le diocèse de Langres, demandent au pape Grégoire VII que Robert devienne leur abbé. Le pape accepte et envoie Robert, qui trouve l'endroit impraticable, et fonde un monastère vers 1075, à Molesme, près de Châtillon-sur-Seine. Au départ, l'établissement n'est composé que de cabanes de branches autour

saisissant la hache de l'homme, il la jeta à terre. Tandis que celui-ci s'était incliné pour la ramasser, le roi lui envoya alors sa propre hache dans la tête en disant : « C'est ainsi que tu as fait à Soissons avec le vase de Soissons. » D'après Grégoire de Tours 1) Que signifie « qu'il était encore enfoncé dans l'erreur » 2) Qu'est ce qui indique que Clovis se rapproche de l'église catholique ? En 498, Clovis se convertit au catholicisme, ce qui lui permet d'unifier les peuples de la Gaule et