Henri Grégoire

médiévale A partir du XI° siècle, l’Eglise repensent la hiérarchie entre les différents types de clercs au service des fidèles pour restaurer son prestige et son influence sur la société. Au cours du XI° siècle, la papauté, menée notamment par le pape GREGOIRE VII (pape de 1073 à 1085), affirme son rôle et retrouve sa place centrale dans la chrétienté. Condamnant les clercs qui ne respectent pas les principes de stricte séparation (les prêtres mariés par exemple), mettant en ordre la papauté romaine après

pour l’expansion de la chrétienté et lutte contre les hérésies. Du XI au XIII siècle les papes ont dû affirmer leur autorité sur l’Eglise et écarter les laïcs du choix des prêtres. Pour imposer la liberté de l’église, le pape Grégoire VII s’est opposé à l’empereur germanique Henri IV qui prétendait investir lui-même ses évêques : c’est la « Querelle des investitures » un des aspects principaux de la Réforme grégorienne. Ce pape affirme son autorité sur l'Église universelle et sur les princes dans une

considérée comme une discipline spéculative et déductive mais comme la connaissance expérimentale d'un Dieu qui se manifeste à sa création. Le titre de « théologien » n'est d'ailleurs attribué qu'à trois saints seulement : saint Jean l'évangéliste, saint Grégoire de Nazianze et saint Syméon le Nouveau Théologien. * | Histoire de la théologie chrétienne L'âge des Pères de l'Églises Article détaillé : Père de l'Église. Très tôt après la naissance du christianisme, des chrétiens , dont certains

l’Ermite en informe le Pape à son retour par l’Italie. Constantinople se trouve directement menacée. La réforme de l’Église La croisade s’inscrit parfaitement dans le contexte de la réforme de l’Église, qui avait été entreprise par saint Grégoire VII au milieu du XIe siècle. Ce mouvement de réforme naît en 909, lorsque le duc Guillaume d’Aquitaine fonde, à Cluny, une abbaye qui ne dépend que de Rome : pour la première fois, un monastère est indépendant de toute autorité politique ou

institution de salut 2 – Un rite religieux a – Le roi, “évêque du dehors » b – Le roi thaumaturge B – L’apparition du ministerium regis 1 – Une théocratie royale a – La théorie du pape Gélase b – La théorie du pape saint Grégoire le Grand 2 – Une fonction royale a – La renaissance du concept de peuple : la communauté des fidèles b – La renaissance du pouvoir législatif : les capitulaires II – Les Carolingiens, continuateurs de l’Empire romain A – La renovatio

Boniface VIII 11 Les papes d'Avignon et Louis de Bavière 13 Le Concile de Pise 15 Le Schisme 15 Le Concile 16 Le Concile de Constance dans l'optique de la légitimité : les événements importants 16 Les débuts 16 Premiers affranchissements 17 Grégoire XII 17 Benoît XIII 18 Sigismond et le concile 19 Le Frequens et l'élection du pape. 20 La fin du concile 20 Discussion 21 Les Concile de Sienne et de Bâle et l'échec du conciliarisme 21 Sienne 21 Bâle 22 Constance-Bâle 24 Partie III : Des Écrits

était naturel, écrit-il, qu’en passant de la Bible aux auteurs profanes, le maître de grammaire apportât avec lui une classification 54 La culture gréco-latine dans l'œuvre de l'exégète et théologien Cornelius a Lapide aussi commode». (2) Henri de Lubac délimite le cadre dans lequel les sens de l’Ecriture prennent leur valeur : «c’est dire qu’il ne s’agissait pas là d’un cadre général et neutre, qu’on aurait appliqué à la Bible comme on s’en servait ailleurs, mais d’une classification construite

Eusébie, seconde épouse de Constance, sauve Julien et lui rend sa liberté de mouvement[8]. Durant l'été 355, Julien peut approfondir ses études de philosophie à Athènes. Il y côtoie Basile de Césarée et Grégoire de Nazianze, qui deviendra évêque et sera un de ses adversaires les plus féroces. Grégoire donne un portrait très partisan du « prodigieux abrutissement » de l'étudiant Julien « cou branlant … épaules remuantes et tressautantes…regard exalté … pieds qui ne tenaient pas en place, parole hachée

d'Alexandrie », les autres étant des hérétiques que Dieu devait châtier. Ces hérétiques ne manquaient pas : à Constantinople se rencontraient ariens, anoméens, pneumatomaques. Théodose se hâta d'expulser l'évêque arien, Demophilos (?-386), au profit de Grégoire de Nazianze, qui avait tonné contre les hérétiques. Il fit déporter Eunomius (vers 320-vers 392), champion des anoméens. La secte des novatiens échappa à ses foudres. Un nouvel édit (381) compléta le précédent, en insistant sur la foi définie par

(séculier et régulier) assurent le salut de la société. En contrepartie, les laïques leur doivent protection et subsistance ; impôts instauré -> dîme (qui représente 1/10ème des récoltes) L’Eglise est dirigée par le pape depuis Rome ; XIIème siècle, Grégoire VII qui lance la réforme grégorienne pour corriger les abus de l’Eglise ( le nicolaïsme, fait de ne pas respecter le célibat ; lutter contre le concubinage ou le mariage des prêtres ; et la simonie, fait de vendre des sacrements, d’acheter sa change