Henri le Jeune

l'initie aux plaisirs de la conversation et du théâtre. Son parrain, l’abbé de Châteauneuf le présente à Ninon de Lenclos, alors âgée de plus de quatre-vingt ans. La légende veut que la vieille courtisane, charmé par le jeune homme, l'ait couché…. sur son testament. 1713Le jeune François Marie Arouet néglige ses études de droit. Il part comme secrétaire d'ambassade à la Haye. Il tombe amoureux d'une jolie huguenote, l'ambassadeur le renvoie à Paris. 1714Son parrain, l’abbé de Châteauneuf, l'introduit

Auguste Renoir et son oeuvre : Jeune fille se coiffant les cheveux L'oeuvre : Le titre de L'oeuvre que j'ai étudié est Jeune fille se coiffant les cheveux, les dimensions sont 53 de hauteur x 44 de largueur, Le peintre est Pierre-Auguste Rennoir, il à crée cette peinture au XIV Siècle ( en 1894 le lieu de création ne nous est pas communiqués, le type de peinture est une Huile sur toile, le mouvement artistique est l'impresionnisme, le lieu d'exposition actuel est au Musée Lehmam à New York

à la suite des Jésuites, essaie de réagir contre la Réforme protestante (provenant de Luther et de Calvin). L’Eglise représente la religion par le biais des arts, par le mouvement baroque. Le contexte politique est tout aussi mouvementé. Henri III et Henri IV sont assassinés et le peuple français connaît de multiples succession de régences. Les rois que l’on connaît sont partagés et connaissent des croyances divergentes. Par ailleurs, il existe des troubles intérieurs graves et de multiples guerres

probablement entre 1546 et 1554,les études de droit indispensables à ses activités futures. En 1557, on retrouve le jeune Montaigne conseiller à la cour des Aides de Périgueux qui est ensuite réunie au Parlement de Bordeaux. Il y exerce treize ans ses fonctions qui lui valent plusieurs missions à la cour de France. Il y rencontre l'ami pour toujours, Etienne de La Boétie, en 1558, jeune homme de trois ans son aîné, qui lui enseigne les principes fondamentaux du stoïcisme, notamment ne pas craindre

Crémieux qui donne une série de conférences à Buenos Aires, présente à Saint-Exupéry Consuelo Suncin, une jeune salvadorienne. Consuelo est deux fois veuve : à vingt-deux ans, elle a perdu son premier mari, un militaire mexicain et, à vingt-neuf ans, elle perd Enrique Gomez Carillo, ami d'Oscar Wilde. Elle est petite, menue et a les yeux très noirs : très vite Antoine est conquis par sa beauté. Henri Jeanson dira d'elle : " C'était un séduisant petit animal dont le ramage valait le plumage. Très amusant

Nous allons étudier un extrait de Lucien Leuwen de Stendhal, de son vrai nom Henri Beyle, est un écrivain français. Il occupe une très grande place dans la littérature du XIXe siècle. Ses œuvres sont écrites au moment du romantisme avec une littérature plus ancrée dans le réalisme. Dans ce texte, nous allons analyse dans quelle mesure le narrateur laisse t-il entendre au lecteur que malgré les apparences cette scènes est belle et bien une rencontre ? Nous étudierons dans un premier temps, que

de cette jeune amie,Au regard tendre, au maintien sage et doux ?À peine, hélas ! Au printemps de sa vie,Son coeur sentit qu'il était fait pour vous.Point de serment, point de vaine promesse :Si jeune encore, on ne les connaît pas ;Son âme pure aimait avec ivresseEt se livrait sans honte et sans combats.Elle a perdu son idole chérie :Bonheur si doux a duré moins qu'un jour !Elle n'est plus au printemps de sa vie,Elle est encore à son premier amour Marceline DESBORDES-VALMORE 3) Jeune fille: A

Séjournant à Toulon en 1835, l'auteur croise un forçat dont le visage lui est familier. La véritable identité de cet homme, Gabriel Lambert, lui est inconnue. Et pourtant, lorsque celui-ci se présente sous un autre nom, celui du vicomte Henri de Faverne, ses souvenirs lui reviennent: il fut naguère le témoin d'un duel opposant le dit vicomte à l'un de ses amis ayant mis en cause sa prétendue noblesse. De retour à paris, Dumas retrouve le docteur Fabien qui soigna Faverne à l'issue du duel où il fut

s'en joignit bientôt une autre de cent florins, que son ami Jacques Battus lui obtint de la marquise de Weere, grand-mère du jeune Henri de Bourgogne, pour lequel il écrivit son manuel de civilité (De civilitate morum puerilium). Après de courts voyages qu'il fit dans les Pays-Bas et en Angleterre, nous retrouvons Erasme à Paris en 1497. Il avait entrepris l'éducation d'un jeune homme de Lübeck, nommé Christiern, dont le père lui avait promis trente-deux écus et un habit. Forcé par la peste d'émigrer

« Les Amours » (1552), « Bocage » (1554). Il sera poète de Henri II en 1554 puis conseiller et aumônier du Roi. En 1555 Ronsard s'éprend d'une "fleur angevine de quinze ans" Marie Dupin.Cette jeune paysanne le fera renoncer aux tourments que lui inspirait Cassandre. Pour elle, il composera "des poèmes simples et clairs". Il publie « des Hymnes », « des Meslanges », et « de la Continuation des Amours A la suite de la mort du Roi Henri II, il devient archidiacre et chanoine (1560). Il travaille à