Henri Matisse Icare

donner à voir le dynamisme d’un corps. 9 Auguste Rodin, Danseuse à la grande arabesque, 1890, sculpture, Musée d’Orsay, Paris Henri Matisse, La danse, 1909, musée de l’Hermitage, Saint Petersbourg 10 REPRESENTATION DU MOUVEMENT DANSE Des danseuses au physique détaillé de Degas, passons aux corps dont la simplification des formes chez Henri Matisse permet de pointer le dessin du mouvement avant tout. La dynamique de La ronde est essentiellement traduite par les couleurs et les lignes

français, post impressioniste [=mouvement de peinture utilisé par Van Gogh]) et Matisse (Henri Matisse artiste, peintre, sculteur, dessinateur français, grand rival de picasso mais ami) il se tourne vers les arts primitifs (productions artistiques dites « traditionnelles », « sans écriture ») et cherchent à trouver le moyen de construire des visages ou des objets avec qqes éléments simples. Mais contrairement a Matisse, il cherche a obtenir un effet de relief. Il se tourne alors vers Cézanne (Paul

s'achever moins de cinq ans plus tard, au début des années 1910. En fait, dès 1908, il est déjà à son crépuscule. Son influence marqua néanmoins tout l'art du xxe siècle, notamment par la libération de la couleur. Le précurseur du fauvisme était Henri Matisse, mais d'autres artistes, comme André Derain(LE PONT DE WATERLOO, 1905-1906), Maurice de Vlaminck (Les Arbres rouges , 1906) ou encore Georges Braque(L’estaque 1906 )en ont fait partie. Leurs oeuvres visuelles sont remarquées par l'utilisation

voyant une œuvre du sculpteur A. Marque (un buste d’enfant de style Renaissance italienne) exposée au milieu de peintre aux couleurs violentes, qu’il se serait exclamé : « … Donatello chez les fauves » (Gil Blas, 17/10/1905). Ces peintres étaient Matisse, Vlaminck, Marquet, Manguin, Derain et Camoin. Malgré sa nouvelle appellation de « fauvisme », cette manière de peindre est antérieure à cette date grâce à Vincent Van Gogh qui utilisa la couleur pure comme langage émotionnel (1853-1890) et à Paul

expérience aux autres. Apollinaire rêve de former un mouvement poétique global, Apollinaire entretient des liens d'amitié avec nombre d'artistes et les soutient dans leur parcours artistique comme les peintres Pablo Picasso, Georges Braque, Henri Matisse et Henri Rousseau. Son poème Zone a influencé le poète italien contemporain Carlo Bordini et le courant dit de "Poésie narrative". Derrière l’œuvre du poète, des récits tels que Le Poète assassiné ou La Femme assise, qui montrent son éclectisme et

représentée avec une rose dans les cheveux et sur ses vêtements. Après, j’ai mis en relation le poème « Clotilde » avec l’œuvre de Henri Matisse « Nu Bleu II» (1952) car, dans le poème, Clotilde semble être mystérieuse (Apollinaire parle d’« ombres ») et il y a des références a l’eau, la mer (« anémones » ;  « eaux vives »), ce qui fais penser au bleu de l’œuvre de Matisse. Puis, j’ai comparé le poème « Salomé » à la peinture de Pablo Picasso « La femme qui pleure » (1937) car tout d’abord, il y a

janvier 1915, Breton est envoyé à Pontivy, dans l’artillerie, pour faire ses classes dans ce qu'il devrait plus tard décrire comme « un cloaque de sang, de sottise et de boue[6]. » La lecture d'articles d'intellectuels renommés comme Maurice Barrès ou Henri Bergson, le conforte dans son dégoût du nationalisme ambiant. Il est ensuite affecté à l’hôpital de Nantes (Loire-Atlantique) comme interne en médecine. Il écrit sa première lettre à Guillaume Apollinaire à laquelle il joint le poème « Décembre ».

influence se ressent par la suite chez les fauves jusqu'aux expressionnistes allemands et aux sources de l'abstraction (premières œuvres de Wilhem Morgner ou de Wassily Kandinsky). En effet, au début du XXe siècle, certains artistes, notamment Henri Matisse, Édouard Vuillard, Paul Klee, Gauguin, Delaunay, Severini, Balla, Van Gogh, Mondrian ou même Roy Lichtenstein, s'inspirent du néo-impressionnisme pour leurs œuvres : avec des couleurs plus vives, avec de l'abstraction, avec ironie . Les œuvres

primitivisme) Membres : Matisse (à ses débuts), De Vlaminck, Derain… Caractéristiques : innovation picturale avec place centrale de la couleur et de son orchestration, utilisation de couleurs pures et non naturalistes pour exprimer la force émotionnelle, les couleurs n’expriment pas la réalité (ne sont plus descriptives) mais la créativité de l’artiste, alternance et violence des couleurs avec une charge émotionnelle (d’où le terme de « fauves »), parfois influence de l’art africain (Matisse). Exemple :

Vlaminck, André Derain, Henri Matisse, qui exposaient au Salon d'Automne, allaient à leur tour  libérer  la couleur. Faisant disparaître le modelé au profit d'une simplification des formes, utilisant des couleurs vives, lumineuses, pures, étalées en de larges touches proches de l'aplat, ils provoquèrent la colère du critique Louis Vauxelles. Celui-ci, en réaction aux couleurs criardes qu'ils utilisaient, les traita de "fauves".   André DERAIN  1905 " L'estaque" Henri MATISSE " La femme au chapeau"