Henri Matisse Nu Bleu

PERCEPTION, UN CHOIX DE TEXTES PHILOSOPHIQUES L'ART COMME LIBÉRATION DES POTENTIALITÉS PERCEPTIVES LA PERCEPTION : UN TRAVAIL DE SÉLECTION UTILE À L’ACTION Henri Matisse, Le Luxe I [été 1907] Huile sur toile, 210x138 cm Achat, 1945 - AM 2586 P Photo Philippe Migeat - Service audiovisuel du Centre Pompidou - Dist. RMN-GP © Succession H. Matisse Une interrogation philosophique sur les rapports de l'art et de la perception doit d'abord reconnaître que la perception dont nous usons dans la vie quotidienne

fin de la collation des grades universitaires par jury mixte (cf loi de 1875) - loi Camille Sée : création de collèges et lycées de jeunes filles (« donner des compagnes républicaines aux hommes républicains ») - création de L’Intransigeant par Henri Rochefort - création de La Croix (devient un quotidien en 1883) - création du ministère de l’Agriculture 1881 - loi sur la liberté de réunion et d’association - loi sur la liberté de la presse - « grand ministère » Gambetta après les élections

CARACTÉRISTIQUES DU SUJET : Le pointillisme (ou néo-impressionnisme ou divisionnisme) est une technique de peinture issue du mouvement impressionniste qui consiste à peindre par juxtaposition de petites "taches" de peinture de couleurs primaires (rouge, bleu et jaune) et de couleurs complémentaires (orange, violet et vert). Peinture couleurs primaires et secondaires CONTEXTE : SOCIAL Références : -G.Seurat -Paul Signac Seurat « la parade » SYMBOLISME FIN XIXE SIÈCLE CARACTÉRISTIQUES DU SUJET : Pour

Introduction Le XX siècle commence quand ? En Art Certains disent que Monet (1877) ou en 1905 (Matisse) constituent des ruptures dans les codes et donc le passage à cette époque. C’est deux lectures sont fausses et vrais. Ce problème est relatif car l’interprétation du passé ne fait pas l’économie du Présent. Car la relecture du passé est une construction liée à des mobiles qui lient les mouvements. Quelle est le Big-Bang de l’histoire de l’Art ? Aucun car c’est un siècle qui se construit sur le

Introduction Le XX siècle commence quand ? En Art Certains disent que Monet (1877) ou en 1905 (Matisse) constituent des ruptures dans les codes et donc le passage à cette époque. C’est deux lectures sont fausses et vrais. Ce problème est relatif car l’interprétation du passé ne fait pas l’économie du Présent. Car la relecture du passé est une construction liée à des mobiles qui lient les mouvements. Quelle est le Big-Bang de l’histoire de l’Art ? Aucun car c’est un siècle qui se construit sur le

antique qui magnifie le corps humain, expression d'équilibre et de beauté. C'est d’ailleurs de la sculpture que l'imitation de l'Antiquité s'exerce le plus et le plus tôt. Les sculpteurs en reprennent les thèmes : nu viril, portrait en buste, statue équestre, et au début du XVIe siècle, nu féminin. Ils retrouvent aussi les techniques de la taille du marbre et de la fonte du bronze. Au XVe siècle, les sujets restent presque toujours religieux. Le début du XVIe voit naître une sculpture profane. Les

transformation optique personnelle, par une perception mentale. Il réduit les formes naturelles à leurs formes géométriques. Chez lui, nous remarquons une nette évolution. Il passe de Femme assise et femme debout réalisé en 1906 (a), à l’Etude pour le nu à la draperie réalisé en 1907 (b). Georges Braque aussi applique les leçons de Cézanne, mais il s’inspire en plus du style de son ami Picasso. Ici aussi nous pouvons remarquer une autre évolution, Il passe d’un paysage inspiré de Cézanne, Le viaduc

de la République depuis la IIe République. Les médias utilisent, par métonymie, l'expression « l'Élysée », pour désigner les services de la présidence de la République française. Construit par l'architecte Armand-Claude Mollet en 1720 pour Louis Henri de La Tour d'Auvergne, comte d'Évreux, le palais de l'Élysée a une histoire illustre : cadeau du roi Louis XV à sa favorite, la marquise de Pompadour, en 1753, puis palais princier de Joachim Murat, beau-frère de Napoléon Ier, qui, en 1805, en fit

agricoles gallo-romaines. Les différents tableaux s’articulent autour des quatre tableaux centraux où figurent des personnifications des Saisons : l’Hiver est une femme emmitouflée sur un sanglier, le Printemps un Amour nu sur un taureau, l’Été un Amour nu sur un lion, l’Automne un Amour nu sur un tigre. ------------------------------------------------- LE MOYEN-AGE 1/ Edifices religieux Abbaye Une abbaye (du latin abbatia, dérivé de l'araméen abba qui signifie « père ») est un monastère catholique

enchaînée », « prison »), des usages (se « mettre nu », un numéro : « le quinze de la / Onzième », la promenade « chaque matin », « les clefs », « le geôlier », « prisonnier »), des bruits intérieurs (un « pied » sur la voûte, la « fontaine », des « clés » qu'on fait « tinter », la chaise) et extérieurs (« bruits de la ville ») compose un petit documentaire sur la prison. • La pauvreté et l'imprécision des notations sensorielles (« le soleil », « le ciel est bleu », « couleurs pâles », « je ne vois rien »)