Henry de Montherlant

tout ce qu’il ne faut pas faire de tout ce qu’il vous est possible de faire. L’action est la négation de tous les possibles moins un. Édouard HERRIOT L’acte fondamental d’une vie est de décider ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Henry DE MONTHERLANT La décision a besoin d’un esprit de maître ; et il est sans comparaison plus facile de faire ce qu’on est, que d’imiter ce qu’on n’est pas. LOUIS XIV La décision est souvent l’art d’être cruel à temps. H. BECQUE Le processus de la décision

soustrayez tout ce qu’il ne faut pas faire de tout ce qu’il vous est possible de faire. L’action est la négation de tous les possibles moins un. Édouard HERRIOT L’acte fondamental d’une vie est de décider ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Henry DE MONTHERLANT La décision a besoin d’un esprit de maître ; et il est sans comparaison plus facile de faire ce qu’on est, que d’imiter ce qu’on n’est pas. LOUIS XIV La décision est souvent l’art d’être cruel à temps. Le processus de la décision est évolutif

obligation naturelle n'est pas toujours très nette, il arrive en effet que le devoir morale de l'obligation naturelle devienne juridique. EX: Lorsqu'un débiteur de dette de jeu s'engage à l'écrit à payer sa dette, l'obligation devient juridique. Montherlant: "l'ennuyeux dans la charité c'est qu'il faut continuer". §2. La classification fondée sur la source des obligations La source de l'obligation, il s'agit de l'évènement qui donne naissance à l'obligation. EX: l'emprunteur doit rembourser

l’hypocrisie des faux dévots fut le combat presque mortel de Molière (avec Le Tartuffe ou l’Imposteur et Dom Juan ou le Festin de Pierre). Plus près de nous, les dramaturges du XXe siècle, aussi divers que Adamov, Anouilh, Audiberti, Genet, Giraudoux, Montherlant, Sartre ou Césaire (La Tragédie du roi Christophe, contre le colonialisme), et surtout Ionesco (Rhinocéros) et Beckett (En attendant Godot), avec leur « théâtre de l’absurde » largement assimilable à un « anti-théâtre », ont magistralement utilisé

TEXTE À L’AUTRE 3 J. Romains, Knock ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Molière, Le Malade imaginaire ANALYSE D’IMAGE HISTOIRE DES ARTS Mise en scène de La Double inconstance Mise en scène de Musée haut, musée bas Extrait de Don Giovanni de J. Losey H. de Montherlant, La Mort qui fait le trottoir 26 26 28 28 29 30 31 32 34 Le mythe de Don Juan, du théâtre au cinéma 4 S O M M A I R E Lecture de La Leçon E. Ionesco, Rhinocéros Exercices d’approfondissement 1 Molière, Le Tartuffe 2 E. Labiche

à un penser - Mohammed Bennis : "La poésie marocaine moderne de langue arabe. Horizons maghrébins, été-automne 1986, n°7, p.82. 48 - Voir à ce propos la thèse de Abdeljlil Lahjomri : L'image du Maroc dans la littérature française : de Loti à Montherlant. ALger, éd. S.N.E.D., 1973. 47 49 organisant) est à mon sens un des fondements de la jeune littérature qui est en train de se former au Maroc."49 Cependant, le premier à avoir inscrit la violence dans son programme d'écriture est sans

scandale; les broderies de l'uniforme chamarré de Christophe n'étaient au fond pas si loin des costumes de Madame Sans Gêne ou de ceux qu'on attend encore dans Tosca. Et le panache, l'éclat du verbe césairien sonnent comme les formules d'un Montherlant (dans la Reine Morte) ou de Corneille dans le Cid. Il y a comme une sorte « d'espagnolisme » chez ce souverain césairien, ce qui nous renvoie aux dramaturges du Siglo de Oro ou au baroque d'Alejo Carpentier. Tout cela n'est pas étranger à la

stéréotypes à peine discernables, jetés avec la force de l'espoir - ou du désespoir comme les parcelles d'un mouvement brownien, ce langage n'est pas, à vrai dire, du langage en conserve, comme put l'être, par exemple, le jargon concierge restitué par Henry Monnier ; ce serait plutôt un langage-retard, formé fatalement dans la vie sociale du personnage, et qui se dégèle, vrai et pourtant un peu trop acide ou viride, dans une situation ultérieure où sa légère congélation, un rien d'emphase vulgaire, apprise

de galanterie, ni d’argent, ni de politique, ni de mariage, ni de mort. » (Eugène Labiche, Le Voyage de monsieur Perrichon, 1860.) • « Un roman est comme un archet, la caisse du violon qui rend des sons, c’est l’âme du lecteur. » (Stendhal, Vie de Henry Brulard, 1890.) • « J’appelle un livre manqué celui qui laisse intact le lecteur. » (André Gide, Cahiers d’André Walter, 1891.) • « Dites-vous bien que la littérature est un des plus tristes chemins qui mènent à tout. » (André Breton, Manifeste du

pré-romantique » avec sa fascination pour l’Europe du Nord. Enfin, nous citerons une pièce de 1819, qui s’intitule Ines de Castro. Dans cette pièce, il reprend une figure historique et légendaire, qui donnera lieu à des interprétations plus modernes (Henry de Montherlant reprend cette figure dans sa pièce La Reine Morte). Cette pièce est la pièce la plus réussie de ses pièces de jeunesse. On y trouve des éléments de préfiguration du romantisme et on y voit déjà poindre un violent sentiment d’anticléricalisme