Hépatite C

ses pieds sont plongés dans une eau insalubre et la charge qu’il transporte semble excessive. Les conditions de travail sont donc difficiles et précaires. Naturellement ces conditions de vie entrainent des maladies graves comme la typhoïde, les hépatites, le cholera ou encore des gastro-entérites qui, non soignées, causent la mort de milliers de personnes : l’espérance de vie est de 53 ans. Pour toutes ces raisons l’IPH de cité soleil, constitué du facteur de longévité, d’instruction et de condition

consommation à long terme sur le foie sont nombreux car le foie élimine l’alcool dans le sang, mais à partir d’un certain stade (variable selon les personnes) il n’en est plus capable d’où l’apparition de certaines maladies : le cancer du foie, une hépatite alcoolique ou encore une cirrhose du foie. Ces maladies ne sont pas toujours guérissables, elles peuvent entraîner la mort. Exercice 3 : En cas d’intoxication par produit ménager ou chimique, voici les mesures à prendre :  Rester calme  Appeler

des plainte des jeunes de maux de tête voir si le jeune n’a pas était vu par le service de la PMI Impossible d’entamer une démarche d’AEM, cette une démarche propre au service de département Dépistage de maladie sexuellement transmissible (VIH, Hépatite B…) La Gale :Maladie la plus récurrente chez les MNA, et très présente au sein de la villa Orméa, maladie de peau, petit parasite qui va sous la peau, démangeaison sensible des changements de t° d’où la grande sensibilité en période de nuit. Cela

ADN  Papovaviridae  Terme vient de:     Papillome (verrues) Polyomes (tumeurs) Vacuolisation cytoplasmique produite par certains virus Formateurs de cancers  Hepadnaviridae  Terme vient de hépatite et du fait qu’ils contiennent de l’ADN (DNA)   Hépatite de type B Les virus de type A, C, D, E, F et G sont des virus à ARN  Se distinguent car ils synthétisent leur ADN à partir de l’ARN (reverse transcriptase) Les virus et le cancer     Un cancer est

..................................................................................................................................................................................................... Habitez-vous avec une personne porteuse d’une hépatite B ou C, ou VIH ? Oui Non Avez-vous déjà eu une transfusion de sang ? ................................. Oui Non Avez-vous déjà eu un test de dépistage ? VIH De l’hépatite B De l’hépatite C Avez-vous déjà eu

Séance 3 1 Pour évaluer la valeur diagnostique du dosage de la transferrine dans les hépatites alcooliques, 2 groupes de sujets ont été étudiés. Dans un premier échantillon de 15 sujets normaux, indemnes de toute lésion hépatique, les dosages ont donné les résultats suivants: moyenne = 1,9 g/L écart-type = 0,2 g/L. Dans un deuxième échantillon de 14 malades ayant une hépatite alcoolique, les dosages ont donné les résultats suivants: moyenne = 1,3 g/L écart-type = 0,2 g/L

compliquer d’une septicémie (c'est-à-dire d’une infection généralisée) et entraîner aussi le décès, elles peuvent se propager à l’utérus et aux trompes et provoquer une stérilité et l’impossibilité d’avoir des enfants. Des infections comme le SIDA, les hépatites sont transmissibles par ces gestes. Les troubles urinaires, infections et rétention d’urines à cause des douleurs provoquées par la miction sont aussi fréquents. Les cicatrices deviennent souvent fibreuses (rigides), inesthétiques, parfois boursouflées

bimensuel des produits 7 Vaccins (antigènes) utilisés par le Programme national d’Immunisation (PNI). Doukkala-Abda, Maroc, 2005. Vaccins (ordre alphabétique) : 1 Vaccin antidiphtérique/antitétanique/anticoquelucheux (DTP). 2 Vaccin anti-hépatite B. 3 Vaccin antipoliomyélitique. 4 Vaccin anti rougeoleux. 5 Vaccin antitétanique 6 Vaccin par le BCG. 8 Cycle d'approvisionnement pharmaceutique : Révision de la sélection des 2 produits. Détermination des quantités 3 nécessaires. Collecte

Risque infectieux : présence de germes pathologiques susceptibles d’infecter d’autres personnes, propagation de micro-organismes. - Risque professionnel : le personnel de soin ainsi que les éboueurs sont exposés aux AES et aux contaminations VIH, Hépatite B et autres germes. - Risque pour la population générale : si les DASRI sont déposés dans des décharges non contrôlées. Alors le public et les enfants peuvent y avoir accès. - Risque environnemental. - Voie de transmission par contact

pénurie. En avril 1998 filtration systématique des prélèvements de sang (sang total, plasmas, plaquettes) afin d'éliminer les globules blancs (déleucocytation). En 2000 un dépistage systématique très sensible (dit génomique) du virus de sida et de hépatite C est fait sur chaque don. Cette recherche directe du virus par biologie moléculaire permet de dépister une éventuelle contamination du donneur avant sa séroconversion