Héphaïstos

la force, etc., mais il a oublié l’homme. C’est pourquoi son frère, Prométhée, apercevant les hommes nus, sans défense, ni couvertures, ni armes, voyant qu’ils périssaient sous le coup des bêtes fauves, toujours plus fortes qu’eux, vole le feu à Héphaïstos et permet ainsi à l’humanité de compenser son retard initial. Mais ce mythe nous montre bien que l’homme, cette pauvre créature délaissée par un malencontreux oubli, ne peut en aucun cas se suffire à lui-même, et qu’il a besoin de s’associer pour

son père Cronos. Il se procure une potion magique. Il en verse dans la boisson de Cronos. Cronos boit, pousse un rugissement... et vomit tous les enfants qu'il avait avalés depuis des années. Ils s'appellent Hestia, Déméter, Héra, Hadès, Poséidon, Héphaïstos. Ils sont vivants, forts. Ils se dressent tout de suite, pleins de haine contre Cronos et ses TItans. Ils proclament Zeus leur chef. Et la guerre commence. Une guerre de dix ans La guerre dure dix ans. Elle manque détruire l'univers. Zeus

BOULEUTERION : lieu de réunion de la Boulé THOLOS : lieu de vie des bouleutes permanents HELIEE : siège du tribunal STRATEGEION : siège des stratèges HEPHAISTEION : Ex-Théséion (les reliques de Thésée y seraient déposées), puis temple dédié à Héphaïstos, protecteur des artisans. C'est là que se faisaient les tirages au sort. TEMPLE D'APOLLON PATROOS : Apollon protecteur des phratries et des groupes familiaux TEMPLE DE ZEUX PHRATRIOS ET D'ATHENA PHRATRIA : ces deux divinités sont protectrices

faire dans une fonction normative. Dès lors, la vertu politique peut être entendue aussi comme le respect de la Justice dans les deux sens qu'elle couvre. Il vole à Hephaïsos l'habileté technique ainsi que le feu, et à Athéna les autres arts. Hephaistos est le dieu grec des forgerons, tandis qu'Athéna est déesse de la guerre mais aussi des Artisans. On peut voir ici la technique comme ayant rôle de fonction sociale. La technique, par les productions humaines qu'elle permet, rapproche les hommes

la prévention et la lutte contre les feux de forêt dans les DOM-COM (engagement des FAZOI et de la sécurité civile lors du double incendie à l’île de la Réunion en octobre 2010) et en métropole (HEPHAISTOS). 300 militaires sont engagés durant les mois de juillet et d’août au sein de la mission HEPHAISTOS afin de surveiller les zones à risques de départ de feu de forêt dans la zone méditerranéenne. Ils éloignent la population en cas de besoin, puis l’informent sur les risques de déclencher un feu

fécondité) afin « d’égaliser les chances » et d’assurer « une sauvegarde des espèces ». Mais la distribution terminée, il s’aperçoit qu’il reste l’homme « tout nu, pas chaussé, dénué de couvertures, désarmé ». Alors son frère, Prométhée, dérobe à Héphaïstos, le dieu forgeron et à Athéna « le feu, l’art de s’en servir » et « le reste des arts », c’est à dire la connaissance et l’habileté techniques et il en fait présent à l’homme : l’habileté technique, liée à l’intelligence, par opposition à la nature

l'homme de transcender sa nature biologique et sa condition. - Cf Dans le mythe de Prométhée, Epythémée, répartiteur des dons qui oublie de doter l’espèce humaine d’un don particulier. Pour corriger son imprévoyance, son frère Prométhée va voler à Héphaistos et Athéna le feu : l’intelligence, Hermès dans un second temps apportera le sens de la justice (dimension morale de la raison humaine). Prométhée et Hermès donnent aux hommes des capacités qui sont d’abord des privilèges divins == confèrent une

sont ouvertes par des prières, des libations et des sacrifices dont le but est de placer sous la protection des dieux les paroles et les choix réalisés. On prie alors un dieu et son incarnation spécifique : Poséidon pour les affaires maritimes, Héphaïstos pour l'artisanat. Les affaires importantes de la cité sont souvent placées sous le patronage d'Athéna qui est surnommée selon les cas Promachos ("combattant au premier rang") ou Niké ("victoire") en référence à la guerre, Ergané ("laborieuse"),

sa querelle avec Achille et provoque ses larmes qu’Alcinoos remarque. La seconde évoque les amours illicites d’Arès (dieu de la guerre) et d’Aphrodite (déesse de la beauté et de l’amour), révélées à tous les dieux par le filet prévu par le mari Héphaïstos (dieu de la forge, boiteux). C’est une évocation grotesque des Immortels qui peut surprendre : on peut y voir la défense du couple, rappelant la fidélité d’Ulysse (?) et de Pénélope. La troisième évoque la prise de Troie avec le cheval imaginé

jeune Apollon, le dieu du soleil, et sa timide soeur jumelle, Artémis, déesse de la lune. Tous deux pouvaient frapper les hommes, en tirant sur eux des flèches de maladie. Il y avait encore Athéna, la plus intelligente des déesses, l'habile boiteux Héphaïstos, Déméter, déesse de la terre, et Poséidon, dieu de la mer. Les dieux ne pouvaient jamais mourir. Ils étaient capables de voler dans les airs, de changer de forme, et même de se rendre invisibles. Mais ils étaient changeants comme la nature. Un dieu