Heptasyllabe

ce qui équivaut à la prononciation en deux syllabes distinctes de deux voyelles successives d'un même mot. Dans certains mots, elle est indiquée par un tréma , ex. : maïs , laïc , argüer ... Le nom des vers 1 syllabe monosyllabe 7 syllabes Heptasyllabe 2 syllabes dissyllabe 8 syllabes Octosyllabe 3 syllabes trissyllabe 9 syllabes Ennéasyllabe 4 syllabes quadrisyllabe 10 syllabes Décasyllabe 5 syllabes pentasyllabe 11 syllabes Hendécasyllabe 6 syllabes hexasyllabe/hexamètre

personnel « nous » : « nous nous sommes rencontrés dans un caveau maudit ». Cette remémoration est travaillée avec des contrastes de tonalités. En effet, le « caveau maudit » fait penser à un bistrot funèbre ou bien à une tombe. Le vers 13, un heptasyllabe, met en relief la jeunesse d’Apollinaire et d’André Salmon : « au temps de notre jeunesse » tandis que le vers 14 « fumant tous deux et mal vêtus attendant l’aube » aborde le mythe de la bohème du poète maudit, pauvre, noctambule et rêveur. La

chez Verlaine, à la fois d’une volonté de s’inscrire dans une tradition remontant aux poètes du XVIIe siècle et d’un travail visant à renouveler l’expression rythmique de la poésie française. Ce travail se fait surtout grâce aux pentasyllabes, heptasyllabes et dissyllabes. L’octosyllabe est le vers dominant du recueil. Verlaine s’emploie à déstabilisé le mètre traditionnel, les vers impairs ne sont pas nombreux dans l’ouvrage. 7. Familiarités : « coquettes » vers 9, A la promenade ; « vertigo »

Rarissime, utilisé surtout au 20e siècle 2 dissyllabe Idem 3 trisyllabe Idem 4 tétrasyllabe Souvent utilisé dans une décomposition en plusieurs vers de l’alexandrin 4/4/4 6 Hexamètre Moitié d’alexandrin, utilisé comme tel le plus souvent. 7 heptasyllabe Rare, vers préféré de Verlaine avec l’ennéasyllabe (9) 8 octosyllabe Très souple, très expressif, rythme interne peu varié 10 décasyllabe Musical, souple, léger. 12 alexandrin Le vers le plus fréquent, le plus complexe dans sa scansion. Malmené

verlainienne : l'Art poétique prône l'usage des vers courts et des vers impairs, jugés plus musicaux et plus légers. On trouve d'ailleurs, dans tous les recueils de Verlaine, des Fêtes galantes à Sagesse, des vers de onze syllabes ainsi que des heptasyllabes, des jeux d'allitérations et d'assonances («!Et si la sottise l'amuse!/!Elle serait, étant la muse […]!»), un usage fréquent de l'ellipse, qui confèrent aux vers verlainiens leur légèreté : «!Houblons et vignes!/!Feuilles et fleurs!/!Tentes insignes

intérêts. L’écrivain les inculpe de tous les malheurs d monde. Ce sont des tortionnaires, ils sont associés à la soumission et à l'exploitation du peuple. Le poète veut se libérer de cette domination. En échos à cette pensée, il s’en prend au premier heptasyllabe du « Notre Père »-la prière religieuse la plus notoire. En ajoutant une phrase, il va totalement détourner le sens de la citation et installera ainsi une tout autre vision. « Notre père qui êtes aux cieux / Restez-y » J.Prévert remet donc en

récit simple Voc simple/ ph simples , courtes / voc courant Histoire simple 2 pers seulement, qui plus est banals, des insectes c) Récit attrayant Poème, cf. vers et rimes suivies puis croisées = changement Vers courts = 7 syllabes = heptasyllabes, et trisyllabes Verts courts = plus vif , légèreté = 1 fable Changement de vers= moins monotone Alternance récit, dd direct aves phrases courtes= rythme varié Apparition du présent car dialogue , + vivant ; ddirect qui allège le récit

musicale, vocale et une danse en rond. Il se partage entre les registres lyrique et élégiaque et elle nous fait part de sa durable souffrance qu'elle se doit de dissimuler. Ce poème est composé de 12 vers, 2 phrases et les vers employés sont des heptasyllabes. Les rimes sont uniquement féminines et suffisantes, on retrouve 2 sons en commun: "ure" et "ire". La poétesse retranscrit ses sentiments douloureux à travers le "je" poétique, cependant nous ne connaissons pas vraiment la raison de son mal-être

de nos bras passe // des éternels regards l’onde si lasse ». Par ailleurs, les distiques sont les mêmes et leur renouvellement fait penser au refrain d’une chanson. Leur composition n’est encore une fois pas choisie au hasard, ce sont des heptasyllabes, vers impairs dont Verlaine avait montré la musicalité. Ces répétitions en guise de refrain rappellent la métaphore filée de la Seine. En effet, cela crée un rythme sinueux qui renforce l’impression de monotonie et de lassitude. Autre forme permettant

nature l’hiver et ne se nourrissent pas de mouches ou de vermisseaux mais de la sève des arbres. Genre littéraire : narratif Types de texte : - poétique -> se compose de 22 vers, écrit en heptasyllabes, à part pour les deux premiers vers. - narratif - argumentatif -> argumentation de la cigale. Hypothèse : C’est une allégorie du travail et de la paresse Axe I : Le monde de la Cigale :