Herbicide

1983. A fur et à mésure plusieures découvertes ont été effectuées par un génie génétique et aujourd’hui l’utilisation des OGM permet d’obtenir certaines avantages par rapport aux produits bio ou conventionnels, parmi lesquelles : la tolérance aux herbicides, la résistance aux insects et aux maladies, aux stress environnementaux. L’agriculture reste toujours un domaine avec nombreux risques à élaborer : froid, sécheresse, précipitations trop nombreuses, salinité, tous ces facteurs posent souvent les

substances qui sortent par ces plantes transgéniques seraient précises à certains insectes et ne mettraient pas en danger les autres insectes. Les cultures qui tolèrent certain herbicide ont été développées en vue d’aider la lutte contre les mauvaises herbes. Les agriculteurs peuvent alors arroser tout leur champ avec un seul herbicide c’est celui que tolèrent les végétaux GM. Ca peut tuer les mauvaises herbes sans nuire aux autres plants. Mais, la culture d’OGM qui résiste aux insectes permettrait de réduire

millions l'an passé. Plus de 60 espèces de plantes ont été génétiquement manipulées. Par exemple, le soja, le maïs, le colza et le coton sont le plus souvent soumis à la transgénèse. Les transformations concernent essentiellement la tolérance aux herbicides et la résistance aux insectes. Les transgéniques, les seuls qui pourraient intéresser les consommateurs, représentent à peine 0,1% des surfaces. Il y a plusieurs commerciaux qui transgénique des OGM végétaux. Aux États- Unis, ils détient plus

facilitent l’exploitation et augmentent la production. Mais écologiquement, ils ont des incidences sur l’équilibre de l’écosystème par la pollution atmosphérique. L’emploi des engrais chimiques permet la fertilisation des sols : les pesticides, les herbicides et les insecticides éliminent les parasites mais ils peuvent être à l’origine de risques de maladies, de pollutions (atmosphérique, souterraine et aquatique) avec l’infiltration dans les sols ou ruissellements vers les surfaces aquatiques. Les

de l’homme. L’usage d’intrants divers va être favorisé pour accélérer la production. De nombreux pesticides vont être implantés dans les cultures pour empêcher les cultures de mourir. On retrouve notamment les engrais chimiques, les traitements herbicides ou encore des traitements insecticides … Utilisation de plusieurs machines pour augmenter la vitesse de récolte Moyens aériens pour l’usage d’engrais chimiques

fragilisent. Ce gène de résistance a la pyrale provient d'une bactérie ( Bacillus thuringiensis ) qui est un parasite naturel de ce ravageur. Tolérance aux herbicides Cette autre technique permet de donner à une plante la capacité de dégrader les molécules des herbicides de tout type. Grâce à sa on peut traiter les cultures avec un herbicide sans que la récolte subisse de dégât, seul les mauvaises herbes poussant entre les cultures seront détruites. Les producteurs y voient deux intérêts, d'abord

techniques permet un gain de temps non négligeable. L’épamprage chimique utilise l’effet défanant de certains produits utilisés habituellement comme herbicides. L’application doit être réalisée sur des pampres de 30 à 40 cm de long, entre la mi-mai et début juin dans le sud-ouest. Mais la tendance actuelle va vers une limitation de l’utilisation des herbicides. Le coût d’un tel épamprage a été évalué à 84-99 €/ha. Maladies : Le MILDIOU | | Il est causé par une algue-champignon microscopique qui

multiplier un gène d'intérêt La première étape est l'identification d'un caractère que l'on veut introduire dans la plante, comme par exemple des caractères de qualité nutritionnelle, la résistance à certains insectes, à certaines maladies, à des herbicides, etc. Le gène d'intérêt peut provenir de tout organisme vivant, plante, animal ou bactérie puisque le code génétique est universel. Il doit ensuite être isolé de l'organisme donneur. Il est intégré dans une construction génétique associant souvent

multiplier les cellules transformées, avant de régénérer la plante entière. L'opération de sélection fait appel à deux catégories de gènes : les gènes marqueurs conférant à la cellule transgénique une résistance à des substances chimiques toxiques (herbicides ou antibiotiques comme l'ampicilline ou la kanamycine). La sélection consistera à cultiver les cellules transformées sur un milieu contenant cette substance. les gènes rapporteurs (ou marqueurs visuels, par exemple le gène GUS) codant pour des

attaquées. 13 Lutte • Lutte directe: aucune • Lutte indirecte: • − − − éviter des précédents tels que le maïs ou les graminées créer toutes les conditions favorables à une croissance optimale des betteraves éviter de stresser les betteraves (herbicides, fumure, irrigation). Variétés: − − nos variétés ne montrent aucune différence de sensibilité vis-à-vis de cette maladie des variétés spéciales sont cultivées dans les régions fortement touchées; en l’absence de rhizoctone, leur potentiel reste