Heredia Les Ajoncs éclatants

clôture paysage polaire est oxymore au poème car on oppose un monde âpre à un univers de plaisir des sens « volupté » Ce sonnet correspond tout a fait à la devise de « l'art pour l'art » incarnée par le Parnasse. Soleil couchant Les ajoncs éclatants, parure du granit, Dorent l’âpre sommet que le couchant allume ; Au loin, brillante encor par sa barre d’écume, La mer sans fin commence où la terre finit. A mes pieds c’est la nuit, le silence. Le nid Se tait, l’homme est rentré sous le chaume

Correction du sujet d’écriture du devoir de type bac n°2 Plan possible d’un commentaire de « Midi » de José Maria de Heredia Problématique retenue : Comment l’écriture poétique sublime-t-elle la nature ? I. Un sonnet décrivant un moment de bien-être dans un cadre naturel apaisant A. Description d’un moment particulier d’une chaude journée estivale 1. Le titre du sonnet, «Midi » repris dans le poème : v 5 : « Midi splendide » 2. L’omniprésence du soleil et de sa chaleur: v:2

Un coucher de soleil, en Bretagne de José Maria Heredia Un coucher de soleil sur la côte bretonne Les ajoncs éclatants, parure du granit, Dorent l'âpre sommet que le couchant allume. Au loin, brillante encore par sa barre d'écume, La mer sans fin, commence où la terre finit ! A mes pieds, c'est la nuit, le silence. Le nid Se tait. L'homme est rentré sous le chaume qui fume ; Seul l'Angélus du soir, ébranlé dans la brume, A la vaste rumeur de l'Océan s'unit. Alors, comme du fond d'un

Un coucher de soleil, en Bretagne        Les ajoncs éclatants, parure du granit,      Dorent l'âpre sommet que le couchant allume.      Au loin, brillante encore par sa barre d'écume,      La mer sans fin, commence où la terre finit !        À mes pieds, c'est la nuit, le silence. Le nid      Se tait. L'homme est rentré sous le chaume qui fume ;      Seul l'Angélus du soir, ébranlé dans la brume,      À la vaste rumeur de l'Océan s'unit.        Alors, comme du fond d'un abîme, des traînes,  

Paul VERLAINE Extrait du recueil Poèmes Saturniens le poème « Chanson d'automne » de VERLAINE est écrit lors du symbolisme, les thèmes principaux sont la fuite du temps ainsi que la mort. 8 « Soleil couchant » Les ajoncs éclatants, parure du granit, Dorent l'âpre sommet que le couchant allume; Au loin, brillante encor par sa barre d'écume, La mer sans fin commence où la terre finit. A mes pieds c'est la nuit, le silence. Le nid Se tait,

José-Maria de Heredia (1842 – 1905) Les Trophées Table des matières    LA GRECE ET LA SICILE o L'Oubli o HERCULE ET LES CENTAURES  Némée  Stymphale  Nessus  La Centauresse  Centaures et Lapithes  Fuite de Centaures o La Naissance d'Aphrodité o Jason et Médée o ARTEMIS ET LES NYMPHES  Artémis  La Chasse  Nymphée  Pan  Le Bain des Nymphes o Le Vase o Sphinx o ÉPIGRAMMES ET BUCOLIQUES  L'Esclave  Les Bergers  Le Coureur ROME ET LES BARBARES o Pour le Vaisseau de Virgile o

j’éprouve un profond respect pour leurs écrits dont il m’arrive de m’inspirer. Vous connaissez sûrement Hugo, Verlaine et Baudelaire, ou des poètes modernes tels que Desnos, qui nous enchantent encore aujourd’hui. Vous pourrez découvrir sonnet chez Hérédia, poème au sein d’une pièce de théâtre chez Rostand, la beauté des alexandrins, ou encore la modernité des vers libres. De plus, vous serez séduit par l’élan romantique du poème d’Hugo, ou par le caractère insolite de certaines métaphores.

Romantique. Un coucher de soleil sur la côte bretonne J’ai choisi ce poème car c’était celui qui exprime d’une façon plus réelle mes sentiments pour la mer. Juan M. Salgueiro Un coucher de soleil, en Bretagne Les ajoncs éclatants, parure du granit, Dorent l'âpre sommet que le couchant allume. Au loin, brillante encore par sa barre d'écume, La mer sans fin, commence où la terre finit ! À mes pieds, c'est la nuit, le silence. Le nid


Dans sa flamme implacable absorbe-toi sans fin ; 
Et retourne à pas lents vers les cités infimes, 
Le coeur trempé sept fois dans le Néant divin. Soleil couchant (José María de Heredia) Les ajoncs éclatants, parure du granit, 
Dorent l'âpre sommet que le couchant allume ; 
Au loin, brillante encor par sa barre d'écume, 
La mer sans fin commence où la terre finit. 

A mes pieds c'est la nuit, le silence. Le nid 
Se tait, l'homme est

grains d’or toujours en devenir Croissant au fil des ans en montagnes magniques Recelant des trésors, cavernes magnifiques Qui flamboient brusquement au vent des souvenirs; José-Maria de Heredia (1842-1905) Un coucher de soleil, en Bretagne Un coucher de soleil sur la côte bretonne Les ajoncs éclatants, parure du granit, Dorent l'âpre sommet que le couchant allume. Au loin, brillante encore par sa barre d'écume, La mer sans fin, commence où la terre finit ! A mes pieds, c'est la