Hernani Tragique Ou Comique

célébrées en Grèce des cérémonies religieuses en l'honneur des dieux (notamment au dieu Dionysos : dieu de la fête) et durant lesquelles, des représentations théâtrales étaient données. Les pièces jouées racontaient des histoires dramatiques et comiques. Deux grands genres existaient alors : - Les tragédies : Les héros des tragédies grecques étaient des rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée. La tragédie était un drame Figure 1 : Comédien du théâtre grec

- Eluard, L’amour, la poésie (1929) - Aragon, Le Paysan de Paris (1926) - Breton, Nadja (1928) - Desnos, Corps et Biens (1930) L’absurde Epoque : Seconde moitié de XXème siècle Principes : Les écrivains de l’absurde représentent une image tragique de l’homme, voué à la solitude et confronté à un univers dépourvu de sens. Ils expriment l’angoisse existentielle née de l’impossible de communiquer avec les autres. Objectifs : - combattre les illusions littéraires et philosophiques, qui donnent

badine pas avec l’amour. Problématique : Montrez que cette première scène remplit les fonctions d’une scène d’exposition. Plan : I. Une scène d’exposition II. Une composition symétrique III. Une comédie fantaisiste teintée de tragique. I. Une scène d’exposition 1) Confirmant le titre et le genre. a. On ne badine pas avec l’amour : Badin = peu sérieux, enclin à la plaisanterie. Badiner = plaisanter, dire des choses d’un air enjoué. Badinage = jeu léger, frivole, en amour

traduira notamment par la bataille d’Hernani en 1830 et par une évolution très sensible de la figure héroïque : le protagoniste n’est plus un être entier en adéquation avec le groupe auquel il appartient, mais il devient un être déchiré, un marginal : Hernani est un noble déclassé, recherché, qui doit se cacher, qui se livre au brigandage. Ce déchirement se retrouve également chez le personnage de Ruy Blas (dans la pièce éponyme), héros issu du peuple puisqu’il s’agit du valet de Don Salluste, Grand d’Espagne

forme avec éclat dans l’univers de la littérature : conformes, pour l’essentiel, aux règles nouvelles, elles proposent un modèle de haute tenue littéraire, mais qui use des conventions avec un discernement inventif ; plus enjouées que proprement comiques, plantées dans un décor contemporain, romanesques sans excès, animées sans gratuité, ces œuvres présentent une vraisemblance intérieure tout à fait convaincante, qui est le produit d’un réalisme hautement stylisé. Tout cela s’accorde à merveille

Registres utilisés : - Le merveilleux - Le comique Œuvres principales : - Paraphrase du psaume, Malherbe - Le Cid, Corneille Le Classicisme (1650-1700) - Utilité de l’art : plaire et instruire. - Le respect de règles : 3 unités, bienséance et vraisemblance. - Utilisation de la catharsis. Genres littéraires : - Le théâtre : tragédie et comédie - La fable - Les formes courtes : les maximes, les portraits Registres utilisés : - Le tragique - Le didactique - Le vers régulier

actions se passent ailleurs, à l’entracte ou dans les coulisses. Le spectateur l’apprend par les récits qu’en font les personnages. La tragédie doit aussi respecter la bienséance; le langage sera noble, le style soutenu. Toute familiarité et tout comique est exclu. On ne montre pas de réalisme vulgaire, pas de duel, pas de combats ou suicides. Le sujet doit être emprunté à la légende, l’histoire ou la Bible. Les héros doivent être des personnages d’un rang élevé. La tragédie doit se présenter en

parfaite On veut croire “que c’est pour de vrai” comme un enfant. Dans Racine et Shakespeare, Stendhal raconte que lors d’une représentation d’Othello, un spectateur a tiré sur le perso d’Othello au moment où il allait tuer Desdémone. Dans l’Illusion Comique, Primadant est le perso du crédule qui croit que c’est “pour de vrai”. I.E.2 Rire et / ou pleurer Le théâtre est le miroir de la nature. Pour que le spectateur puisse être ému, il faut qu’il puisse croire à ce qu’il voit. Le monde stylisé qu’évoque

piège de situations non désirées, déchirées par leurs passions, leurs engagements qui les rapprochent des spectateurs. Ces pièces illustrent la vie dans sa grandeur et dans ses faiblesses d’une manière à la fois comique, tragique, grotesque et/ou sublime. Quelques pièces marquantes : - Hernani de V.HUGO 1830 - Lorenzaccio de MUSSET 1834 - Ruy Blas de V.HUGO 1838 Le romantisme entraîne un renouvellement du roman sur trois catégories : - Le roman de l’âme, tout d’abord, ou les personnages s’éloignent

On veut croire “que c’est pour de vrai” comme un enfant. Dans Racine et Shakespeare, Stendhal raconte que lors d’une représentation d’Othello, un spectateur a tiré sur le perso d’Othello au moment où il allait tuer Desdémone. Dans l’Illusion Comique, Primadant est le perso du crédule qui croit que c’est “pour de vrai”. 2 Rire et / ou pleurer Le théâtre est le miroir de la nature. Pour que le spectateur puisse être ému, il faut qu’il puisse croire à ce qu’il voit. Le