Hernani

pièce avec une fin mémorable, même si se n'est pas toujours une fin heureuse, sa reste une fin dont on se souvient. La mort du héros, quand elle est représenter marque forcément plus les esprits que quand elle est racontée. Dans  Hernani par Victor Hugo, la mort de Hernani et Dona Sol et une mort triste, mais c'est une mort par amour, qui touche le spectateur et qui le fait voyager. Si elle aurait était raconté, le public n'aurait pas était autant ému par cette mort, car ils n'auraient pas vu les deux

théâtre pour apprendre. Ainsi, celui qui fréquente assidûment les théâtres apprend beaucoup sur l’évolution des mœurs de son pays par exemple. Il voit Horace et Andromaque, et apprend ce que sont les trois unités, ce que sont les bienséances ; il voit Hernani, drame de Victor Hugo, et mesure l'écart qu'il y a d’une tragédie classique à un drame romantique, plein d'action et de passion ; il voit enfin Anéantis, pièce contemporaine de Sarah Kane, et perçoit la violence de notre société qui accepte de voir

Les écrivains du 19ème siècle. Victor HUGO (Besançon, 26 février 1802 - Paris, 22 mai 1885) Quelques dates : 1829 : Le Dernier Jour d’un condamné. 1830 : Hernani et sa " bataille ". 1831 : Notre-Dame de Paris. 1833 : fait la connaissance de Juliette Drouet. 1841 : élu à l’Académie Française. 1843 : décès accidentel de sa fille aînée Léopoldine. 1845 : Louis-Philippe Ier le nomme Pair de France. 1848 : désigné comme député de Paris à l’Assemblée Constituante. 1852 : l'exil commence

romantisme. En 1827, il publie la pièce de théâtre Cromwell. La préface annonce clairement sa volonté de rompre avec les règles classiques (unité de temps, de lieu et d’action). Hernani en sera la concrétisation. En 1828 paraissent les Orientales et le Dernier jour d’un condamné.   A 27 ans, Victor Hugo présente une nouvelle pièce, Hernani, à la Comédie-Française. Les partisans du classicisme s’offusquent que la règle des trois unités (de temps, de lieu et d’action) ne soit pas respectée. L’affrontement entre

d'Odes) l'occupent jusqu'en 1827. A cette date, il donne Cromwell, grand drame en vers (non joué), avec une préface qui est un manifeste. En 1828 il écrit Marion de Lorme, drame en vers, qui est interdit par la censure, en 1829 les Orientales, en 1830 Hernani, joué à la Comédie française, acclamé par la jeunesse littéraire du temps, peu goûté du public. La Révolution de 1830 donne la liberté à Marion de Lorme, qui est jouée à la Porte Saint-Martin avec un assez grand succès.Dès lors Victor Hugo se multiplie

un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec Notre-Dame de Paris (1831) ou Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827[] et l'illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, notamment sur la peine de mort, l'école ou l'Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890), et

finalement leur amour dans la dernière scène, mais Rosette, qui les observait en cachette, ne supporte pas cette désillusion et meurt d'émotion : « Elle est morte ! Adieu, Perdican ! », conclut Camille. Hernani, Victor Hugo, 1830 L'action principale se situe en Espagne en 1519 (de février à août) où Hernani et Juan Carlos se battent pour l'amour de Doña Sol. Le roi renonce à sa bien-aimée au profit de son rival, que l'on apprend être en fait Jean d'Aragon. Mais ce dernier avait offert sa vie à l'oncle

), et un grand poète (les Contemplation s,  les Châtiments ). Il apporta comme aux autres genres littéraires une contribution majeure au théâtre (Hernani). Marion de Lorme fait parti des pièces de drames romantique privé de représentation par la censure en 1829, elle raconte l’histoire de la courtisane Marion de Lorme et d’un certain Didier, un jeune homme mélancolique et mystérieux qui celui ci est

intellectuellement est une véritable critique de la société. Enfin vient Hugo, sa pièce « Hernani » appartient au mouvement romantique, il mélange le comique et le tragique. La fin illustre bien cette idée puisqu’elle va pour finir par le mariage de Hernani et Dona Sol mais au final ils meurent empoisonnés. La fin est donc tragi-comique tous comme le reste de la pièce. Hugo ne s’arrête pas, le personnage principal Hernani, n’est pas noble, il agit dans un but malsain : venger son père, il veut tuer le roi

La proposition laconique « J’aime Manon » semble « tout dire ». Hernani dit « J’aime doña Sol » et doña Sol dit « J’aime Hernani », Roméo dit « J’aime Juliette » et Juliette dit « J’aime Roméo ». Il y a dans ce « J’aime Manon » une explication de tout, une justification de tout, une raison de vivre, une foi, une voie. - « je me croirai trop bien payé, par un moment passé avec elle, de tous les chagrins » → On croit entendre Hernani : « Si noir que soit le deuil qui s'épand sur ma vie, / Je suis un