Heros Tragique Antigone

président II. La visée du texte avec les arguments du déserteur : famille, leçons du passé avec guerres antérieures... III. L'incitation à la désobéissance civile  avec le problème de la variante à la fin Acceptation des conséquences, comme Antigone... Première partie Les paroles : Significations de chaque couplet : quelles grandes idées y sont développées, et quels en sont les mots-clés ? La musique : Instruments, tempo et rythme, voix. Seconde partie : interprétation Quel est le

Lire Antigone de Jean Anouilh (2) Durée approximative : 11 h 30 Séance 1 Séance 2 Séance 3 Séance 4 Séance 5 Séance 6 Séance 7 Séance 8 Étudier la justification religieuse d’Antigone : Antigone face à Créon (1) La loi et l’interdit Analyser l’argumentation d’Antigone Vocabulaire : autour du mot loi et de l’idée d’obligation Identifier une stratégie argumentative : Antigone face à

Question 1 (3 points) Identifiez les registres employés dans les textes A, B et C. Quelle est la visée de l’auteur dans chacun de ces textes ? Le corpus propose trois textes théâtraux appartenant à deux registres différents : les registres comique et tragique. Le texte A, extrait du Bourgeois Gentilhomme, une des nombreuses comédies de Molière, appartient au registre comique : il met en scène, dans ce passage, M. Jourdain, un bourgeois qui se prend pour un noble, et qui est victime d’un subterfuge. La

Antigone est tragédie de Sophocle et sœur de Polynice. Femme de Thèbes, elle devait du civisme à la tyrannie de Créon, son oncle et tyran armé de son frère Étéocle. La guerre fut, civile parce que l’ennemi sans pitié n’allait pas sans Polynice. Concentrée en combat des deux frères, la guerre civile reçut le point final d’un double fratricide. Au seul Étéocle, la loi de Créon laissa droit aux rites faits de larmes et de terre. Ismène, sœur d’Antigone, plia pour vivre. Antigone, penchée sur Polynice

devant les dieux, la religion, le pouvoir … Il s’agit, pour le public des tragédies grecques, de réfléchir et de juger, à travers les situations proposées, des questions qui se posent au citoyen. Questions d’ordre éthique et politique. Des concours tragiques sont organisés en l’honneur de Dionysos (Les Grandes Dionysies et les Lénéennes), dix jours par an, organisés et payés par un archonte (magistrat). Les dépenses pour le théâtre sont un moyen privilégié pour les citoyens riches de manifester leur

Antigone, Sophocle Sophocle naquit vers les dernières années du Ve siècle avant JC à Colone près d’Athènes. Il est un des trois grands tragiques grecs dont l’œuvre nous est partiellement parvenue, avec Eschyle et Euripide. On sait qu’il est l’auteur d’environ 122 pièces, mais seulement sept nous sont parvenues : Ajax, Œdipe Roi, Electre, Les Trachiniennes, Philoctète, Œdipe à Colone et Antigone. Il emporta le nombre le plus élevé de victoires aux concours tragiques des Dionysies

La tragédie grecque est une manifestation caractéristique d'Athènes du Ve siècle avant J-C. C'est vers 534 que le premier concours tragique des Dionysies à lieu. En effet, la tragédie naît des célébrations religieuses faites pour Dionysos (dieu de la vigne, du vin et de ses excès). En plus d'être basée sur Dionysos, la tragédie présente un personnage en situation de victime, qui est confronté aux drames de la destinée humaine et à des forces qui le dépassent : les Dieux eux-mêmes. De plus, à cette

-C. est l'un des trois grands tragiques grecs dont l'œuvre nous est partiellement parvenue, avec Eschyle (526-456) et Euripide (480-406). Il est principalement l'auteur de cent vingt-deux pièces (dont une centaine de tragédies), mais dont seules huit nous sont parvenues. Cité comme paradigme de la tragédie par Aristote, notamment pour l'usage qu'il fait du chœur1 et pour sa pièce Œdipe roi2, il remporte également le nombre le plus élevé de victoires au concours tragique des grandes Dionysies (dix-neuf)

dépouillée); | |la catharsis (pour un "état modéré et conforme à la raison"). | |- La forme de la tragédie, selon Alain ("Système des Beaux-Arts: Du tragique et de la fatalité."): l'accélération du temps | |- La matière de la tragédie (idem): la passion (Eros-Thanatos) dans "Bérénice"; la "pitié" et la "frayeur" du spectateur (selon Aristote). | |

lyriques dans lesquels on nous fait part de l’expression de leurs doutes, les héros tragiques tentent de se situer et de se définir. L'extrait de la scène 4 de l'acte III d'Hernani nous montre un héros désemparé mais lucide. Dans un monologue très agité, au rythme fréquemment brisé, il fait alterner le présent et le passé, les élans et les incertitudes, et s'adresse à Dona Sol en la prenant à témoin d'une destinée tragique dans laquelle elle n'a pas, semble-t-il, sa place. Le portrait qu'Hernani trace