Hésitation

nuit ; ---- ou plutôt, je l’ai bue! Mais, est-ce moi? Est-ce moi? Qui serait-ce? Qui? Oh! Mon Dieu! Je deviens fou? Qui me sauvera?» (p.48). Alors, par la répétition insistante d’une phrase, le locuteur cherche à démontrer que l’homme vit une grande hésitation, car chaque matin sa carafe d’eau est complètement vide et il ne se souvient pas de s’être levé pour la boire. Parallèlement, le personnage principal est aussi pris au piège par un double qui lui hante l’esprit. Par exemple, dans la citation suivante

INTRODUCTION - Pb : Qu’est ce que le doute ? - —> Pourquoi je doute ? Quand ? - Intérêt philosophique :Qu’est ce que ce doute reflète sur moi ? —> bien ? mal ? —> - enjeux de la réflexion : conséquence et limites du doute I-Cause du doute - Hésitation —> faiblesse intellectuelle ? - capacité de la volonté ? • non : impuissance de l’esprit à se décider • oui : volonté d’examiner : remise en cause permanente - perte de temps : doute inutile —> différents types de doutes - on peut ainsi de

vais vous aider ». L’intervieweur en fait preuve aussi comme le montre la conclusion de cet entretien « Je vous remercie de m’avoir accordé du temps. / Merci infiniment. » * La grille d’entretien est dans l’ensemble respectée, il n’y à pas ni hésitation ni bégaiement, l’organisation et la formulation des questions ont permis de guider et d’orienter l’interviewé vers des réponses précises et claires donnant à l’intervieweur une collecte d’information qualitative exploitable. Il n’y a pas eu de répétition

électrodes vert (en bas) et jaune (en haut) et de l'autre noir (en bas) et rouge (en haut). Mais voilà: je ne me souviens plus de la paire qui doit se situer à droite et inversement, celle qui doit aller à gauche. Après avoir informé le patient de mon hésitation, je vais chercher les informations nécessaires auprès de l'infirmière du service. De retour dans la chambre, je peux à présent terminer mon action. Je place les paires d'électrodes vert/jaune du côté gauche et noire/rouge du côté droit. 2-

sortir du parc école. Il possédait une voix rauque et coléreuse qui m’apeura. Je n’arrivais pas à déterminer d’où cette voix pouvait bien venir, jusqu’à ce qu’un vieil homme au regard perçant, assis sur le balcon de l’école, capte mon attention. Sans hésitation, je partis en courant, terrifié. Cet homme semblait habiter dans l’école Nouvelles-Querbes. Pourquoi y habitait-il? Des suppositions banales, il ne m’en manqua point, mais la vérité, elle, m’apeura. Cette vérité me rongea l’esprit et ne me lâcha

qui ne connaît que les lois naturelles face à un événement en apparence surnaturel". Todorov réduit le fantastique a l’hésitation (mort-vivant, être-non-être, Dieu-Pagan etc.) alors qu’il serait plus correct de voir l’effet a long terme de cette hésitation, voire même d’un doute perpétuel – ce qui nous ramène a l’ambigüité présente dans le fantastique. Tous ces termes sont proches mais soulignent les différences inhérentes de la signification de ce genre littéraire. A cette ambigüité se rajoute

élite exprime sa forte jalousie envers sa bien-aimée, Odette de Crécy ,une courtisane. Après être partie, sous prétexte d’une fatigue souffrante, Odette fut espionné par son amant qui avait un fort sentiment qu’elle le trompe. Swann met toutes ses hésitations à part et tape à la fenêtre, un homme qui ouvre mais c’était juste le protagoniste qui se trompe de maison. On peut alors ici demander la question, en quoi cette scène présente un amoureux type de tous les siècles ?cette question sera traitée en

fut l'heure » l70 « ce fût une terrible chose » l76-77 : Annonce un malheur) 3. Syntaxe particulière qui traduit la peur : phrases souvent brèves, parfois nominales, la ponctuation (!) traduisent l'émotion (l29) III. Le Fantastique né d'une hésitation entre une explication rationnelle et une explication surnaturelle. 1. La Réalité : FOCALISATION INTERNE > impression de réel, témoignage authentique d'un narrateur éclairé de peinture (vocabulaire technique) qui a un domestique (>aisé)

écrasée d'angoisse n'était que clarté » => antithèse D) Des personnages en situation Tchen : nom = 1er mot du texte, mais aucun renseignement sur son passé ni son physique. Mais on connait ses pensées : -préméditation du meurtre -Résolution + hésitations -interrogations sur le choix de l'arme → souffrance intérieure, il est confronté (intérieurement) à lui même plus qu'à sa victime La victime : anonyme, présente à travers des éléments corporels seulement (synecdoque de « pied ») E) L'action

Fiche - Cyrano III, 7Fiche - lecture analytique :Cyrano de Bergerac , E. Rostand (acte III, sc.7) Notes introductives : Après avoir été la plume de Christian pendant quelque temps, Cyrano constate que celui-ci désire se débrouiller seul, et courtiser Roxane avec ses propres mots. Il le laisse faire, mais Christian est lamentable auprès de la jeune femme, alignant péniblement quelques mots maladroits au grand dam de cette dernière. Roxane se braque, monte chez