Hésitation

par André Malraux, auteur engagé du début du XXème siècle. Cet incipit présente les pensées de Tchen, jeune terroriste qui vient assassiner un homme endormi au nom de la Révolution Chinoise. Le meurtre en soi est finalement moins décrit que les hésitations du personnage à commettre cet acte. Quels moyens les auteurs ont-ils choisis pour faire percevoir aux lecteurs les sentiments et les pensées des personnages principaux ? Quelle vision du meurtrier ses trois textes proposent-ils ?             

Sommaire * Poème Clair de lune ; page 5 * Pierrot, de Jean Antoine Watteau ; page 4 * Poème A la promenade ; page 7 * Pèlerinage à l'île de Cythère, de Jean Antoine Watteau ; page 6 * Poème En bateau ; page 9 La valse-hésitation, de René Magritte ; page 8 * Poème Mandoline ; page 11 * Homme jouant de la mandoline, de Carl Spitzweg ; page 10 * Poème L’amour par terre ; page 13 * La Fête d’Amour, de Jean Antoine Watteau ; page 12 Introduction Poète

mère qui souffre elle a perdue Jason. Revirements successifs, elle change d'avis « mais » : elle hésite. Elle continue à aimer ses enfants l.20 tendresse de mère et l23. Sentiments humains : l.20 femme humilié s'exprime puis femme mère. L.28 hésitation d'ordre tragique : tué ses enfants ou pas ? Combat entre vengeance et amour maternelle : opposition vers 10et11. Vers 18a20 séparation entre sentiments de femme et sentiments de mère. Vers 16 et 17 fureur/pitié. Vers 11 et 12 : innocent/criminel

 de la lignée. Il est en plus de cela généreux, v 55 car il accepte sa mort avec  enthousiasme pour cet honneur. ll utilise l’impératif v56 “courons” et reprend l’injonction de son  père “va,cours,vole et nous venge”. A la fin de ce monologue, toutes hésitations à disparues, il  a retrouvée son élan de l’héoïsme. Toutefois, les valeurs de l’amour ne sont pas renier mais  restent secondaires v52­3, car l’amour ne peut exister sans honneur.    De plus, nous trouvons en R l’humanité du héros. Effectivement

narrateur-personnage (je), récit encadré : récit de Tatiana qui elle-même raconte la scène… è complexité temporelle // reconstitution d’un puzzle, enchainement des faits, recherche des causes et des effets èprogression du récit peu linéaire, hésitations Le regard d’un observatrice (Tatiana) // mouvement de la pensée mais rapporté par un autre narrateur discret mais présent AXE 2 : UNE DOUBLE INTRIGUE : RENVERSEMENT DU TOPOS DE LA RENCONTRE AMOUREUSE • scène de rencontre : coup de foudre mais mise

marée noire aura des conséquences terribles. Tout particulièrement, les "bayous" (2) n’ont rien à voir avec des plages et les opérations de nettoyage semblent à cette heure défier la raison. 2 – Communication de crise Hésitation - L’histoire commence avec une première hésitation avec BP qui rejetait la faute sur Transocean propriétaire de la plate-forme et des installations de forage. "C’était leur équipe" qui faisait fonctionner la plate-forme, "ils étaient responsables de la sécurité", avait affirmé

isolationnisme traditionnel (échec du pacte wilsonien, refus du Sénat de ratifier la SDN, interventionnisme limité dans les années 1920). B – Les hésitations de l'entre-deux-guerres – Montrez que les États-Unis sont touchés par la grande dépression des années 1930... – ... qu'ils hésitent à s'engager dans les relations internationales (Neutrality Acts ; hésitations à entrer dans la Seconde Guerre mondiale).... – ... mais qu'ils finissent par prendre part au conflit (après Pearl Harbour : arsenal des

Bérénice Acte I scène IIIntroduction :Le XVIIème siècle est marqué par la mise en place des règles classiques comme celle des trois unités ou encore celle de bienséance et de vraisemblance. Le théâtre classique se caractérise également par la volonté de plaire et d’instruire. Bérénice est une tragédie classique écrite par Jean Racine en 1670. La scène 2 de l’acte I se déroule à Rome dans le palais de l’Empereur Titus, dans un cabinet entre l’appartement de Titus et celui de Bérénice, reine de Judée

peut donner des informations sur la nationalité du sujet. Le discourt direct restitue donc non seulement les propos mais aussi le ton exprimé grâce à la ponctuation. Les points de suspensions par exemple peuvent selon le contexte exprimer une hésitation, un doute, un silence ou encore une surprise. Le point d’exclamation lui est en quelque sorte l’extériorisation littéraire d’une émotion ! Le discourt direct renforce le réalisme d’une scène nous donnant l’impression d’y assister. D’une certaine

LA LITTÉRARITÉ. Une grande hésitation se dessine quand il s’agit de définir le concept de «  littérarité ». Cette hésitation varie selon les écoles et les tendances. Mais il n’en demeure pas moins que le « texte » reste l’unité de base de toute réflexion se rapportant à la littérarité. Dans le Dictionnaire de la linguistique, édité par Georges Mounin (Paris : P.U.F., 1974), Vital Gadbois définit ainsi le