Heureux Vieillesse

Dominique Demers, et illustré par Stéphane Poulin, raconte l’histoire d’un vieil homme en colère qui trouve une petite fée, de la taille d’une allumette, sur la plage. Ils forment une belle amitié et la petite fée offre au vieil homme quelques jours heureux et pleins d’espoir de sa vie avant qu’il ne décède. Cette histoire est racontée par un narrateur omniscient, qui est utilisé pour créer une distance entre le lecteur et l’histoire. Ce livre fait partie d’un album qui contient 4 autres livres ;

il vit un cauchemar : «Depuis incessamment je rêve à mon malheur». La comparaison au premier vers avec les Parques qui aurait «le teint plus heureux» et au second vers des damnés qui seraient «plus heureux» est tragique, ces deux figures étant respectivement celles des divinités maîtresses de la destinée humaine au visages pâles, accablées de vieillesses et de l’enfer. Le dernier vers est surement le plus marquant du poème, la mort elle même serait plus agréable que la vie du «je». Le second sonnet

Nagg/Nell: -restant d'humanité dans le refuge (souvenirs heureux, souci de l'autre=le biscuit, sentiments= essayent de s'embrasser) - mais à cause de la vieillesse dégradation de leur relations (de - en - proches, plus de relations physiques, echec de la communication=Nagg ne fait plus rire Nell) II. L'impossible lien a) Dépendants les uns les autres... :nourriture, clé du buffet, maladie, infirmité, vieillesse=chantage (ex: le biscuit, la dragée) b) Mais désir

Alors que le narrateur est a un dîner mondain ,après s’être retiré de ce monde depuis plusieurs années, il y voit d’anciennes connaissances que le temps passé a transformées. Cet extrait est la description de deux personnages métamorphosés pas la vieillesse qui ont visiblement trop peur de la mort pour se laisser emporter. Pourquoi le narrateur détient-il une place importante dans cette description ? Quels sont les grands thèmes de ce texte? Au fil de se lecture, le lecteur comprend que le temps est

avait eu envie de faire du théâtre : au régiment il jouait dans les vaudevilles militaires. Mais finalement, il était entré dans les chemins de fer et il ne le regrettait pas, parce que maintenant il avait une petite retraite. Il n'avait pas été heureux avec sa femme, mais dans l'ensemble il s'était bien habitué à elle. Quand elle était morte, il s'était senti très seul. Alors, il avait demandé un chien à un camarade d'atelier et il avait eu celui-là très jeune. Il avait fallu le nourrir au biberon

portant sur la beauté ont été donné dans se livre. Selon moi, je trouve que les trois approche qui représente bien celle-ci est la convenance, l'utilité et le bonheur. Suite à ceux-ci, voici ma définition: Tout ce qui convient et qui est utile, me rend heureux. Premièrement, la convenance, comme dit Socrate, est une des définitions de la beauté. Cette approche est montré comme étant esthétique ou fonctionnelle. Suite à la lecture, nous apercevons que Hippias la conçoit comme une convenance de l’apparence

hose que d'être heureux ? Introduction Qui ne désirerait être heureux ? Nul hommeassurément. Mais cela suffit-il pour affirmer que l'homme ne désire jamais rien d'autre que d'être heureux ? La quête du bon¬heur suffit-elle à expliquer tous les comportements humains, voire à résumer toutes ses aspira¬tions ? L'homme semble parfois agir de façon altruiste, c'est-à-dire qu'il semble faire passer le bonheur d'autrui avant son propre bonheur. Il semble aussi parfois agir contre son propre inté¬rêt,

étudiée ici est constituée de dix poèmes, différents de part les auteurs et les formes ; On y trouve cependant un thème commun, celui du temps. Ceux-ci portent non seulement sur les souvenirs et le temps qui passe, mais également sur l'avenir et la vieillesse. Premièrement, nous étudierons les poèmes liés aux souvenirs, puis des poèmes sur le temps qui passe et enfin des poèmes sur l'avenir. J'ai choisi cette disposition

« On honore la vieillesse mais on ne l’aime point ». Cette phrase de Diderot traduit aisément la ségrégation actuelle que j‘ exècre le plus : l’âgisme. Cette discrimination est affligeante. Si nous avons peu de conscience au point de rejeter des êtres pour un cheveu blanc, un dos quelque peu arqué, une dent en or ou un visage flétri, comment pouvons nous clamer la supériorité de notre esprit ? J’éprouve une virulente inimitié pour ces personnes trop faibles d’esprit. Nous devons dignité, respect

Cependant, le croyant ne rejette pas la mort sur les autres mais prend le problème « à bras le corps » car il connaît la réponse. De plus, la mort n’est pas un problème pour lui car il est persuadé que l’au-delà existe et qu’il sera encore plus heureux qu’actuellement. La mort est son propre problème et elle n’est pas une angoisse mais une espérance pour lui. L’approche scientifique à la question de la mort, contrairement à celui de la croyance, nous incite à nous écarter de ces réponses et à ne