Heureux Vieillesse

L’imparfait étant le temps de la description, F décrit « L’ancienne Mme A. » s’elle qu’il a connut qd elle était jeune et non celle qu’il a en face de lui, comme s’il n’acceptait pas de la voir vieillir. En revanche Mme A. est consciente de sa vieillesse et sans doute ressent la déception de F à l’égard de la personne qu’elle est aujourd’hui : « elle acceptait…ces adoration pour la femme qu’elle n’était plus ». « N’étais plus » est un imparfait qui accentue encore le fait F voit et qu’il décrit

en portant la santé à ErxionANONYME Bourguignon du XX siècleTon excellent père souriait à toutes ces bouteilles et tu pensais :Comme il aime sa cave ! - Hé, non ! c'était toi qu'il aimait.Ces vins rares, choisis pour qu'ils atteignent une robuste vieillesse,Que tu admires en eux, il savait bien, le cher homme ,Qu'il ne les boirait pasAPOCALYPSE (14 : 08)Un autre ange le suivit, qui disait : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande,qui a abreuvé toutes les nations du vin de son impudicité

qu’implique le fait de vieillir, peut-on trouver le bonheur? Plus précisément, vivre la vieillesse comme une croissance, incluant la conscience de la mort, et malgré tout y trouver un sens suffisamment solide pour supporter cette réalité et être relativement heureux? L’objectif de cet exposé est de faire ressortir les points principaux de trois auteurs afin de chercher à démontrer s’il est possible de vieillir et d’être heureux. CONTEXTE THÉORIQUE Pour ce sujet assez complexe, les trois auteurs choisis

« Moins on a de sagesse, plus on est heureux. » Commence alors une série d'exemples, comme celui de l'enfance : « D'où vient le charme des enfants, sinon de moi, qui leur épargne la raison, et, du même coup, le soucis ? » qui est selon la Folie l'âge où la déraison est reine, tout comme pendant la vieillesse. Ainsi, en faisant l'éloge de la folie, la narratrice oppose cette dernière à la sagesse, qui selon elle nuit aux hommes et les empêche d'être heureux : « Seule la Folie conserve la jeunesse

VIEILLESSE / SAGESSE Le seul véritable enjeu de la vieillesse, c'est la sagesse, car celle-ci ne saurait être apprise ni par le jeune ni par l'adulte: - jeune, on n'est pas capable d'apprendre la sagesse ; - adulte, on n'est pas (non plus) capable d'apprendre la sagesse ; - par conséquent, c'est dans la vieillesse qu'on peut véritablement apprendre à devenir sage. Définition de la sagesse. La sagesse désigne le savoir et la vertu d'un être. Elle caractérise celui qui

famille, juste le travail, le loisir et le sexe. Pas de maladie, pas de vieillesse chacun à sa place parcourt sa vie organisée ainsi. Le seul culte est celui de Ford, on a scié la partie supérieure des croix pour en faire des "T" et dans chaque conversation, le nom de "Dieu" est remplacé par "Ford" (nom de Ford, oh mon Ford etc...) Les habitants vivent sous "soma" une espèce de drogue qui efface tous les doutes, rend heureux et permet d'oublier, cette drogue est largement distribuée partout (restaurant

question ouverte, le narrateur renvoie aux lecteurs la question qu’il se posait. 3) Les personnages opposés : -Les personnages ont un point commun : la vieillesse comme on peut le voir avec les expressions « vieux Bramin » (ligne 1) et « vieille indienne » (ligne 7). Cette qualification est caractéristique car la vieillesse représente la sagesse et l’expérience de vie. Les personnages peuvent donc évoquer et réfléchir sur la question du bonheur. -Mais les personnages sont présentés

l’invitation. Socrate est heureux de dialoguer avec Céphale parce qu’il a atteint ce qu’appellent les poètes « le seuil de la vieillesse » et Socrate aime parler avec des gens avancés en âge. D’après lui, il « nous faut apprendre auprès d’eux comme auprès de gens qui nous ont devancé sur une route que nous devrons aussi parcourir ». Ils vont donc s’entretenir sur la question de la vieillesse. Céphale est d’abord interrogé par Socrate sur la manière dont il supporte la vieillesse. Il se montre critique

magique, cette innocence est la base de l’âge heureux. On dit heureux parce qu’on est naïve pour voir quelque chose. Comme le dit Marie France Mellone dans son poème « L’âge heureux » et également dans le poème « La jeune poule et le vieux renard »de Jean Pierre Claris de Florian abusant de l’innocence de la jeune poule pour ensuite la mangé. La liberté comme le dit Clément Marot dans son poème « L’enfance de Marot » disparait au fur à mesure que la vieillesse nous vienne. Nous y avons découvert un monde

juste. Montesquieu – L’esprit des lois • Où l’on est bien, là est la patrie. Aristophane – Ploutos IV. Pensées, Egoïsme, Diplomatie • Les hommes n’ayant pu guérir, la mort, la misère, l’ignorance, ils se sont avisés, pour se rendre heureux, de n’y point penser. B. Pascal – Pensées V. Mort, Existence • La mort ne vous intéresse ni mort ni vif, vif parce que vous êtes, mort parce que vous n’êtes plus. Montaigne – Essais • Être ou ne pas être, telle est la question. Shakespeare