Hezbollah

d'une « barrière destinée à empêcher le passage de véhicules motorisés » depuis le Nord-Est de la Cisjordanie jusqu'à la région du Latrun. Le problème des mouvements armés palestiniens : Les organisations armées les plus actives sont le Hamas, le Hezbollah, les Brigades d'Al Aqsa et le Jihad islamique qui sont localisés dans la bande de Gaza et la Cisjordanie. Certaines de ces organisations considèrent les morts civils qui en découlent comme étant des martyrs du jihad islamique. Le Hamas a créé

Après la victoire militaire vient la guerre Tandis que les guerres conventionnelles se font rares, les "petites guerres" se multiplient au tournant du siècle, à l’image du conflit entre Israël et le Hezbollah durant l’été 2006. Plus qu’un simple constat, Les guerres bâtardes montre qu’il s’agit là d’une évolution majeure : la guerre est en train de changer, car si elle se fait dans le respect des conventions internationales, le faible perdra toujours face à l’Occident mieux équipé. L’ "insurgé"

Début le 9 décembre 1987 • L’intifada ce caractérise par une campagne de désobéissance civile. • Israël répond par la répression policière et militaire. 3. La radicalisation du conflit • Création de groupes armée palestinien (Hamas, Hezbollah, Jihad islamique). • Ce conflit ce transforme en guerre asymétrique III. Un processus de paix compromis 1. Les accords de paix • Les accords de camp David en 1978 qui amène au Traité de paix israélo-égyptien en 1979.

dans le conflit syrien - géopolitique du Sud Soudan - géopolitique de l'excision - géopolitique de daesh en lybie - la géopolitique des gangs a LA. - la géopolitique des évangélistes dans la diplomatie américaine - la géopolitique du amas ou du Hezbollah - géopolitique des pachtouns - géopolitiques des tatares - géopolitique du pays basque - géopolitique de la transnistrie en Moldavie - géopolitique du ohkarabagh en azerbaidjan - géopolitique de l'ossetie en Géorgie - géopolitique des inuites

héros » par certaines populations et à certains moments10, il était loin de faire l'unanimité parmi les musulmans. Al-Qaida ne fait pas non plus l'unanimité parmi les mouvements islamistes, militarisés ou non : par exemple, il est accusé par le Hezbollah de faire le jeu de l'administration américaine et par ses actions de porter préjudice à l'islam11. L'ex-secrétaire général de la commission islamique d'Espagne a édicté une fatwa à son encontre12. Le droit musulman, parfois appelé droit coranique

« héros » par certaines populations et à certains moments[6], il est loin de faire l'unanimité parmi les musulmans. Al-Qaida ne fait pas non plus l'unanimité parmi les mouvements islamistes, militarisés ou non : par exemple, il est accusé par le Hezbollah de faire le jeu de l'administration américaine et par ses actions de porter préjudice à l'islam. Notre version : Le Mossad étant au courant des attentats du 11 Septembre 2001 n’a pas prévenu les services secrets américains de la menace. Nous pensons

pression sur l'état d’Israël à partir du territoire Libanais avec le mouvement du Hamas (Résistance islamique créée en 1987) à Gaza . De plus, la Syrie et le Liban fournissent des armes au Hezbollah (mouvement chiite Libanais hostile à l’Israël). L'Israel a parfois répliqué militairement (guerre contre le Hezbollah au Liban en 2006, bombardement de Deir ez Zor en septembre 2007). Face à la crise Syrienne, la position de l’Israël est ambiguë. Un changement de régime pourrait lui être plus favorable

l’instabilité du pays – dont le dernier attentat de dimanche 25 octobre 2009 (100 morts et plus de 700 blessés) est un exemple - et surtout américain et occidental en Afghanistan montrent que la guerre ne peut peut-être plus être gagnée. La guerre entre le Hezbollah et Israël au sud Liban en 2006 est aussi un échec occidental… Comment en est-on arrivé là ? C’est peut-être que l’adversaire a évolué, ne correspondant plus à une force organisée, clairement identifiable, mais qu’il s’incarne dans de nouveaux types

là-bas du soutien de minorités chiite et ismaélienne installées en Arabie Saoudite. Ces groupes pourraient manifester leur mécontentement. Pire, les Houthis, une minorité chiite présente au Yémen et proche du régime iranien, sur le même modèle que le Hezbollah libanais, pourraient tenter une nouvelle action contre le territoire saoudien, comme ils l'avaient fait en novembre 2009 pendant trois mois. L'Iran pourrait s'offrir des moyens de pression à travers les groupes qu'il finance et militarise, y compris

paslimiter le dialogue à la question nucléairemais il doit égalementl'étendre à la politique iranienne dans la région. Ldoit ainsi prendre en considération les déclarations hostiles de Téhéran envers Israel et le soutien étatique au terorrisme (Hezbollah, Hamas). Les milieux conservateurs sont ainsi sceptique quant à la capacité d'Obama à infléchirla posture iranienne. Selon John Mac Cai, la Russie est toujours aussi autocratiqueet ce malgréla politique d'Obama. Par ailleurs, Obama n'est pas assez