Hippolyte Taine

cercles, rencontre Rudolph SteinerN 2 ; en Belgique il voit Charles Van der Stappen, Émile Verhaeren, Ellen Key, avant de rencontrer Giovanni Cena (it) en Italie et de se lier d'amitié avecJohan Bojer. À son retour à Vienne, il défend sa thèse sur Hippolyte Taine, philosophe et historien français (printemps 1904) ce qui lui confère le titre de Herr Doktor, docteur en philosophie. Avant la Première Guerre mondiale, porté par une curiosité insatiable, il fait de nombreux voyages (Wanderjahre) : il parcourt

positiviste répandu à l'époque, qui pensait pouvoir résoudre tous les problèmes par la science. Zola s'est notamment appuyé sur : - les théories du naturaliste britannique Charles Darwin (1809-1882) et la pensée de l'historien et philosophe français Hippolyte Taine (1828-1893) : il développe ainsi la conception d'un homme totalement déterminé par son milieu et par les lois de l'hérédité ; - les méthodes de la science expérimentale, mises au point par le physiologiste Claude Bernard (1813-1878) : l'écrivain

Quesnay, Anne Robert Jacques Turgot, Benjamin Franklin, Thomas Paine, Thomas Jefferson, Adam Smith, Jean-Baptiste Say, Alexis de Tocqueville, Charles Comte, Charles Dunoyer, Augustin Thierry, Frédéric Bastiat, Gustave de Molinari, John Stuart Mill, Hippolyte Taine, Ludwig von Mises, Friedrich A. Hayek, Ayn Rand, Leonard Read, Henry Hazlitt, Murray Rothbard, etc. Les plus récents ont bien sûr en général une pensée libérale plus cohérente et affinée que leurs prédécesseurs, précisément parce qu'ils s'appuient

et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient que la race, le milieu naturel, social et

l’objet d’une campagne, malgré sa date. C’est comme s’il fallait encore prouver des choses dans le premier alors que dans le deuxième, sa grandeur semble établie, acquise, indiscutable, elle est plus prise au sérieux. Question 2 : (page 4) - Hippolyte Taine est un philosophe, historien et critique français du 19e siècle. - Il définit l’écriture de l’histoire comme un juste milieu à trouver entre « art » et « science ». En effet, l’écrivain lorsqu’il écrit des mémoires doit faire preuve d’inspiration

prétention au cœur même de la philosophie des lumières → citation TD Burke. Remise en cause du volontarisme comme de l'individualisme. L'universalisme : Maistre dit que ces textes qui s'adressent a tous les hommes, mais qui sont ces hommes ? Hippolyte Taine (1828-1893), les origines de la France contemporaine : « jamais des faits, des.... » (citation dans TD). Le légicentrisme : Ils considèrent que les bonnes lois ne sauraient être le résultat d'une délibération, elles ne peuvent être que le résultat

Christophe Colomb, qui - au travers de ses voyages - donne la possibilité à l’humanité de s’ouvrir au monde et aux cultures étrangères, de découvrir de nouveaux mœurs et de parfaire sa capacité d’adaptation, que l’homme commence à s’enrichir. Hippolyte Taine dit « On voyage pour changer, non de lieu, mais d’idées ». Cela nous éclaire sur la notion de voyage qui, d’après Montaigne à plusieurs significations ; Le voyage physique et le voyage intérieur. Le voyage physique consiste à découvrir des terres

méthode strictement scientifique qui se rapproche de celle mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. C'est dans la préface de Thérèse Raquin et surtout dans le Roman expérimental que Zola formule sa théorie. Prenant comme modèle le docteur Bernard de la Médecine expérimentale (1869), et suivant sa méthode pas à pas, Zola considère que «le romancier

écrit des poèmes. L'un d'eux est publié dans "Le Travail" dont le rédacteur en chef est Georges Clémenceau. Chez Hachette, il grimpe vite les échelons et, devenu responsable de la publicité, entre en contact avec les grands écrivains de la maison : Taine, Renon, Littré, Sainte Beuve...Il jette sur les moeurs littéraires un jugement sévère. Il écrit à un ami d'Aix , tenté par la littérature : "Si vous saviez combien peu de talents ont de la réussite, vous laisseriez là plume et papier, et vous vous

"Bel-Ami", nommé d'après son roman plus tôt. Cette vie fiévreuse ne l'empêche pas de se faire des amis parmi les célébrités littéraires de son temps: Alexandre Dumas fils avait une affection paternelle pour lui, à Aix-les-Bains , il a rencontré Hippolyte Taine et est tombé sous le charme du philosophe-historien. Flaubert a continué à agir comme son parrain littéraire. Son amitié avec les Goncourt fut de courte durée, son caractère franc et pratique réagi contre l'ambiance de commérage, de scandale