Histoire Des Arts Le Triomphe De La République

TD Histoire Contemporaine – M. GHARBISéance 1 : L’année 1789 est une année marquée par une multitude de crises : crise politique (essoufflement du pouvoir royal), crise économique, crise sociale et surtout une crise financière avec une dette absolument insupportable. Tout cela remonte déjà au XVIIe siècle, dans les années 1630-1640, on a un groupe de personnages, les libertins, des personnes qui pensent librement, ils vont avoir des réflexions sur différents sujets. Ces personnes vont

chefs s’abâtardit en latin vulgaire, les notables gaulois revêtirent, dit-on, librement la toge, et les mains gauloises, certes, mais conduites par le génie romain, firent se dresser les monuments dont nous nous émerveillons aujourd’hui : arc de Triomphe et théâtre d’Orange, Maison carrée de Nîmes, pont du Gard, Antiques et théâtre d’Arles, sans parler des Alyscamps, etc. Et n’oublions pas que, bien avant César, toute la Gaule, de Narbonne aux Allobroges, était provincia romana, vers 125 avant J

facteur ` ˆ d’embarras. Or Bel-Ami, recit d’un seducteur ambitieux qui, ´ ´ grace a son charme, reussit dans les milieux de la presse ´ ˆ ` sous la IIIe Republique, se revele etre un choix pedagogique ´ ´ ` ˆ ´ judicieux. En effet, l’œuvre de Maupassant s’inscrit remarquablement dans la perspective du nouveau programme : le roman propose une histoire singuliere sur un mode réaliste tandis ` que la fiction offre une representation du monde et des per´ sonnages à valeur emblematique. Ainsi, l’ecrivain

réforme durablement l'État et la société. Il porte le territoire français à son extension maximale avec 134 départements en 1812, transformant Rome, Hambourg, Barcelone ouAmsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italiennede 1802 à 1805, puis roi d’Italie du 17 mars 1805 au 11 avril 1814, mais encore médiateur de laConfédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Il conquiert et gouverne la majeure partie de l’Europe

Néanmoins ces fabuleux progrès éveillent pour beaucoup, un certain nombre dʼinquiétudes liées à un sentiment, plus ou moins justifié, de dilution des spécificités locales, phagocytées par lʼogre que constitue la mass-culture. Ainsi, du Ministre de la République défendant la «spécificité culturelle française» au paysan mettant en valeur son terroir, nous sommes à peu près tous acteurs volontaires de la scène mondialisée tout en restant attachés à ce qui fonde notre singularité (et ce à diverses échelles

Dans un noble monologue, l'empereur annence son intention de pardonner: |« Je suis maître de moi comme de l'univers. | |Je le suis, je veux l'être. O siècles, ô mémoire, | |Conservez à jamais ma dernière victoire! | |Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux | |De qui le souvenir peut aller jusqu'à vous. | |Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie... » | Cela nous rappelle que la morale de Corneille est profondément optimiste. Pour lui, qui

parlement de Paris, et, avec sa femme, Pâquette Leclerc, dirigeait une puissante famille de la haute bourgeoisie de robe. Ils avaient sept enfants dont cinq garçons, unis par les goûts et les intérêts, d'esprit ouvert, passionnés de littérature et de beaux-arts, tous ambitieux et ravis de vivre en France sous le règne du plus grand des rois. L'aîné, Pierre, allait être receveur général des finances ; le second, Nicolas, théologien et vibrant défenseur du jansénisme ; le troisième, Claude, médecin, savant

clair que sa riche expérience de l’enseignement a fortement contribué à façonner sa doctrine éducative en lui donnant une assise concrète. Toutes ces activités se sont inscrites dans le cadre de l’histoire en train de s’écrire, du combat pour faire triompher la révolution et édifier une société nouvelle. La doctrine éducative de Mao Zedong s’est donc très largement appuyée sur les deux aspects de son expérience révolutionnaire. Les fondements théoriques Dans les premières phases de son action, Mao

sont soutenues par d'autres acteurs. I) Les origines : A) Le contexte économique : La crise survient à la fin d'une décennie de très forte prospérité, on parle à ce moment là de l'apogée des «Trente Glorieuses». La société de consommation triomphe afin de s'installer dans les meurs entraînant des déséquilibres mondiaux qui se développent petit à petit. Mais on assiste aussi à des crises monétaires, un certain ralentissement de l'activité, à une ouverture des frontières commerciales dans la

parlement de Paris, et, avec sa femme, Pâquette Leclerc, dirigeait une puissante famille de la haute bourgeoisie de robe. Ils avaient sept enfants dont cinq garçons, unis par les goûts et les intérêts, d'esprit ouvert, passionnés de littérature et de beaux-arts, tous ambitieux et ravis de vivre en France sous le règne du plus grand des rois. L'aîné, Pierre, allait être receveur général des finances ; le second, Nicolas, théologien et vibrant défenseur du jansénisme ; le troisième, Claude, médecin, savant