Histoire Des Idées Politiques Machiavel

alternativement sous un angle plutôt stratégique, financier, ou comportemental a donné naissance à des théories contradictoires. Ces divergences résultent plus profondément de clivages idéologiques et philosophiques. Les idées philosophiques émanant d'auteurs tels que Machiavel, Kant, ou encore Locke et Marx, permettent de comprendre la diversité des approches théoriques. Les conceptions différentes à propos de la nature de l'homme et de la meilleure organisation de la société qui sont les leurs

demos, soulignant ainsi que le Conseil n’était pas perçu comme le représentant du peuple. La Boulè était simplement une magistrature collégiale. N. Urbinati : Je suis d’accord. Le lieu de la représentation politique, c’est là où les lois sont faites. En ce sens, les érudits et leaders politiques du XVIIIe siècle reconnaissaient que les Modernes avaient introduit quelque chose que les Anciens ne connaissaient pas. Peut-être la révolution constitutionnelle anglaise du XVIIe siècle a-t-elle été une étape

auteurs , leurs idées, leur œuvre : Erasme est un philosophe, humaniste et théologien. Considéré comme l'une une des figures majeures de la renaissance tardive. Il écrit l'oeuvre suivante : Eloge de la Folie en 1509 et imprimée en 1511.C'est au cours de ses voyages sur les routes d'Italie et d'Allemagne qu'il écrit en une semaine pendant son séjour chez Thomas More : Eloge de la Folie. C'est l'une des œuvres qui ont le plus influencé la littérature du monde occidentale. Machiavel penseur Italien

QUELLE PLACE POUR LE MYTHE EN POLITIQUE ? INTRODUCTION Le mythe est un récit imaginaire, d’origine populaire ou littéraire, qui met en scène des personnages surhumains ou divins dont les évènements fabuleux ou légendaires peuvent retracer l’histoire d’une communauté, symboliser des aspects de la condition humaine ou encore traduire les croyances, les aspirations ou les angoisses de la collectivité pour laquelle ce mythe a un sens. Concrètement il s’agit donc d’un récit qui se veut explicatif

Cours 2: Histoire du XVIème siècle = renaissance et humanisme, courant religieux et guerres de religion. Introduction : Tableau. Glaive : symbole du pouvoirs militaire. Représentation d'un monarche qui porte un livre (naissance de l'imprimerie). Les personnages ont les yeux bandés : ignorance. On laisse le peuple du Moyen-Age. Renaissance : Au règne de François I, rupture avec le Moyen-Age, nouvel âge. Les lettres antiques renaissent. Rabelais, La lettre de Pantagruel à Gargantua (page 5).

loin aux guerres nationales du siècle dernier, par exemple – et la complexité interne de chaque guerre. Je me limiterais ici à deux idées que je juge essentielles, et cependant discutées ou discutables. 1) Première idée : la guerre n’est pas une relation d’individu à individu, mais une relation d’Etat à Etat, de peuple à peuple. Elle est un fait politique. Il convient donc de distinguer l’inimitié privée et l’hostilité qui est « publique ». Le soldat qui veille dans la tranchée, ce n’est

L’humanisme L' humanisme et ses histoires[modifier] À l’origine, le terme humaniste vient de l'italien umanista, le professeur qui enseigne les « humanités », c’est-à-dire la grammaire et surtout la rhétorique latine et grecque. Cette acception remonte à l'éducation antique et médiévale. Un siècle avant la fin de l'Empire romain d'Orient, des Grecs érudits étaient venus en Italie et donnèrent des cours de grec à Florence. Le Concile de Bâle-Ferrare-Florence-Rome, où échoua la tentative de

et la crise politique Séance 6 : le roi et ses courtisans Etape 3 : la revanche des femmes Séance 7 : l’impossible soumission Séance 8 : la victoire des femmes Etape 4 : Fin de partie Séance 9 : le pouvoir caricaturé Séance 10 : peopolisation de la vie politique Introduction : N’en déplaise à Julien Brenda qui stigmatisait dans La trahison des clercs en 1927 les écrivains engagés, la littérature s’est souvent affirmée dans un questionnement face à l’histoire et à la politique. Si l’année

sur l’idée de la  « corruption de l’Eglise ». Il critique la papauté de s’enrichir par l’exercice du culte, par le biais d’une pression morale injuste exercée sur les fidèles. L’inspiration des réformateurs est en priorité théologique mais aussi politique de façon indirecte.     Martin Luther (1483-1546) :    C’est l’initiateur de la réforme qui commence par s’insurger contre les indulgences qui se fondent sur un principe blasphématoire. Il prône un retour strict au christianisme pur de Saint

soulignant ainsi que le Conseil n’était pas perçu comme le représentant du peuple. La Boulè était simplement une magistrature collégiale. N. Urbinati : Je suis d’accord. Le lieu de la représentation politique, c’est là où les lois sont faites. En ce sens, les érudits et leaders politiques du XVIIIe siècle reconnaissaient que les Modernes avaient introduit quelque chose que les Anciens ne connaissaient pas. Peut-être la révolution constitutionnelle anglaise du XVIIe siècle a-t-elle été une