Histoire Du Signe Linguistique

communiquent càd. envoient des messages, des informations. Limiter le langage humain à une communication serait réducteur : c’est oublier que l’on peut créer des mondes avec la parole. On peut décrire à autrui des personnages extraordinaires, des histoires impossibles, raconter nos rêves les plus extravagants alors que la communication est infiniment moins riche mais pratique (voir la différence entre communication animale et langage humain à la fin du cours). Cf. pour illustrer la richesse de la

1.1 Définition de la langue 1.1.1 Qu’est-ce que la langue ? Pour commencer, je pense qu’il est important de bien saisir le sens du mot « langue » afin de bien appréhender la suite de ce mémoire. Ce dernier n’étant pas à vocation linguistique, j’essaierai d’expliquer simplement et sans entrer dans des détails explétifs à ma recherche ce qu’est la langue. L’étymologie est un guide qui permet de décortiquer l’origine d’un mot et qui aide à en comprendre le sens. Comme Tolkien l’aurait certainement

PSYCOLOGIE DE LA COMMUNICATION : La communication est une activité sociale qui intéresse beaucoup de disciplines. ( Sociologie, histoire..) et plus particulièrement sur les processus de communication. Processus de communication considéré comme paradigme d’investigation entre langage et pensée. Aujourd’hui on considère la communication comme un champ d’observation scientifique. Par ex la psycho utilise la communication pour observer et analyser différentes choses : caractéristiques des interlocuteurs

différence d’autres récits surchargés de faits et aventures) à l’intérieur (l’introspection). A côté de la réduction de l’intrigue, il y a aussi réduction de personnages, sans que la force du récit en soit diminuée. Tout le roman se trouve sous le signe de la dualité, de la scission. Les mots de l’écrivain, extraits dans un journal, qualifient très bien cette situation : « Il y a en moi deux personnes, dont une observatrice de l’autre » (1804). Le roman est construit sur cette double hypostase de

logique naturelle selon Grize, l’argumentation, le signe, la communication discursive, la contradiction et aspects de mes réflexions). La théorie de la logique naturelle selon Grize La logique naturelle, selon Grize, cherche des traces des opérations de pensées dans le discours. Elle cherche à les décrire, pour mieux comprendre comment elles constituent et organisent les contenus des discours. La logique naturelle ne tient pas plus de la linguistique que ne le fait la rhétorique, en effet les deux

l’objet d’une présentation détaillée. Daniel FILÂTRE CAMPUS DE TOULOUSE - LE MIRAIL DEUST Médiations sociales et documentaires : Animation 05 61 50 46 28 Licences professionnelles Développement et protection du patrimoine culturel : Images et Histoire Hôtellerie et tourisme : Ingénierie, conception, organisation et gestion des systèmes alimentaires (Toulouse - Kuala Lumpur / MALAISIE) Hôtellerie et tourisme : Ingénierie, conception, organisation et gestion des systèmes hôteliers et de restauration

peuvent être analysés dans un texte littéraire (nous en distinguons une trentaine : thèmes, actions, personnages, rythme, etc.) ; (3) la plupart des approches qui peuvent être utilisées pour analyser ces aspects (nous en distinguons une quarantaine : histoire littéraire, thématique, psychanalyse, sémiotique, etc.). Malgré leurs indéniables qualités, les livres c­ omparables couvrent seulement, en tout ou en partie, l­ ’une ou l­ ’autre de ces trois dimensions. Par exemple, Méthodologie littéraire (Labre

seule mémoire, sur l'amertume d'un souvenir sans lendemain. Du point de vue thématique, les Mémoires d'un fou préfigurent l'œuvre entière de Flau bert : le premier texte a tout dit. Pourquoi donc le répéter, le reprendre ? Pourquoi ré-écrire la même histoire 5 ? Il faudra tâcher de voir en quoi la reprise modifie le texte, et comment la répétition interprète — et transforme — le texte qu'elle copie ; comment la copie déconstruit le modèle : car Novembre, c'est, avant tout, une relecture des Mémoires

conception structuraliste du texte littéraire et à une psy chanalyse lacanienne, Bellemin-Noël, surtout depuis 1980, a pris ses distances vis-à-vis des excès d'un certain « lacanianisme », et s'est efforcé d'intégrer à sa démarche les acquis d'une linguistique de renonciation. Pour faire apparaître cette évolution, et en analyser les composantes et les conséquences, je confront erai les deux ouvrages de Bellemin-Noël qui présentent l'élaboration ici théorique la plus poussée de chacun de ces deux

l’action de l’homme sur le monde, support de représentation, il ouvre l’accès à une autre scène, métaphorique, et à un univers logique, symbolique, dont la nécessité échappe aux contraintes spatio-temporelles qui régissent le réel. L’opposition entre histoire et discours (ou encore récit et discours) a été introduite par Emile Benveniste, sur la base d’une analyse des systèmes du temps du verbe en français. «Les temps d’un verbe français ne s’emploient pas comme les membres d’un système unique, ils se