Histoire intellectuelle

que le peu d’elle qui reste fait toute la clarté qui, à travers les obscurcissements de la politique, luit encore dans les consciences ». La figure de l’intellectuel ainsi que sa fonction naissent de l’Affaire. I- UNE CONNAISSANCE NECESSAIRE - Intellectuels, juges, historiens Affaire étudiée comme un événement dominant du point de vue social et culturel, une situation politique décisive qui a vu les valeurs de justice, de vérité et de citoyenneté s’affronter au dogme de la nation, de l’armée et de

consiste à indiquer aux employés le meilleur moyen de réaliser une tâche, il décide des objectifs à réaliser et du temps et des moyens pour les réaliser. L’ouvrier n’est pas là pour penser mais pour exécuter des gestes calculé pour lui. Tout travail intellectuel doit être éliminé des ateliers de travail pour être concentré dans le bureau des méthodes (penseur). Henry Fayol : Diriger sa veut dire planifier, organiser, commander, coordonner et contrôler. Dès 1900 sa manière de diriger est l’administration

rue d'Ulm où il obtient l'agrégation de philosophie. -un des sociologues français les plus importants de la deuxième moitié du xxe siècle et qui, à la fin de sa vie, devint, grâce à son engagement public, l’un des acteurs principaux de la vie intellectuelle française -Sa pensée a exercé une influence considérable dans les sciences humaines et sociales1, en particulier sur la sociologie française d’après-guerre.  -Dans ses travaux très variés, il analyse les différents domaines de la société

changements politiques et sociaux importants. Ces mutations diverses ont par la même occasion amorcé et contribué à la naissance d’une nouvelle catégorie de population suite à divers évènements survenus durant la troisième république ; les intellectuels. L’on désigne intellectuelle toute personne dont l'activité repose sur l'exercice de l'esprit et qui s'engage dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets les plus variés ou pour défendre des valeurs. Cette catégorie

par la police, homme à femmes, confident intime du roi Louis II de Bavière, critique et analyste musical, intellectuel en proie aux errements idéologiques de son époque qui sera récupéré, après sa mort et dans un contexte différent, par les nazis ; son comportement et ses œuvres laissent peu de gens indifférents. Aussi doué pour nouer des amitiés dans les cercles artistiques et intellectuels que pour les transformer en inimitiés, sachant créer le scandale comme l'enthousiasme, il suscite des avis

scientifiques, au début du quatorzième siècle. Dans le domaine des connaissances, l'Eglise avait adopté une attitude anticulturelle, étouffant ainsi bon nombre de talents. Le passage du Moyen-Age à la Renaissance se marque surtout par un mouvement intellectuel, lequel pourrait se signifier par le passage d'un monde clos sur lui-même à un univers nouveau entièrement ouvert sur de nouvelles découvertes, qui remettent en question l'enseignement traditionnel de l'Eglise elle-même, sur la place de l'homme

de l’école et celle des catégories dominantes favorise la réussite scolaire des enfants de ces dernières. (Ex : enfants de professeurs). - Ne pas confondre le « don naturelle » avec « l’héritage social », chaque élève dispose d’une même base intellectuel sans les contraintes du milieu que sont les différentes représentations de l’école dans la société, la probabilité de la réussite scolaire résulte donc de tous ses facteurs. - « La fonction mystificatrice », comme évoqué au début de la synthèse

et ne garantit aucunement d'être la plus pertinente ? En apportant des éléments de réponse, Claude Julien sous-tend une autre problématique : Comment et pourquoi, un intellectuel se doit de se heurter au(x) pouvoir(s) afin de préserver sa liberté de pensée ? Les propos de l'auteur ne ciblent pas uniquement les intellectuels, ils s'adressent à quiconque observe, comprend, analyse... Le pouvoir étant présent dans différentes sphères et à différents niveaux, la réflexion de Claude Julien peut

que le travail libère l’homme de l’ennui. Il lui permet de se donner un but, de remplir une tâche concrète ; en bref, de remplir sa vie, tant au sens littéraire que littéral. De plus, le travail permet à l’homme d’accumuler des savoirs, tant intellectuels que manuels selon l’activité. Tout d’abord, l’homme qui exerce une activité professionnelle se sent utile. En effet, il participe au bon fonctionnement de la société : son activité n’est pas vaine et inutile, au contraire. L’homme sent qu’il

connaissances, c’est le cas du condamné à mort dans « le dernier jour d’un condamné », ce jeune homme au gout raffiné en littérature mais qui ne comprend que dalle quand il s’agit d’argot. Cependant un intellectuel devrait-il se contenter de son bagage livresque, ou au contraire il doit être ouvert à la qualité médiocre de la culture que lui propose le monde extérieur ? Dans notre société, l’intellectuel est phénoménalisé, et donne souvent l’impression