Histone

cellulaire commun aux cellules animales et végétales. a. Le Noyau Contient le matériel génétique sous forme de chromatine. Cette chromatine (chromosomes décondensés) est formée de plusieurs molécules d’ADN double brins associées à des protéines appelées histones. 2 zones dans le noyau : L’hétérochromatine : très sombre, car structure très dense et est situé en périphérie du noyau. Euchromatine : diffuse, et située au centre du noyau. Le tout est contenue dans le nucléoplasme, séparé su cytoplasme par

pores sont tapissés d’une structure protéique nommée le complexe du pore nucléaire, qui régule le transport bidirectionnel et sélectif entre le noyau et le cytoplasme : Les protéines synthétisées dans le cytosol sont transportées dans le noyau, les histones (impliquées dans la stabilisation des chromosomes), ADN et ARN polymérases (impliquées dans la synthèse d’ADN et d’ARN), protéines régulatrices de gènes et les protéines de maturation de l’ARN. Les ARNT (ARN de transfert), ARNm et des ribosomes sont

environnement extérieure. Protéine: macromolécule constituée d’une ou plusieurs chaines d’acides aminés liés entre eux par des liaisons peptidiques. Elle présente un rôle structural, catalytique, d’expression des gènes et dans la compaction de l’ADN (histone). 1-1- Une approche historique En 1964, M. Lucien d’Hinterland, biologiste, a crée la société d’Extraction de Produits ORGAniques (SEPORGA) à Nice. Son but était l’élaboration de principes actifs organiques d’origines bovines pour la cosmétique

la transmission des gènes dans les populations. Epigénétique : étude des changements héréditaires dans la fonction des gènes, ayant lieu sans altération de la séquence ADN. Mécanismes épigénétiques : méthylation ADN, méthylation/acéthylation des histones (→ méthylation –répression / acéthylation –activation.), sIRNA. ≠ La génétique des populations s’intéresse aux variations intra-spécifiques existantes. (Génotype → environnement → phénotype.) Rappels : Les caractères

cours d’un cycle cellulaire Dans le noyau d’une cellule humaine, les molécules d’ADN sont enroulées autour de protéines spécifiques appelées histones. Le degré d’enroulement de l’ADN est variable au cours de la vie cellulaire. En dehors des périodes de mitose, l’enroulement est relativement lâche, on dit que l’ADN est décondensé. L’association ADN-histones décondensé forme des filaments très fins appelés nucléofilaments (=filaments du noyau) uniquement visibles en microscopie électronique à très

du complexe centriolaire. Le centriole proximal s’applique contre l’enveloppe nucléaire, contre l’invagination. A la fin de la migration de l’acrosome, le noyau est devenu ovoïde, perd ses nucléoles et se condense progressivement en remplaçant les histones (riches en histidine) par des protéines basiques (riches en arginine et cystéine). Le noyau se présente sous l’aspect d’un seul bloc d’hétérochromatine délimité par une membrane. L’acrosome recouvre la moitié antérieure du noyau et le cytoplasme

lipides dont la peroxydation génère des aldéhydes mutagènes, formant des adduits sur les bases de l'ADN de type MDA-guanine ou éthénodérivés. L'attaque radicalaire des protéines qui sont très nombreuses à entrer en contact avec l'ADN pour le protéger (histones) ou pour le lire (enzymes et facteurs de la réplication ou de la transcription), entraîne des pontages des protéines ou des adduits sur des bases de type lysinoguanine. Le rôle des nombreux métaux fixés à l'ADN, qui est un polyanion (Fe, Mg, Zn,

l’activation d’un gène dépend d’un facteur de remodelage de la chromatine qui permet : à des enzymes de modifier les histones, à des gènes précoces qui sont souvent des facteurs d’activation nucléaire d’accéder à la chaîne d’ADN à l’ARN polymérase de transcrire l’information génétique en ARN messager (mARN). Ce système de remodelage de la chromatine et de modification des histones maintient un état d’activation ou de répression de la transcription. La destinée des cellules est ainsi déterminée par

les protéines nucléaires qui lui sont associées, et des molécules d'acide ribonucléique (ARN) qui résultent de la transcription de l’ADN. Les diverses protéines nucléaires servent aux fonctions et aux structures du noyau (ADN et ARN polymérases, histones, protéines de régulation des gènes, etc) ou constituent la lamina nucléaire. Les ARN messagers produits au niveau du noyau y subissent plusieurs remaniements ou "processing" (ajout d’une coiffe, ajout d’une queue poly-A, épissage) puis doivent sortir

réplication. Les fourches de réplication vont toutes à la même vitesse pendant la phase S mais toutes les origines ne démarrent pas en même temps. L’ADN est entouré d’histones pour pouvoir être compacté. On a des filaments. Pendant la réplication, les histones sont éliminés et se réassocient ensuite. Les modèles levure. Saccharomyces cerevisae : levure bourgeonnante (c’est-à-dire qu’elle a un cycle de réplication par bourgeon). Il n’y a pas de désagrégation du noyau, une partie part dans le bourgeon