Hobbes Les Noms Des Choses Qui Ont La Propriété De Nous Affecter

politique, tant qu’ils ne sont pas vitaux. 2. Une transformation des relations entre gouvernants / gouvernés. a/ des gouvernants représentant les gouvernés Au milieu du XVIIème siècle apparaît une rupture, qu'on doit à T. Hobbes, qui fait publier sa 1ère édition du Léviathan : le Léviathan est un monstre qui apparaît composé de 1000ers d'individus. C’est donc à l’Epoque moderne qu’on propose de revisiter le rapport entre gouvernants et gouvernés. Désormais, les gouvernants

(1652) de Gerrard Winstanley  ; Le Léviathan de Hobbes (1651)  ; Oceana de James Harrington (1656)  ; enfin, venue des Pays-Bas, l'utopie œcuménique d'une petite république coopérative proposée par Peter Plockoy, inaugurateur du mouvement migratoire, qui ira, en Amérique du Nord, modeler, comme utopies pratiquées, mainte utopie écrite, rêvée ou projetée en Europe. Au XVIIIe  siècle, c'est l'utopisme français qui prend la relève. Quelques grands noms de la littérature s'inscrivent dans ce courant 

le rapport entre éthique es théologie, la question de la scholastique plus tardive et la notion de « philosophie de la religion » (qu’est-ce qu’une religion au moyen âge ?).  La religion au MA orbite autour ces 3 pôles : Loi, Raison, Sentiment (affect). Que la foi se trouve au centre de la Religion, ce n’est qu’une idée qui apparaît à la fin de cette période. Nous allons, donc faire une sorte de « généalogie » de la foi, c’est-à-dire, nous allons explorer comment apparaît-elle comme conviction

manières d’envisager ces rapports atteint son intensité maximale. A- NATURE Le terme de nature renvoie à ce qui existe spontanément, à ce qui est originel, ce qui préexiste à l’homme : elle n’est pas seulement un ensemble de choses, mais un principe de production des choses. Se demander si l’homme est un être de nature peut à la fois sembler aller de soi, dans la mesure où l’homme appartient au règne du vivant et est soumis aux lois de ce règne, et sembler paradoxal, car l’homme n’est accessible

X. Les choses : * Apparaissent dans le langage juridique comme des biens, c'est-à-dire considérés avec des personnes. Les droits des personnes sur les biens sont des droits réels (immédiatement sur une chose) la personne à le droit de retirer de cette chose tout ce qu’elle comprend. Le droit personnel est celui que la personne exerce Ces droits sont le patrimoine d’un individu (droit évaluable en argent) * A Rome, il y a des choses sacrés (temple

§2 : Théorie idéaliste : → le droit a pour objet le bon et le juste des hommes. Il poursuit un idéal de justice. 2 grands courants idéalistes : 1° courant du droit naturel →il existe un droit dans la nature des choses. Autrement dit, il existe dans le droit une organisat° idéale. On reconnait qu’elle est là car elle est abstraite. Ex : on sent qu’il est lal de tuer : on ne sait pas pq mais cela nous semble naturel. • le droit naturel antique : Aristothéicien → il existe une

volontés entre les individus), c’est de leur plein gré que les individus se soumettent au pouvoir étatique. Cette conception existait déjà dans la philosophie grecque et dans le moyen âge chez Saint Thomas d’Aquin ; théorie défendue en Angleterre par Hobbes et Locke. Elle a été défendue par Rousseau qui s’interroge sur l’origine de l’Etat, part de l’état de nature ; dans cet état de nature il va distinguer quatre étapes : L’homme vit seul, il a des besoins limités, son seul intérêt est de survivre,

la cité, qui s’en occupe, qui participe aux débats (magistrats), c’est une vie consacrée à l’action politique ; ou bien la vie du philosophe qui se consacre à la méditation, à la contemplation, aux études – Ces trois modes de vie s’intéressent aux choses qui ne sont ni utiles, ni nécessaires. A savoir le beau, le juste et la vérité.  Trois valeurs fondamentales du monde grec. On peut dire ici que vivre en homme libre, c’est vivre une vie bonne ayant pout fin, but, l’accomplissement de soi. Aristote

souhaite se séparer de sa femme), et qui pour cela quitte la religion. En France, Philipe IV Le Bel, souhaite se défaire aussi de la religion, et de Boniface VIII, pape cherchant à avoir trop d'influence sur la France, au goût de Philipe le Bel. B) Hobbes. (Thomas, 1588-1679) Il est un partisan de l'absolutisme, et par conséquent est donc jugé comme quelqu'un de peu recommandable. Si l'on se replonge dans l'époque, il est une personne qui prône l'origine humaine de l'état, et tout absolutiste qu'il

politique y est évident : il s'agit d'exposer une règle de conduite pour accéder au bonheur. Celle-ci tient en une formule : "laissez-faire", car si pour Plaute, Bacon et Hobbes "1' homme est un loup pour l'homme", il est "naturellement bon" pour Spencer. Résolument optimiste, il estime que "la foi dans la bonté substantielle des choses est le type de foi, le plus élevé". Ceci étant, la société, dont l'individu constitue l'élément premier, la cellule de base, ira s'améliorant et parviendra au bonheur