Hobbes Léviathan Celui Dont Les Désirs

Ces trois théories (Hobbes : Le Léviathan , Locke : Traité sur le gouvernement civil , Rousseau : Du Contrat Social) du contrat social ont de fortes similitudes méthodologiques. Avant la formation de l'État les hommes vient dans l'État de nature. Dans les trois cas, il ne s'agit pas de raconter l'histoire de la formation des États, ce sont des philosophes donc ils présentent comme théorie du contrat social, une hypothèse logique. a. Thomas Hobbes : Le Léviathan. Selon Hobbes, à l'état de nature

exprimables sous la forme de règles naturelles ou conventionnelles, une sorte d’auto-organisation. On parvient à se poser la question suivante : l’individu évolue-t-il grâce à l’Etat ? Ou bien est-il au contraire, capable d’évoluer indépendamment de celui-ci ? Dans une première partie, nous évoquerons l’Etat comme l’objet d’une organisation sociale où s’insère l’individu, dans une deuxième partie, nous verrons que l’individu se construit ou doit se construire contre l’Etat et enfin, dans une troisième

vivre en société, c’est ne pas se réaliser en tant qu’homme, ne pas être civilisé. L’homme a juste à organiser un donné naturel.  «  La cité est au nombre des réalités qui existent naturellement, et (…) l’homme est par nature un animal politique. Et celui qui est sans cité, naturellement et non par suite des circonstances, est ou un être dégradé ou au-dessus de l’humanité. Il est comparable à l’homme traité ignominieusement par Homère de : Sans famille, sans loi, sans foyer, car, en même temps que naturellement

Constantin qui marque une nouvelle étape dans l'histoire de Rome, il est le 1er empereur chrétien. Il amorce les écrits de St Augustin. En 395, l'empire est divisé en deux (occident/orient), l'empire romain d'occident s'écroule en 476. en 1453, c'est celui d'orient qui disparaît. César → Octave/Auguste → Caligula → Néron → Trajant → Hadrien → Constantin II. La vie politique A) Athènes et Sparte 1. Athènes La base de l'organisation politique est la cité (= espace géographique de petite envergure

Une telle délibération a-t-elle effectivement lieu ? Ne met-elle pas le moi dans une position illusoire de spectateur vis-à-vis de différents arguments en présence, et la notion ne serait-elle pas empruntée par Aristote aux assemblées délibérantes dont chacun des membres peut effectivement défendre un point de vue différent devant un observateur ? A fortiori, il semblerait qu’il faut distinguer quatre moments dans l’acte volontaire qui seraient : la conception de l’acte, la délibération, la décision

Règle et règlement, rectitude et régularité renvoient pareillement à la ligne droite. Au sens objectif, le droit est l'ensemble des règles qu'une société impose à ses membres en vue de garantir ce qu'elle nomme et conçoit comme le bien commun, et dont la violation est sanctionnée. Le droit subjectif est le pouvoir que possède tout membre d'une société de faire tel ou tel acte, de jouir de telle ou telle chose, d'exiger d'autres individus ou de la collectivité telle ou telle prestation. Les droits

nature, met fin à la brutalité, à l’ordre du plus fort pour instaurer celui de la loi et du droit. L’Etat démocratique, car il a pour but le règne de l’égalité, se propose de mettre fin à la violence sociale et l’Etat de droit propose de substituer au règne du plus fort celui de l’intérêt général. La cité, qui rend nécessaire la création d’un ordre politique, est dès son origine liée à l’exclusion de la violence. Ainsi, Romulus, dont la légende dit qu’il fonda Rome, commence par délimiter l’enceinte

vérité est-elle démontrable ? N’y a-t-il de démonstrations que scientifiques ? La liberté : Les fausses pistes Le sens commun s’imagine parfois que l’on n’est libre si l’on fait ce que l’on veut. Il est exact en effet que lorsque nos désirs sont contrariés, on ne se sent pas libres! Pourtant la liberté ne peut être définie comme la capacité de faire tout ce que l’on a envie de faire, car le sentiment d’agir librement peut être trompeur. C’est ainsi, nous dit Spinoza, qu’un nourrisson

connaissances relatives au passé de l’humanité. Cette discipline s’apparente à une science par sa rigueur et son exigence de vérité. Mais si l’histoire est une science, ce n’est pas une science exacte mais une « science humaine », c’est-à-dire une science dont l’objet est l’homme. Or le comportement des hommes ne peut être étudié ni rapporté comme ceux d’une planète ou d’une molécule de gaz. Les actions des hommes doivent être interprétées et organisées afin de prendre la forme d’un récit structuré et signifiant

La liberté Introduction I. La liberté extérieure A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) B. La liberté et la loi 1. Etat de nature et Etat social 2. Liberté négative et liberté positive 3. L’esclave et l’enfant 4. La liberté d’expression C. Travail et liberté 1. La libération par le salaire 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 3. La libération par la technique (Marx) 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) II. La liberté intérieure