Hobbes Léviathan Celui Dont Les Désirs

est-il durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original :

est-il durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original :

difficulté à définir le bonheur (Kant)2 Le bonheur est-il concret ou abstrait ?3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ?4 I. Bonheur et désir4 A. L’hédonisme4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès)4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure)5 B. Le stoïcisme6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle)6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas6 b. Modifier nos désirs7 c. La vertu, c’est le bonheur7

durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original :

Qu'est-ce qu'un problème politique ? | Analyse du sujet : « Politique » est ici un adjectif, et non un substantif. Un problème se pose, il est posé à quelqu'un : il y a ce ou celui qui pose le pbm, à savoir le corps collectif, et celui à qui il est posé, à savoir l'autorité politique. Un problème se résoud, se dénoue. Qu'est-ce qui fait qu'un problème collectif, qui appartient à la vie sociale, prend un statut de pbm politique ? A partir de quand un pbm n'est-il pas économique, culturel

l'animal rationnel, cad animal doué du logos. Il est également doué de moeurs => comportements interdits : concernant la façon de se comporter ac les hommes, l'interdiction de porter atteinte à l'homme, de voler, tuer... ce sont des interdits dont ns avons cs immédiatement. Façon de se vêtir par ex => inconscient. Tt cela constitue la culture. La norme juridique n'apparaît qu'entre 10 000 et 5000 ans avant JC, lorsqu'apparaît la sédentarisation en Mésopotamie d'abord. Complexification

que no man is an island[3] et qu’il n’ y a rien de nouveau sous le soleil, il est alors vrai que, ce travail n’est autre chose qu’une copie des copies des copies. Ainsi, nous voulons en remercier les vrais architectes. Nos actions de grâces à « Celui qui est tel que rien de plus grand ne peut-être conçu », le Dieu d’Anselme, pour le don de la vie, le don de la chrétienté, pour l’épiphanie de ses merveilles, pour la présence perpétuelle de sa main invisible. Notre profonde gratitude à l’égard

l’analyse des notions, mais, par exemple à une question de fait]. [1 - Diversité de fait des connaissances humaines et de leur origine] Si, d’une part, par « connaissances », nous entendons tout ce dont nous « avons connaissance » (et pas seulement connaissance objective et scientifique), tout ce dont nous avons un savoir quelconque, ce que nous n’ignorons pas (comme on dit : « avoir connaissance de… » ou « avoir eu connaissance de… », pour signifier qu’on en a peut-être seulement entendu parler

phénomènes sociaux. 5) Relation de la sociologie avec le sens commun et la connaissance ordinaire SENS COMMUN = ensemble des croyances ou opinions largement partagées par les membres d'une société. Ce sont surtout des idées reçues ou des préjugés, dont le chercheur doit se méfier lorsqu'il étudie un problème social. Pour faire de la sociologie, il faut prendre de la distance avec le SENS COMMUN. 6) Différence cruciale entre le sens commun et la connaissance scientifique C’est que les scientifiques

Conçu et formulé dès le début du XVII e siècle, ce projet d’expansion ne cessera plus, jusqu’à nos jours, de se perfectionner et de se complexifier. Le Siècle des Lumières, puis celui de la Révolution industrielle lui donneront des traits distincts, mais la dynamique de dépassement restera la même. Penser le progrès requiert certaines conditions : il faut avant tout se représenter le temps comme