Hockey en salle

d'escalade   Phase  interrogative  :   objectif  :  rassurer   l’interlocuteur  sur  notre   travail  actuel  avec   d’autres  fédérations   (Monsieur   Renaud,   DG),   la   fédération   française   de   hockey   sur   glace   (Monsieur   Ropert,   DG)  et  la  fédération  française  handisport  (Monsieur  Giraudeau,  DTN)     Qu'avez-­‐vous   organisé   pour   eux   ?   :   nous   avons   organisé   plusieurs

parcouru, par exemple, de la gauche vers la droite. Au-delà de la distinction grossière entre sémiotiques de l’espace et sémiotiques du temps, distinguons des sémiotiques ou langages : (1) à temps et consécution forcés : la projection d’un film en salle n’est pas en principe interrompue, ralentie, accélérée, inversée, etc.; (2) à temps libre mais consécution forcée : un texte se lit en principe d’un mot au suivant, mais on peut prendre une pause entre deux mots, on peut revenir en arrière, devancer

féminins, se vengeait en jouant devant son mari une entente affectueuse avec son fils, qu'elle serrait dans ses bras, et qu'elle couvrait de baisers. Quand son mari était à la maison, elle trouvait une occasion de sortir nue de la salle de bains et de traverser ainsi la salle de séjour, tandis que Norbert, étonné, restait assis auprès de son père qui avait l'air de s'ennuyer. Grâce à sa nature robuste, Norbert s'est libéré lui-même de son rêve. Mais il pourrait en résulter une névrose, si sa situation

tourbillonne en sifflant ! Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau, lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide Qui porte un éclair au flanc. Ils sont tout près ! - Tenons fermée Cette salle, où nous les narguons. Quel bruit dehors ! Hideuse armée De vampires et de dragons ! La poutre du toit descellée Ploie ainsi qu'une herbe mouillée, Et la vieille porte rouillée Tremble, à déraciner ses gonds ! Cris de l'enfer! voix qui hurle

la victoire contre le Japon », 13 août 1945. 2 Automobile d’avant-guerre assemblée en République populaire de Chine. 1 10 Ils étaient sept, à peine conscients, tous allongés sur des matelas. Les villageois les avaient rassemblés dans leur salle de réunion communale flambant neuve. Les murs et le sol étaient en ciment brut ; l’atmosphère froide et humide. Pas étonnant qu’ils soient malades, ai-je immédiatement pensé. J’ai d’abord voulu savoir qui avait la charge de ces gens. Personne, m’ont

Le Conseil de l’Europe s’est attaché, après le Heysel, au contrôle et à la prévention de la violence des spectateurs au moyen de deux textes principaux concernant le football, suivis d’un texte étendant les mesures prises aux sports pratiqués en salle et d’un certain nombre de recommandations3. 1. Nous n’aborderons pas ici la question de la responsabilité civile ou pénale des auteurs de violences sportives étudiées par ailleurs par J.Y. Lassalle (2000). 2. Pour une vue plus exhaustive de l’évolution

avaient vraiment intérêt à avoir une bonne raison de me déranger. Une pensée que j'ai aussitôt regrettée quand j'ai vu leur visage. Ils étaient sept, à peine conscients, tous allongés sur des matelas. Les villageois les avaient rassemblés dans leur salle de réunion communale flambant neuve. Les murs et le sol étaient en ciment brut ; l'atmosphère froide et humide. Pas étonnant qu'ils soient malades, ai-je immédiatement pensé. J'ai d'abord voulu savoir qui avait la charge de ces gens. Personne, m'ont

chaînes de télévisions espagnoles retransmettant la finale du Mondial contre les Pays-Bas le 11 juillet dernier à Johannesburg), qu’au Canada (16,6 millions de téléspectateurs12 ont suivi le sacre des Canadiens contre les Etats-Unis lors de la finale de hockey-sur-glace aux Jeux Olympiques de Vancouver le 28 février 2010) ou aux Pays-Bas (12,2 millions de Néerlandais13 ont vu en direct la demi-finale entre les Pays-Bas et l’Uruguay le 7 juillet 2010 sur NOS). Dans l’univers du web, le constat est là

aquarium» (page 186) étant le souvenir du film ‘’Pour la suite du monde’’ (1962) de Pierre Perrault où ce que les habitants de l’Île-aux-Coudres appellent des «marsouins» sont apportés à New York. - Le hockey, le «sport national» : «Nous nous congratulons et nous étreignons comme des joueurs de hockey qui viennent de marquer un point» (page 200). - La récolte de la sève de l’érable : les poèmes de Nelligan «goûtent l’eau d’érable» (page 203). - Les tavernes dont il nous est rappelé, au passage, qu’en

nuances les plus sociales de la passion (fatuité, bon droit, cruauté raffinée, sens du « paiement ») rencontrent toujours par bonheur le signe le plus clair qui puisse les recueillir, les exprimer et les porter triomphalement jusqu’aux confins de la salle. On comprend qu’à ce degré, il n’importe plus que la passion soit authentique ou non. Ce que le public réclame, c’est l’image de la passion, non la passion elle-même. Il n’y a pas plus un problème de vérité au catch qu’au théâtre. Ici comme là ce qu’on