Hollywood Pictures

des logiciels d'échange gratuit de fichiers pouvaient être poursuivis, accordant ainsi une grande victoire à Hollywood et à l'industrie du disque dans leur combat contre le piratage numérique. Il s'agit d'«une victoire historique pour la propriété intellectuelle à l'ère du numérique», a commenté dans un communiqué la Motion Picture Association of America, le grand syndicat de Hollywood. La Recording Industry Association of America, qui défend les éditeurs de musique a salué de son côté un geste

prend pour emblème le fameux lion qui rugit. Peu après la mort de son fondateur, la 20th Century fox tente de racheter la MGM. Car le marché cinématographique connait ces années-là une véritable ébullition et une concurrence accrue. MGM, Columbia Pictures puis Gaumont et Pathé... De nombreuses société naissent, se rachètent les-unes les-autres, périssent dans les affres de la compétition économique. La MGM, elle, devient dans les années 1940 la plus grande société de production d'Hollywood. Pendant

Dissertation de cinéma GASSAMA Kamissa Sujet : Le cinéma d’Hitchcock, un système ? Hitchcock disait lui même : “un film n’est pas une tranche de vie, c’est une tranche de gâteau. ” Si nous analysons un peu plus loin la métaphore qu’il nous as offerte, le gâteau serait alors la filmographie complète d’un réalisateur, un ensemble d'éléments interagissant entre eux selon certains principes ou règles, ayant alors la même saveur, les films serait une simple production

I. RESUME “I’m no angel” (“Je ne suis pas un ange”), film de 1933 réalisé par Wesley RUGGLES et produit par la Paramount Picture, est une comédie dite « musicale » dont les acteurs principaux sont Mae WEST (dans le rôle de Tira) et Cary GRANT (dans le rôle de Jack CLAYTON). Mae West y incarne une dresseuse de lion, vedette d’une fête foraine, qui ne laisse pas la gente masculine indifférente et avec laquelle elle partage des nuits « sous les tentes du cirque aussi bien que dans les hôtels de luxe

the famous star, which was mixed with real events of her life. No more films were written about the actress but since october 4th 2010, a movie named « My week with Marylin » a drama is directing by Simon Curtis and the actress who will play the Hollywood stars Michelle Williams. The movie is looking at what went behind the scenes in 1957 during the making of « The Prince and the showgirl », which starref Marylin Monroe and Laurence Olivier. What’s more, lots of books about her life and her influence

favorisant la création d’un marché de « consommateurs » d’art, sensibles aux œuvres d’Andy Warhol, de Lichtenstein ou de Hockney. Ces artistes s’inspirent des images de la culture populaire qui est diffusée par les médias comme la publicité, les films de Hollywood, des BD ou encore la télévision. Le Pop Art est une façon de critiquer la société de consommation. Ils peuvent ainsi introduire des objets réels dans leurs œuvres (exemple : Andy Warhol et la soupe de Campbell’s). “Cible”1955  

réelle Alice's Wonderland, l'entreprise est rapidement à court de trésorerie et dépose le bilan en juillet 1923. b) The Disney Brothers Studios Au début des années 20, la quasi-totalité des dessins animés se fabriquent à New York et non à Hollywood. Pourtant en juillet 1923, Walt décide de partir avec Ub Iwerks à Los Angeles où son frère Roy, qui travaillait dans une banque, l'aide à s'installer. Il y crée avec Ub et Roy, le Disney Brothers Studio. Walt trouve un commanditaire à Kansas City

voix. Charlie Chaplin s'en sort et de nouveaux acteurs comme Greta Grabo. • Fin 1920 → Hollywood tourne en parlant. • Problème du doublage (1934) Version multilangue + Fameux «Silence on tourne !» - L’ÈRE DU PARLANT CHOQUENT LES ÂMES SENSIBLES - I – Le Code Hays, le triomphe des puritains - • Usa = Pays sensible, puritain aux «femmes fatales». Église contre le cinéma. • Dans les 20's la MPPDA (Motion Picture Producers and Distributors of America) est créée pour «moraliser» l'industrie afin d'éviter

jaquette nous informe que c’est le jeu officiel de la trilogie cinématographique etc.…). Développer et publier une adaptation vidéoludique d’un film de cinéma s’écrivent dans les logiques d’exploitation de produites dérivées mises en place par Hollywood depuis les années 1970. Cette pratique permet de bénéficier des lourds investissements promotionnels consentis lors de l’exploitation en salles d’un film de divertissement ou de jouir de la popularité d’une saga de type James Bond ou Star Wars ;

découvre le cinéma et que sa mère la présente aux studios de Hollywood[3]. Sara Taylor joue un rôle déterminant pour le début de la carrière de sa fille. Tout en complétant l’instruction d’Elizabeth, elle lui fait suivre des leçons de chant, de danse et d’équitation. Elle fréquente avec sa famille tous les lieux où les personnalités des milieux cinématographiques s’affichent[2]. Elle attire ainsi l’attention d’un dirigeant de Universal Pictures, J. Cheever Cowdin qui offre un contrat de six mois à Elizabeth[2]