Simon Baker

Lieux du crime : Lisbon : Dite moi tout Rigsby ! Rigsby : Carole King, 23 ans, Vivait avec ses parents et sa sœur. Lisbon : Cause de la mort ? Rigsby : un coup très violent porté à la tête mais ce qui est bizarre, c’est que ce coup à la forme d’un fer à cheval. Jane : Ses parents ont un élevage de chevaux. Lisbon : Qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Jane : Regarder ses doigts. Lisbon : Ils ont sales, ont dirais des poils. Jane : Exact ! Des poils de chevaux donc c’était une cavalière. Lisbon :

ns les cinq premières saisons John le Rouge (Red John en version originale) est l'antagoniste principal de la série Mentalist. Il est un tueur en série ayant commis plus de vingt-huit meurtres, dont celui de la femme et la fille de Patrick Jane (personnage principal de la série) cinq ans avant ses débuts au California Bureau of Investigation (CBI). Initialement formé au début dans la ferme d'Elliston dans le groupe Visualize pour en faire un fermier, il a tué ses propres patrons qu'il considère

les Noirs vivaient à l’époque de Joséphine Baker ils n’étaient libre ni de leur corps parce que on les faisait travaillé de force (esclavage, ségrégation…) ni de leur esprit parce que ils n’avaient pas le temps de réfléchir ils faisaient juste ce qu’on leur demandé. 2) Les 3 chansons de son répertoire que j’ai écouté et sélectionné sont « j’ai deux amours », « Paris mes amours » et « ça c’est Paris » toutes trois parlent de l’amour que Joséphine Baker avait pour Paris et ils y en a d’autres. 3)

photographies en compagnie de son bouledogue français appelé Peter. Le bouledogue français fut également la coqueluche de Mistinguett, Colette et Yves Saint-Laurent. La race connut un succès fracassant jusqu'aux États-Unis où des personnalités comme Joséphine Baker s'entichèrent de leur petit animal. Avec les difficultés et les affres des guerres mondiales, beaucoup d'éleveurs de chien abandonnèrent leur élevage, si bien que cette race a progressivement perdu sa notoriété. On remarque cependant à partir de 1980

le jazz a aussi des racines profondes. Influences de l'enfance Dans les années 1920 et 1930, où le jazz était un nouveau venu sur la scène musicale, souvent photographié la chanteuse Joséphine Baker fui le racisme aux États-Unis pour la France, où elle est rapidement passée à la popularité. Baker n'était pas seule, elle et d'autres musiciens, tels que le saxophoniste Coleman Hawkins, émigré à une France qui a accueilli la forme musicale, même sous l'ombre de l'occupation allemande. Selon basé

Skimmy. Ont l’airs plus effrayer que détendu,Profil de la femme= profil de Maat (justice, renouvel l’allemagne)«Martyrs"«la Chambre des officiers»Film: Runnig Wild a lancer une mode, répendu au States et en europeElle a était rendu connu par Joséphine Baker, va venir en france, elle est beaucoup copier par les jeunes filles de l’epoque. Année folle: on danse enormément dans toutes les grandes villes, on danse dans les bars, les café, les boites... Grace au GramophoneAllemagne: société trés masculine,

logement où sont placées les étrangères et l'trottoir car beaucoup d'immigrées lorsqu'elle ne trouve pas de travail ou comment se faire de l'argent , elles finissent souvent dans la prostitution. - Des bananes autour d'la taille en référence à Joséphine Baker qui est une meneuse de revue afro américaine qui a fait le buzz dans son show en portant une ceinture de banane autour de sa taille. - Ni complètement français , ni étrangers , des genres de prototypes. - C'est foutu , plus l'droit d'taffer , une

rencontra Dixie Steppers est Joséphine monta pour la première fois sur scène. La troupe l’engagea mais en tant qu’habilleuse. Dans le Sud, la troupe alla jusqu'à la Nouvelle-Orléans, et dans le Nord, jusqu'à Philadelphie où Josephine épousa Willie Baker, son second mari dont elle garda le non jusqu’à sa mort. A 15 ans elle décida de tenter sa chance à New York mais à nouveau engager au titre d'habilleuse pour la revue "Shuffle Along". Lorsqu’une des filles de la revue tomba malade, Josephine la remplaça

dit « comme une tribu des premiers âges. Chacun croyait retrouver un chant qui remontait de l'aube. » et ça n'est pas sans rappeler le fait que le jazz est arrivé en France dans les années 20 et fut connu par La revue nègre et notamment Joséphine Baker qui dansait en pagne de bananes et aussi les affiches de concert représentaient souvent des noirs dans le stéréotype de l'africain cannibale, primitif venant de tribus lointaines. De plus, le narrateur ajoute un côté rythmé à sa description de cette

Revue Nègre a été réalisée en 1925 par Paul Colin, artiste art déco, sur une demande d’Andrés Daven, directeur artistique du théâtre des Champs Elysées. C’est durant la première répétition de la troupe à Paris que Paul colin a pu rencontrer Joséphine Baker et s’inspirer pour l’élaboration de l’affiche. On raconte que le personnage féminin de l’affiche aurait été imaginé par Miguel Covarrubias, à qui Caroline Dudley avait au départ confié la réalisation de l’affiche et des décors du spectacle, mais c’est