Hommage lige

porter secours au seigneur. Comment procède t-il à ce choix ? C’est pour cela qu’une distinction entre les différents types d’hommages a été introduite. Lorsque l’hommage était prioritaire, il s’agissait d’un hommage lige alors que lorsque l’hommage n’était pas prioritaire, c’était un hommage plane. Le lien réel (féodal) et le lien vassalique vont être tissés en même temps, et s’ajouter l’un à l’autre, bien qu’ils étaient au départ dissociés. Mais dès le milieu du XIème siècle, on ne fait plus

porter secours au seigneur. Comment procède t-il à ce choix ? C’est pour cela qu’une distinction entre les différents types d’hommages a été introduite. Lorsque l’hommage était prioritaire, il s’agissait d’un hommage lige alors que lorsque l’hommage n’était pas prioritaire, c’était un hommage plane. Le lien réel (féodal) et le lien vassalique vont être tissés en même temps, et s’ajouter l’un à l’autre, bien qu’ils étaient au départ dissociés. Mais dès le milieu du XIème siècle, on ne fait plus

de fidélité, il subordonne sa foi nouvelle à celle qu’il a déjà donné. Au milieu du 11 e s, l’idée de ligesse est avancée : le seigneur à qui l’on prête l’hommage lige (par opposition à hommage plain) est prioritaire, c’est un hommage erga omnes, à l’encontre de tous les autres. Mais tous les seigneurs se mettent à exiger l’hommage lige qui, ainsi multiplié, perd sa substance. Tous les mécanismes de sauvegarde du lien vassalique échouent, alors on se met à penser le lien autrement. Un nouveau concept

bataille de Roncevaux. Encerclé par les maures, il tente de briser son épée, Durendal. Sur l’image, Roland est représenté deux fois : à droite, il tente d’appeler son oncle, à gauche, il s’efforce de briser Durendal sur une pierre. 3) Le récit rend hommage au courage de Roland, à sa droiture, ainsi qu’à sa piété (il refuse de laisser son épée aux mains des «  païens  »). Toutes ces valeurs sont celles de la chevalerie. Les chevaliers aimaient sans doute entendre ce récit chanté, parce qu’il exprime

donne Husdent, gage de ma tendresse. − Seigneur, merci de m'avoir confié le brachet. De mon côté, je vous offre l'anneau." Elle retire la bague et la lui passe. Tristan l'embrasse, et elle lui rend son baiser, manifestant ainsi qu'il est son homme−lige. L'ermite se rend au Mont−Saint−Michel de Cornouaille, où il y a un riche marché. Il y achète vair et gris, habits de soie et fourrures, laine fine et toile blanche, plus éclatante que fleur de lis, et palefroi qui va doucement l'amble, avec son

fidélité, il subordonne sa foi nouvelle à celle qu’il a déjà donné. Au milieu du 11 e s., l’idée de ligesse est avancée : le seigneur à qui l’on prête l’hommage lige (par opposition à hommage plain) est prioritaire, c’est un hommage erga omnes, à l’encontre de tous les autres. Mais tous les seigneurs se mettent à exiger l’hommage lige qui, ainsi multiplié, perd sa substance. Tous les mécanismes de sauvegarde du lien vassalique échouent, alors on se met à penser le lien autrement. Un nouveau concept

républiques des oiseaux ; La Déesse aux cent bouches, dis-je, Ayant mis partout la terreur En publiant l’édit du nouvel empereur, Les animaux, et toute espèce lige De son seul appétit, crurent que cette fois Il fallait subir d’autres lois. 154 On s’assemble au désert. Tous quittent leur tanière. Après divers avis, on résout, on conclut D’envoyer hommage et tribut. Pour l’hommage et pour la manière, Le Singe en fut chargé : l’on lui mit par écrit Ce que l’on voulait qui fût dit. Le seul tribut les tint

parties/volets/recueils qui s’échelonnent entre 529 et 534 c’est ce que l’on appellera le CORPUS IURIS CIVILIS. Les 4 textes : * Le code : c’est un recueil de lois impériales qui doit remplacer le code Théodosien. Il se compose de 12 livres en hommage à la loi des 12 tables. Code paraît en 529. 1ère version perdu et nous possédons le code de 534. * Le digeste : les compositions/recueils de doctrine : recueil de jurisprudence, recueil des opinions des juristes, des prudents. Divisé en 50 livres

Reims (car Clovis s'y est convertis → légende). Les rois carolingiens sont des personnages sacrés comme les rois de la bible. Références à l'ancien testament constantes. C'est à partir de cette époque que le Roi est dit Roi par la grâce de Dieu, hommage à la divinité. La légitimité de la nouvelle dynastie est assurée par l'Eglise par l'intermédiaire de la cérémonie du sacre. Gouvernement théocratique : gouvernement de la cité par Dieu, par des hommes à qui Dieu a donné la mission de gouverner, mais

digne de régner. Son mérite, proclamé par un prédécesseur qui se connaissait en sagesse, fut reconnu par le peuple. Yao bannit Tan-tchou, son propre fils, « pour ne pas favoriser un seul homme au détriment de l'Empire » et, à la mort de Yao, les hommages n'allèrent point à Tan-tchou mais à Chouen. Poètes et chanteurs ne célébrèrent pas Tan-tchou, mais célébrèrent Chouen. Chouen dit : « C'est le Ciel ! » et prit le pouvoir (20). Un Souverain est un sage qui, possédant une vertu plus humaine à