Hommage lige

Chaque vassal est lui-même un seigneur cad que lorsqu’un vassal reçoit un fief il pourra lui-même concéder une partie de ce fief => « chaine féodaux vassalique ». Chaque seigneur se retrouve embrigadé dans un système de relations très complexes. « Hommage lige » On a une société féodale qui se répand dans toute l’Europe fondé sur des relations personnelles, dites d’homme à homme. Ce système ne concerne que l’élite de la société, les Grands du royaume = quelques dizaines de milliers de personnes.

au nombre de quatre : le Code, le Digeste, les Institutes, les Novelles. - Le Code de Justinien, un recueil de constitutions des empereurs, fut établi en deux versions, en 529 puis en 534. Il est composé de douze livres, en hommage à la loi des XII Tables. Il inclut des constitutions impériales promulguées depuis Hadrien, c’est-à-dire depuis le début du IIème siècle, et jusqu’au commencement du règne de Justinien. Il traite des sources du droit, de la justice, du droit

inaccessible au commun des mortels, modernise les rapports entre hommes et femmes selon les principes des relations féodo-vassaliques : devant la femme, considérée à l'égal d'une suzeraine, l'amant montre sa soumission en acceptant d'être son homme-lige.  Cependant, à côté de cette doctrine courtoise exposée dans les deux premiers livres, André montre dans la dernière partie un profond antiféminisme offrant à son De Amore une image double et contradictoire de la femme.  Livre sérieux ou ironique

vont sortir 4 recueils : le Code, le Digeste, les Institutes et les Novelles. Le Code de Justinien : recueil de Constitutions impériales. Première édition non conservée. Une 2ème édition est promulguée en 534. Le Code se compose de 12 livres en hommage à la Loi des 12 tables. Chaque Constitution reçoit, par le Code, une autorité générale et obligatoire. Le Digeste est publié en 533. C’est un recueil du « Jus », de la jurisprudence classique. Ultime victoire de l’empereur qui s’approprie ainsi

navire caboteur. Chêmer : (SE) (chê-mé), v. pr. Maigrir, tomber en chartre. Voilà un enfant qui se chême. Chemérage : (che-mé-ra-j'), n. m. Terme de droit féodal. Droit d'aînesse en vertu duquel les puînés tenaient de l'aîné leur portion de fief en hommage. Chèneveau : (chè-ne-vô), n. m. Terme de pêche. Sorte de filet. Chènevière : (chè-ne-viê-r'), n. f. Terrain semé de chènevis, où croît le chanvre. Quand la chènevière fut verte, L'hirondelle leur dit : Arrachez brin à brin Ce qu'a produit ce maudit

de leur bien et non du nôtre. Passez vous-mêmes les autres en revue, et dites si la Vérité, la Liberté, la Justice, etc., s'inquiètent de vous autrement que pour réclamer votre enthousiasme et vos services. Soyez des serviteurs zélés, rendez-leur hommage, c'est tout ce qu'elles demandent. Voyez ce Peuple que sauvent des patriotes dévoués; les patriotes tombent sur le champ de bataille ou crèvent de faim et de misère; qu'en dit le Peuple? Le Peuple? Fumé de leurs cadavres, il devient un "peuple

des Oiseaux; La Déesse aux cent bouches, dis-je, Ayant mis partout la terreur En publiant l'Edit du nouvel Empereur, Les Animaux, et toute espèce lige De son seul appétit, crurent que cette fois Il fallait subir d'autres lois. On s'assemble au désert. Tous quittent leur tanière. Après divers avis, on résout, on conclut D'envoyer hommage et tribut. Pour l'hommage et pour la manière, Le Singe en fut chargé: l'on lui mit par écrit Ce que l'on voulait qui fût dit. Le seul tribut les tint

de leur bien et non du nôtre. Passez vous-mêmes les autres en revue, et dites si la Vérité, la Liberté, la Justice, etc., s'inquiètent de vous autrement que pour réclamer votre enthousiasme et vos services. Soyez des serviteurs zélés, rendez-leur hommage, c'est tout ce qu'elles demandent. Voyez ce Peuple que sauvent des patriotes dévoués; les patriotes tombent sur le champ de bataille ou crèvent de faim et de misère; qu'en dit le Peuple? Le Peuple? Fumé de leurs cadavres, il devient un « peuple florissant

duc de Guyenne, il dépendait du roi de France. La position agenouillée en signe de soumission témoigne d’une acceptation de cette situation hiérarchique, comme semblent le confirmer les deux sceptres royaux tenus par Philippe IV. La main de l’homme lige indique que le serment de fidélité, fait sur les Saintes Écritures, engage la foi du vassal. Ce tableau annonce le moment où le seigneur relèvera son vassal et lui donnera l’accolade (ou le baiser sur la bouche) qui le déclarera son égal en chevalerie

des pensées et la fusion volontaire des âmes. Maître Chesnel avait goûté le plaisir de cette honorable amitié ; le marquis l’avait élevé jusqu’à lui. Pour le vieux noble, ce bonhomme était moins qu’un enfant et plus qu’un serviteur, il était l’homme-lige volontaire, le serf attaché par tous les liens du cœur à son suzerain. On ne comptait plus avec le notaire, tout se balançait par les continuels échanges d’une affection vraie. Aux yeux du marquis, le caractère officiel que le notariat donnait à Chesnel