Homme au masque de fer

marient. * Départ d’Horace en la Normandie pour une partie de chasse. Pauline les rejoint. Elle découvre la vérité des crimes. Elle est enfermée dans un cachot. * Alfred de Nerval est pris dans une tempête, il fait naufrage. Il croit voir un homme et découvre des ruines. On lui fait connaitre le décès de Pauline, mais ne reconnait pas le corps. Plus tard, il retrouve Pauline enfermée dans un cachot, il la délivre. * Alfred et Pauline partent s’installer à Londres. Pauline raconte l’intégralité

Au centre du tableau on peut voir les trois personnages principaux jouer aux cartes assis autour d’une table. Le jeu de cartes cimente la sociabilité des anciens combattants en Allemagne. Le premier personnage de gauche à la peau très abîmée. Cet homme est disproportionné, il a une jambe de bois et joue aux cartes avec le pied qui lui reste. Sa manche droite est vide, cependant il sort de sa manche gauche une main articulée avec laquelle il pose ses cartes sur la table. De son oreille part un tuyau

ennemis et malgrès tout cela en contreparties nous avons perdu des frères d'armes ! La vie est injuste nous ne pouvons jamais,non jamais avoir le bonheur total sans aucun sacrifices . Alliés ou ennemis le sang doit couler , la guerre faire rage, le fer se croisé pour que notre bonheur désiré sois obtenu. Oh non mes frères je n'envisage pas de me laisser abattre afin de cesser ces injustice mais apres la mort de nos different frere d'armes cette question m'est survenu , N’y aurait-il pas une vie

d’une boutique de mercerie sinistre et étroite. Le soir, elle s’allonge auprès de son mari « dans une indifférence dédaigneuse » (I, p.21). À la mort de sa mère, d’origine africaine, Thérèse fut adoptée par Mme Raquin. Thérèse, malgré sa santé de fer, partagea toutes sa jeunesse la chambre et les médicaments de son cousin Camille. Elle prit ainsi l’habitude de réprimer son tempérament de feu. Lorsqu’ils en eurent l’âge, Madame Raquin maria les deux cousins. À la suite du mariage, Camille voulut

! (choix qui n’est sans doute pas insignifiant !) Il est certes présent dans 7 scènes mais il joue généralement un rôle de comparse ,réduit à quelques répliques adjacentes (et même dans la scène du bal où , comme Mercutio, il figure parmi les ‘masques’ à un une seule réplique anodine : « Assez, va-t'en, la fête bat son plein. ») à l’exception de 2 scènes où il joue un véritable rôle dans: deux scènes (I,1 et III,1) où ,malgré lui ,il est mêlé à l’action ( le ‘drama’)étant entraîné dans la rixe

– Chap. 1- Homme. Ce chapitre 1 nous plonge dans un univers très particulier. Fait authentique ou légende ? Un personnage étrange prend forme sous nos yeux dans un univers crépusculaire, à la fin de sa vie. Dès lors, la narration se fait rétrospective, et le récit de l’histoire d’Ahmed, dont on connaîtra le nom ensuite, se construit à partir de l’interrogation au passé simple : « Et qui fut-il ? ». Le titre du chapitre semble alors nous proposer un élément de réponse : «Homme» (De nombreux titres

et apprend à peindre ses premiers paysages. Au début de la Première Guerre mondiale, il s’engage avec enthousiasme dans l’armée allemande. Il devient mitrailleur et combat en France notamment durant la bataille de la Somme. Il obtient la croix de fer mais il reste traumatisé par les horreurs de la guerre dont il a été témoin au point de faire des cauchemars dans lesquels il rampe dans des maisons en ruine. À la fin de la guerre, Otto quitte Gera pour Dresde où il commence à adopter l’expressionisme

1ère de couverture* de ce livre illustre un loup en gros plan, sa tête est cachée par un masque de brebis. Cette couverture illustre bien le message que souhaite passer Molière, il veut nous dire que les apparences sont trompeuses, « l’habit ne fait pas le moine, méfions nous des apparences ». Développement : Tartuffe raconte l’histoire d’Orgon, un personnage assez important, tombé sous le masque de Tartuffe, hypocrite et maladroit. Il est le seul avec sa mère Mme Pernelle à en être

chairs humaines. La plupart des personnages représentés ne voient rien ou presque rien : yeux fermés par la mort ou le sommeil, regards obturés par les bandages ou les masques à gaz… L’arrière-plan montre un paysage dévasté par la guerre Sur le volet droit, tandis que des corps inertes sont présentés au premier plan, un seul un homme vivant parmi les décombres apparaît. Il tente en vain de soutenir un compagnon inerte, la tête ensanglantée. Le regard fixe, il scrute le spectateur, tel un appel

celle que le comédien éprouve pour le Lord. Du point de vue de Lord Mewill (tout au long de la tirade, Kean parle à la fois au nom du Lord ou en son propre nom), celui-ci, en qualité de « pair d'Angleterre », ne va pas s'abaisser à battre le fer avec un homme né « sur le grabat du peuple ». Ne vient-il pas d'une des « premières familles d'Angleterre » ? Qu'aurait-il à gagner face à ce Kean ne « sans nom et sans fortune » ? Mais, comble de tout, l'homme qui ose le provoquer en duel n'est qu'un « bateleur »