Homo sapiens sapiens

permet à ses utilisateurs d’entrer des informations personnelles et d’interagir avec d’autres utilisateurs. Ces informations permettent de retrouver des utilisateurs partageant les mêmes intérêts. » L’essence de toute vie est dans le devenir : Homo sapiens obéit à la loi du changement. Toute sa vie, l’être humain change et changera, même s’il a des difficultés à l’admettre. Il devient autre, physiquement du bébé au vieillard, intellectuellement © 2012 Pearson France – Les nouveaux Bovary –

II°/ L’homme est un homo faber L’homme avant d’être un homo sapiens est un homo faber, telle est la thèse que va défendre Bergson (XX ème) dans son ouvrage L’évolution créatrice : « Si nous pouvions nous dépouiller de tout orgueil, si pour définir notre espèce nous nous en tenions strictement à ce que l’histoire et la préhistoire nous présentent comme la caractéristique constante de l’homme et de l’intelligence, nous ne dirions peut-être pas homo sapiens, mais homo faber. En définitive, l’intelligence

Ce qui distingue l’espèce de la race, c’est que les croissements entre espèces sont inféconds tandis que les croisements interraciaux donnent des produits féconds. Les biologistes s’accordent à penser qu’il existe qu‘une seule espèce humaine (homo sapiens) dont les races constituent des classifications toujours discutables, établies sur la base de traits héréditaires spécifiques .La race groupe des individus qui, vivant depuis longtemps dans le même milieu, se croisent entre eux et présentent une

également. Ils peuplent toute la Terre : il y a environ un million d’années, certains s’installent en Europe, en Asie. Plus on avance, plus, ils vont loin : Amérique, Océanie. • Homo habilis : homme habile, il y a trois millions d’années. • Homo erectus : homme debout, il y a 1,6 millions d’années. • Homo sapiens : homme qui sait qu’il sait, il y a 100 000 ans. Les premières réalisations humaines. Alors que les animaux utilisent des objets comme outils, les hommes ne se contentent pas

fallu conclure que, non seulement le travail est un instinct, mais encore que c'est l'instinct fondamental de l'homme. A ce point que quelqu'un a proposé de qualifier différemment l'espèce humaine; c'est-à-dire qu'au lieu de parler de homo sapiens, on devrait parler de homo laborans. Nos expériences sur ce point revêtent un caractère d'universalité. Nous avons observé, dans nos écoles, des enfants désordonnés, qui renversaient et brisaient tout; des enfants paresseux, inertes, qui dressaient des barrières

On étudie les caractères de primates fossiles et actuels. chimpanzé (de – 4 Ma à aujourd’hui) capacité crânienne moyenne : 400 cm3 australopithèque (de – 4 Ma à – 3 Ma) capacité crânienne moyenne : 450 cm3 Homo habilis (de – 2,5 Ma à – 1,8 Ma) capacité crânienne moyenne : 650 cm3 Homo sapiens (de – 0,2 Ma à aujourd’hui) capacité crânienne moyenne : 1 400 cm3 trou occipital trou occipital trou occipital mâchoire en V canine non saillante mâchoire en V canine non saillante mâchoire en V canine non

pour Descartes. Ces critères seront développés par les naturalistes et préhistoriens au XIXème et XXème siècle. La bipédie permanente et le langage articulé (lié à l’abaissement du Larynx) font passer l’hominidé au stade de l’hominisation à l’homo sapiens Les être humains sont doués d’un langage articulé (langue) (les animaux étant êtres de langage corporel L’invention de la société et de l’individu occidental moderne. 2. Communauté et société : les sociétés moderne des sociétés du contrat naturel

coexisté et qu'elles constituent différents aspects de l'âge. Certaines techniques ont été perdues et, même aujourd'hui, nous aurions du mal à les reproduire. Cela est vrai aussi pour les races : l'homme de Neandertal a coexisté, voir devancé, les Homo sapiens. Le progrès n'est pas linéaire il est la combinaison d'évolutions et de régressions pas forcément toutes dans le même sens. Mais certaines fois l'histoire est cumulative, c'est-à-dire que des découvertes vont dans le même sens et s'additionnent

(“un rocher…”), elles ont simplement une allure plus grandiose, et une charge émotionnelle plus forte. C’est pourquoi l’auteur suggère que les “grandes” religions, même si elles sont apparemment moins anthropomorphiques que celles des premiers Homo-Sapiens (un Dieu unique, immatériel, sans défauts,…) n’en demeurent pas moins justiciables d’une explication psychologique du même genre (il reste un Dieu personnel, qui a “fabriqué” l’univers, et qui se préoccupe du sort des hommes). Dawkins, cependant

bases bibliques -Fixisme et créationnisme : encore défendu par des fondamentalistes religieux  Conception qui s’oppose à l’évolutionnisme. 1/ Carl von LINNE (1707-1778) *Nomenclature binominale ou « Linnéenne » : genre et espèce : ex. Homo sapiens *Espèces : - fruit d'une création divine unique - individus morphologiquement très semblables = conception typologique (pas de variabilité) -> multiplication artificielle du nombre d’espèces - reproduction d'un archétype immuable - espèces