Homo sapiens

vrai d'avec le faux (synonyme de raison chez Descartes). (f) Sens commun : ensemble d'opinions et de jugements reçus dans un milieu déterminé. * homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des hominidés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la

coriaces. Depuis 1600, ce sont les oiseaux et les mammifères qui ont le plus disparu. Les amphibiens sont ceux qui ont connu le moins de perte d’espèces. Nous ne sommes pas les seuls à avoir abîmé la biodiversité : nos ancêtres préhistoriques (Homo Sapiens) faisaient des ravages à chaque fois qu’ils arrivaient dans un territoire. Cela était dû à la chasse, à l’abattage des forêts et aux incendies. A cette époque, ils arrivaient à diminuer la mégafaune (animaux pesant plus de 50kg : mammouths, chevaux

biologique et de diversité, représente la diversité des êtres vivants et des écosystèmes : la faune, la flore, les bactéries, les milieux mais aussi les races, les gènes et les variétés domestiques. Nous autres, humains appartenons à une espèces – Homo sapiens – qui constitue l’un des maillons de cette diversité biologique. Mais la biodiversité va au-delà de la variété du vivant ! Cette notion intègre les interactions qui existent entre les différents organismes précités, tout comme les interactions

pierre taillée alors qu’elle est apparue plus tard dans une société qui avait déjà la pierre polie à l’époque ou les autre n’étaient qu’à la pierre taillée. Les progrès co-existent et se complètent. Ainsi marche les races, homme de néandertal et homo sapiens ont co-exister. Le progrès avance par sauts. Le progrès fonctionne alors comme un cavalier dans le jeu d’échec, li peut avancer mais jamais dans le même sens, le progrès n’est pas un escalier. Chaque société fait des progrès mais différents

connaissance. Qui sert de base à un édifice conceptuel. Synonyme de principe. b) Ce qui donne à quelque chose sa justification, sa légitimité. * homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des hominidés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »).Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature

fonctionnements bien plus démocratiques que certains états ou municipalités actuels. Mais la transmission à l’identique est-elle possible ? Si la réponse était oui, nous continuerions à parler par vagues grognements et borborygmes comme les homo-sapiens ou les homo-erectus…Cela dit, grognements et borborygmes ne sont que des suppositions car nous n’avons jamais retrouvé d’enregistrement des débats de cette époque. Mais, mais, mais, il ne faut pas désespérer, car à contrario, si la Tradition avec

que le prétend Platon dans son mythe, car il possède en plus de son intelligence, une caractéristique biologique spécifique qui lui donne un avantage considérable : la main avec pouce opposable. L’homme est un « homo faber », selon l’expression de Bergson, avant d’être un « homo sapiens ». Il ne possède pas l’instinct de l’animal, sa survie compte alors sur l’intelligence de l’Homme, une intelligence qui peut compenser la faiblesse de ses capacités physiques par la technique. Cette technique lui

squelettes de mammouths et une momie de bébé mammouth “ Dima ”, dans un état de conservation stupéfiant. L’homme et le mammouth ont cohabité pendant des milliers d’années. Les Néandertaliens et les premiers Homo sapiens ont été contemporains du mammouth en Europe. Mais c’est avec Homo sapiens, que, de source de nourriture et de matière première, le mammouth devient support d’art. Des outils nombreux et variés ont été façonnés en os ou en ivoire de mammouth. Certains richement décorés. Les os servaient

six romans de Jean M. Auel  qui raconte le quotidien des êtres humains durant la Préhistoire. La série a été publiée entre 1980 et 2011. L'action se déroule en Europe, 30 000 ans avant notre ère. L’Homo sapiens cohabite avec l'homme de Néandertal. L'auteure met en scène Ayla, une jeune Homo sapiens élevée par des néandertaliens. Ces romans, reconnus comme scientifiquement vraisemblables, mettent en scène des sociétés de la préhistoire, peu connues de nos jours. On peut considérer ces récits fictifs

ancêtres sculptaient déjà de petites statuettes féminines dites vénus, voire «vénus impudiques », frappantes par leurs formes féminines disproportionnées. C'était à l'âge de l'Homo sapiens, et, comme l'activité artistique était apparue à cette époque, il va de soi pour les historiens d'aujourd'hui que l'artiste Homo sapiens était un homme, et que c'est parce qu'il était un homme qu'il s'intéressait aux femmes. Or, nous allons voir que cette évidence peut voler en éclats quand on regarde ces oeuvres