Homologie

homologues car ils ont la meme structure et les mêmes relations quelque soit leur formes et leur fonctions (par exemple le membre antérieur du poisson fossile Eusthenopteron n’assure pas la meme fonction que chez l’homme) . Par conséquent leur homologie témoigne de ressemblances héritées d’un ancetre commun et donc d’une origine commune a tous les vertébrés. Les espèces sont donc reliées par une étroite parenté. Néanmoins les structures anatomiques évoluent au fil du temps que s’il y a une mise

classification de l’espèce? Monophylétique : Groupe qui comprend tous les descendants d’un ancêtre commun et lui-même. Homologie dérivé Polyphylétique : Groupe qui comprend les espèces dont les ancêtres dont les ancêtres les plus proches ne sont pas les mêmes. Analogie Paraphylétique : Groupe qui comprend une partie des descendants d’un ancêtre commun, mais pas la totalité. Homologie ancestrale Phénétique (taxonomie numérique) : Cladistique (Systématique phylogénétique): Taxonomie évolutive

Comparaison de séquences (ADN, ARN, protéines…)4 1.4.2.Horloge moléculaire5 2. La classification phylogénétique6 2.1.Etude des caractères permettant la classification6 2.1.1.Caractères homologues6 2.1.1.1.Définition6 2.1.1.2.Homologie par les connexions6 2.1.1.3.Homologie déterminée par le développement embryonnaire7 2.1.2.Caractères analogues = homoplasie7 2.2.Principe de classification cladistique7 2.2.1.Trouver une référence extérieure au groupe à classer7 2.2.2.Polarisation des caractères7

commune. On parle alors de caractères homologues. Aussi, l'identification de ces caractères constitue un argument en faveur de relations de parenté entre les êtres vivants et donc en faveur de l'évolution. Nous examinerons quelques exemples de ces homologies à l'échelle de l'organisme et à l'échelle moléculaire. A l'échelle de l'organisme La comparaison du squelette des membres antérieurs chez tous les vertébrés actuels, comme par exemple les primates, les cétacés, les chauve-souris, les oiseaux

du chromosome Y. sans homologie avec X. car on note la présence d'une femme malade dans cette famille II 2 ou on indique que l'individu II 3 est un homme et il aurait hérité son chromosome Y. de son père I 1 donc celui-ci serait malade si l'allèle morbide était porté par le chromosome Y. les données de l'arbre nous indiquent le contraire donc l'allèle morbide n'est pas porté par le chromosome Y. 1 point L’allèle morbide est porté par la partie du chromosome X. sans homologie avec Y. alors l'individu

) L’établissement des liens de parenté entre les êtres vivants Que dire de l’observation d’un requin, d’un dauphin et d’un chien ? Ils possèdent des ressemblances multiples dont on doit peser la valeur évolutive : il faut ainsi séparer homologies et analogies. Par » analogues » on rapproche deux structures similaires. Les nageoires caudales des dauphins et requins sont analogues. Par homologues on entend des organes ou des caractères ou des molécules ayant des ressemblances liées

pharmacologiques (4). Chez la souris, la diversité des nAChRs a été bien identifiée (5) reflétant un panel de sous-unités plus important. La localisation des sous-unités dans le SNC est extrêmement variable et conditionne leur association (6). Bien que les homologies de séquences des sousunités soient faibles entre Insectes et Mammifères, la structure tridimensionnelle des récepteurs humains est proche de celle des insectes. Ceci pourrait en partie expliquer les effets délétères de ces produits sur la santé

en grande partie déterminée par son habitus et sa position sociale. Cette idée a été particulièrement développée par le groupe des sociologues de l’INSEP à la fin des années 1970, et notamment Christian Pociello. Selon eux, il y a selon eux une homologie entre l’espace des positions sociales et l’espace des sports. Les goûts, définis par l’habitus, ne sont pour eux pas seulement liés à un critère économique. Ils renvoient surtout à des variables culturelles. Celles-ci sont liées à des différents

des caractères et la notion d’homologie On appelle homologie une ressemblance héritée d’un ancêtre commun. Exemple de l’aile de la chauve souris et de la patte antérieure de la taupe qui malgré des formes et des fonctions différentes sont construits selon un même plan d’organisation. Des caractères anatomiques homologues se définissent donc par une similitude du plan d’organisation et ont été hérités d’un ancêtre commun. Ne pas confondre homologie et analogie qui est une ressemblance non héritée d’un

L’établissement des liens de parenté entre les espèces fossiles et actuelles se fait par comparaison de caractères morphologique, en anatomiques et embryonnaires. En effet l’observation du développement embryonnaire fait découvrir des homologies peu évidentes chez les adultes. Par exemple les embryons de vertébrés présentent, au cours de leur développent, des fentes viscérales semblables à celles qui abritent les branchies des sélaciens (figure2). Figure 2. Source :