Homophonie

avant ses propres qualité et ainsi de gagner la confiance du Roi. Il met de manière concrète en application et se livre à une démonstration du travail poétique dans cette épître : >La virtuosité formelle de l’épître est frappante : rimes léonines (homophonie sur deux syllabes et plus), >équivoquées, c’est-à-dire fondées sur une équivoque, un calembour, sur toute la longueur du poème, composé en rimes plates : « rimailleurs »/rime ailleurs », « rimeur/rime heur »... >A ces rimes équivoquées en fin de

«  Par le bois du Djinn où s’entasse de l’effroi » Hugo( « Parle ! Bois du Gin ! …ou cent tasses de lait froid » Allais.) - Le calembour (et l’à-peu-près ):(mot de Diderot) est un jeu de mots avec un double sens fondé sur une homonymie, une homophonie, une paronymie, une polysémie. Ex : l’amour avec un grand tas, un grand A. - L’à-peu-près est une variété de calembour où la similitude phonique est approximative. Ex : un peu d’Eire , ça vous fait tjrs Dublin : un peu d’air ça vous fait tjrs du

transporter finalement son lecteur insensiblement ds l’univers du rêve? MOUVEMENT : Si le poète n’a pas présenté le poème en mettant en évidence des strophes, on retrouve cpd des unités traditionnelles, des strophes fondées sur un système d' homophonies finales (il a privilégié la continuité à travers la présentation matérielle ( pas de blanc entre les vers) afin de mettre l’accent sur la continuité du texte et suggérer la fluidité). On trouve donc 3 strophes: v1 à 4 : strophe fondée sur l’alternance

avort) une terminaison en -oir indiquuit le lieu. 2.4 -0. MOTS-VALISES Cousin parle aussi de ustagflaaonr (GC-80),unissant en un seul les mots de astagnationn et d'(&dation.. C e prwcédé qui w n a l g u n e [ ...] deux mou sur la base d'une homophonie partielle, de sone que chacun conserve de s a physionomie lexicale de quoi être encore recomurm, produit un effet proche de celui qui résulte d'une syllepse, l s sens d a deux mots se trouvant e liés indissolublement- Cousin parle encore

caractérisé par des strophes hétérométriques combinant un vers en alexandrin suivi d’un vers en octosyllabe. Cette alternance est régulière à travers tout le poème. La régularité est aussi prévalente avec la dynamique des rimes croisées car il y a homophonie AbAb, CdCd, etc. De la même manière, Victor Hugo respecte minutieusement l’alternance des rimes en commençant par une rime masculine puis féminine et ainsi de suite jusqu’à la fin. Bien que ce poème ne présente aucune extravagance au niveau structure

composantes dramatiques du destin d’Emma se trouvent mises en abyme, à un moment clé du récit, par la scène de l’opéra, cette fameuse représentation de Lucie de Lammermoor, qui ouvre la troisième partie du roman sur la valeur prémonitoire d’une sinistre homophonie (l’amère mort). Des romans de Walter Scott, lus par Emma dans sa jeunesse, à l’œuvre dramatique de Donizetti, vue par Flaubert quelques mois avant la rédaction, et de cet opéra au roman luimême, le mythe de la femme mal mariée atteint avec Madame Bovary une

Diapositive 1LEXICOLOGIECours S3M. MELIANIIntroduction généraleLes langues ont depuis toujours bénéficié d’un intérêt grandissant quant à leur élaboration. Leur appréhension s’est développée de la description (philologique et grammaticale) à l’explication (linguistique). Elles ont été investies dans leurs différentes composantes, son et discours, et sens et forme.Le sens a été l’aspect le plus délicat à saisir. Il est véhiculé par les lexies (unités du lexique, mot, expression…) Langue et usages

donc pas une strophe sricto sensu. 3. Structuration des strophes Elle se fait selon trois modalités qui peuvent se superposer en se confirmant les unes les autres, ou diverger, avec des décalages dont s’enrichit l’analyse.  Système des homophonies finales : Les structures de base sont les rimes croisées, les rimes embrassées, les systèmes tripartite (aabccb...) et quadripartite (aaabcccb...), mais on peut distinguer trois types de strophes selon la complexité des combinaisons : – Strophe

sera moins riche que s’il laissait les mots créer leurs propres tissus de relation. Initiative donnée aux mots. p. 92 : il faut tjrs sacrifier le signifié … Exemples : -travail sur les signifiants (mots en appellent d’autres) : calambour homophonie « Saumure/Saumur», « cousin/cousin » (grand insecte)  paronomase, affinité sonore : moule/pu…/vulve dérivation : Corinne -> couleur coralline de ses lèvres, « Corine faisait penser à corail » p264 -travail sur les motifs qui créent des réseaux

logiquement la dernière voyelle accentuée. Ex. [o] dans rameaux/ tombeaux b- La rime suffisante : deux homophonies, soit voyelle+ consonne, ex. (silence/s’avance ; amoureuse/ mystérieuse. Soit consonne+ voyelle, ex. (horizon/ gazon ; cieux/yeux). c- La rime riche : trois homophonies. Ex.( [obr] dans :sombre/ombre). Remarque : Certaines rimes contiennent plus de trois homophonies, on parle alors de rimes plus que riches ou léonines. Ex.( [dezer] dans désert / des airs; [tyrn] dans nocturne