Homophonie

Notre-Dame qu’il a volé. Son nom signifie « Janot du Braquemart », ce dernier mot désigne ordinairement le sexe masculin. Rabelais fait cela pour se moquer de lui mais aussi pour faire rire le lecteur. Gargantua va faire un calembour en homophonie avec la ville Paris : « par ri » lorsqu’il va se reposer sur les tours de l’église de Notre-Dame. Il va leur uriner dessus « pour rire ». D’après Rabelais c’est à cause de cela qu’on appela la ville « Paris ». Durant son chemin pour aller à Paris

Hugo) CONTRE-REJET : l’enjambement s’étend sur tout le second vers. Ex : Ils atteindront le fond de l’Asturie, avant Que la nuit ait couvert la sierra de ses ombres (V. Hugo) 2 — LE S RIMES e t les jeux de so norités RIME : reprise du même son (homophonie) à la fin de deux vers. Une rime peut être PAUVRE (un seul son semblable [vertu/nu]), SUFFISANTE (deux sons semblables [raté/félicité] ou RICHE (au moins trois sons semblables [réussite/plébicite ; félicité/cité]) Rimes PLATES, ou SUIVIES : formule

voix, bêtise, notation cruelle. Cela en dit long sur les capacités intellectuelles de Charles. Il est très passif. Emma, de son côté, recherche à nouveau des sensations «  se rafraîchissait les joues….grands chenets ». Elle recherche la fraîcheur. Homophonie : paume de ses mains // pomme de fer : rappelle le fruit défendu (Adam et Eve). Jeu de mot, clin d’œil. Elle l’invite à croquer la pomme mais lui ne comprend pas. Conclusion : Le récit de cette rencontre entre Charles et Emma est intéressant

Ainsi le marinier souvent pour tout trésor/Rapporte des harengs en lieu de lingots d’or, … » La disposition des rimes : • rimes suivies : schéma aa, bb, cc , – rimes embrassées : schéma abba rimes croisées : schéma abab • rimes suffisantes : homophonie de deux voyelles ; rimes pauvres : identité d’une seule voyelle ; rimes riches identité de trois éléments. • Allitérations et assonances – le compte des syllabes : diérèse (li-on) et synérèse (lion). Les hiatus sont interdits : (rencontre

une métaphore de l’église en ruine et des couleuvres, et en rappelant que l’Espagne est un pays très religieux, ce sont donc les valeurs morales qui s’effondrent. De plus, le verbe au vers 20, « croît », peut être rapproché au verbe croire par une homophonie laissant place à un parallèle plutôt intéressant. En effet, le peuple espagnol semble ne plus croire, avoir la foi en leurs églises, laissant l’herbe pousser sans s’en préoccuper ou en y allant simplement, l’abandonnant. Ensuite au même vers, l’ellipse

Répétition à neuf reprises du nom du bourgeois = volonté de Molière d’insister sur ce nom comique Comique contraste de ce nom avec noblesse des noms de l’aristocratie espagnole(DJuan/ DLouis/ Done Elvire…) Jeux sur le choix des prénoms des enfants = homophonie des prénoms Claudine et Colin= stéréotype de la famille bourgeoise que l’on retrouve d’ailleurs dans une autre pièce de Molière= Georges Dandin Choix du nom du chien « Brusquet » fait référence proverbe populaire : heureux comme le chien de Brusquet

calembours, fondés sur l’homophonie. Frère Jean va modifier l’expression « service divin » en « service du vin » et Gargantua lors de sa venue à Paris dit, avant de noyer les parisiens, « Je vais leur payer à boire mais ce ne sera que par ris » en homophonie avec la ville de Paris (chap. 17 p.155). Chap. 16 p.153 : « je trouve beau ce. C’est pourquoi, depuis lors on appelle ce pays La Beauce » la Beauce. 2) La grossièreté Dans Gargantua, le rire est souvent provoqué par l’évocation des excréments

les deux quatrains, on peut noter la richesse des rimes, à l’exception de « regretter / résister » aux vers 2 et 3 qui sont des rimes suffisantes. En effet, la richesse de la rime dans ce sonnet est prédominante de par plusieurs exemples à trois homophonies ou plus : « chanter/contenter » (v.6/7) ; « entendre/tendre » (v.4/5) ; « espandre/comprendre » (v.1/8). Dans le sizain, on remarque aussi la richesse de la rime à l’exception d’« impuissante » et d’« amante » (v.11 et v.13). C’est avec des consonances

peut également relever le nom « charmes » qui désigne, d'après son étymon latin carmen, un chant magique, une incantation. Il est possible de voir également dans la rime des vers 35 et 36, « couchants » // « champs » une évocation du « chant » par homophonie et paronomase. Le toucher est évoqué discrètement dans le second couplet, à travers l'évocation des meubles « luisants // polis par les ans », et dans le dernier couplet à travers l'adjectif « chaude » qui qualifie la lumière. L'odorat est touché

de la passion amoureuse ( vocatif « O » + ouverture du sonnet · RL du corps et des métonymies · énumération « O » anaphorique · Eros · l'amour est source de souffrance et de déception · enfermement : le rythme régulier monotone / le chiasme · homophonie : mon cœur tâtant /t'attend · hyperbole vers final on est dans la libération et dans la dérision elle prend du recul et elle arrive à la dérision , la dérision libère Sonnet liminaire donc présentation du recueil thématique amoureuse ô beaux