Horace Acte 2 Scène 3

Horace est une tragedie classique du 17eme siecle.Elle est soumise a plusieurs regles provenant d Aristote qui a defini le genre de la tragedie a l antiquite et par la suite Boileau au 17eme siecle quia codifie la tragedie classique(les regles de bienscenance) La piece d Horace reponds au caracteristique thematique et formel propre a la tragedie: -les personnages sont nobles et appartiennnent a la famille royale(les Curiace et les Horace) -La piece qu a ecrit Corneille est forme par des alexandrins

savait aimer et protéger. Dans des passages-clefs, elle décrit une position privilégiée, la vie de ses parents, surtout celle du père et les conséquences directes de la mort de ce dernier. Les thèmes du récit Une peinture sociale Le récit met en scène un monde : celui des petits commerçants de province, du début du siècle à la fin des années soixante. Ce monde a ses rites, ses habitudes, ses coutumes (la foi religieuse : « le signe de croix sur le pain, la messe...») Les habitudes du père sont évoquées

HORACEIntroduction :I- Analyse du tableau « Le Serment des Horaces » Jacques-Louis David, 17851) Faire une brève biographie de l’auteur Jacques-Louis David est né le 30 août 1748 à Paris et est mort le 29 décembre 1825 à l’âge de 77ans à Bruxelles. David est placé au couvent de Picpus jusqu’en décembre 1757 lorsque son père décède. David est alors pris en charge par ses oncles qui remarquent ses dispositions pour le dessin et l’inscrivent à l’Académie de Saint-Luc.En 1764 sa famille prend contact

Arame NDIAYE pouye Dimingua Warigue ndiaye Aissatou Diallo Année : 2012-2013 plan Introduction I. L’auteur 1) La vie de l’auteur 2) Son œuvre II. Résumé de la pièce III. Composition 1) Actes et scènes a. Acte 1 b. Acte 2 c. Acte 3 d. Acte 4 e. Acte 5 IV. Les personnages V. Thèmes Conclusion Introduction L’École des femmes est une pièce en cinq actes et en vers ; elle pose

la pièce Acte I Arnolphe, a toujours eu peur d’être trompé par la femme qu’il épouserait. Cependant, il informe son ami Chrysalde qu’il envisage d'épouser sa pupille, Agnès, qu'il a fait élever, dès l'âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction. Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante. De retour, après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de

fait ainsi office de second père, en manifestant sa toute-puissance. Cependant, malgré une surveillance très présente, l’homme n’est pas à l’abri d’une infidélité de sa femme. Elle cherche parfois la consolation auprès d’hommes plus séduisants. 2. LA PRÉCIOSITÉ Mais, peu à peu intervient une prise de conscience. Au XVIIe siècle, se développe un mouvement de contestation : la Préciosité. Les Précieuses veulent qu’on « donne du prix » à la condition féminine et elles revendiquent l’égalité

Horace de Corneille est une tragédie du genre classique, alors que Dom Juan de Molière est une pièce s’inscrit dans un registre tragi-comique, mélangeant le style baroque et le style classique. Ces différences influencent-elles la règle des trois unités dans la conception des œuvres ? Le temps, l’espace, l’action: dans une quête de vraisemblance 1. l’unité de temps. Dans le théâtre classique s’écoulent deux temps pour le spectateur; le temps de la représentation théâtrale, rythmé

Il fait ainsi office de second père, en manifestant sa toute-puissance. Cependant, malgré une surveillance très présente, l’homme n’est pas à l’abri d’une infidélité de sa femme. Elle cherche parfois la consolation auprès d’hommes plus séduisants. 2. LA PRÉCIOSITÉ Mais, peu à peu intervient une prise de conscience. Au XVIIe siècle, se développe un mouvement de contestation : la Préciosité. Les Précieuses veulent qu’on « donne du prix » à la condition féminine et elles revendiquent l’égalité entre

1640, il aurait fallu qu’à l’acte IV, scène 5 « cette fille désespérée [Camille] voyant son frère l’épée à la main, se fût précipitée dessus ; ainsi elle fût morte de la main d’Horace, et lui eût été digne de compassion, comme un malheureux Innocent »1. De plus, il importait par la suite que « Valère cherche une plus noble voie pour venger sa Maîtresse [Camille] ; et nous souffririons plus volontiers qu’il étranglât Horace que de lui faire un procès »2. Il s’agissait donc à la fois de bienséances

Acte I Scène 1 Sabine est la femme d’Horace et la sœur de Curiace. Julie, la confidente de Camille et Sabine, écoute les malheurs de Camille tout en lui rappelant que désormais elle estRomaine. Scène 2 Camille est l’amante de Curiace et la sœur d’Horace. Camille est dans la même situation ou presque que Sabine. Mais le fait qu’elle ne soit pas mariée à Curiace fait dire à Juliequ’elle peut bien changer d’amant (en pensant notamment à Valère) ce qui la différencie de Sabine. Mais elle