Horace De Corneille

mon ressentiment / Rome à qui ton bras vient d’immoler mon amant / Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore / Rome enfin que je hais, parce qu’elle t’honore ! » Corneille, Horace, Act IV sc. 6. Une gradation : C’est une succession de termes dans un ordre croissant ou décroissant. Ex : « Va, cours, vole et nous venge. » Corneille, Le Cid, Act. I sc. 5. Ex : « Vieux flacon désolé /Décrépit, poudreux, sale, abject » Baudelaire, Le Flacon. Une antithèse : Deux idées opposées sont présentes dans une

{draw:frame}Fiche de lecture Le Cid de Corneille `Le titre de l’œuvre est le Cid, l’auteur est Corneille. dont la première représentation eut lieu en décembre `[1636](http://fr.wikipedia.org/wiki/1636_au_th%C3%A9%C3%A2tre). `Pierre Corneille né à`[`Rouen`](http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouen)`le`[`6`](http://fr.wikipedia.org/wiki/6_juin)` `[`juin`](http://fr.wikipedia.org/wiki/Juin)` `[`1606`](http://fr.wikipedia.org/wiki/1606)`. Aîné des six enfants d’une famille aisée de

doit se dérouler dans un passé lointain. Les deux grands dramaturges de cette époque que l'on retiendra sont : Pierre Corneille qui a écrit : Le Cid (1637), Horace (1640), Cinna ou La Clémence d'Auguste (1641), … . Jean Racine qui réalisa : Andromaque (1667), Iphigénie (1674), Phèdre (1677), … . Pierre Corneille Jean Racine Le héros antique : Le héros tragique est le personnage qui, dans ce registre

Montdory, joue une comédie intitulée Mélite d'un jeune auteur nommé Pierre Corneille. Pierre Corneille (1606-1684) Pierre Corneille est un homme bon et doux, honnête bourgeois, plutôt embarrassé dans le monde, avec une vie aux antipodes des destins passionnés et complexes de ses personnages. Né à Rouen en 1606 d'une famille de magistrats, il fait tout naturellement des études de droit, comme son frère cadet, Thomas Corneille, après avoir suivi un enseignement secondaire jésuite. C'est un avocat piètre

1280 V, 6 Mort d’Hippolyte v. 1527 à 1570 V, 7 Mort de Phèdre v. 1622 à 1654 Lectures cursives obligatoires Deux pièces de Molière au choix parmi Le Tartuffe, L’Avare, L’Ecole des Femmes, Les Précieuses ridicules. Une pièce de Corneille : Le Cid ou Horace Une autre pièce de Racine : Andromaque ou ___________________________ Documents et activités annexes • Etude de l’image : Mise en scène de Phèdre par Patrice Chéreau TEP p. 215. • Projection des scènes étudiées dans la mise en scène

d’illusions. Genres littéraires dominants : poésie lyrique (Théophile de Viau, OEuvres), épique (Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques), théâtre (Pierre Corneille, L’illusion comique). _ le mouvement classique recherche d’équilibre et d’harmonie, rigueur et sobriété, idéal esthétique codifié. Genres littéraires dominants : théâtre tragique (Corneille, Le Cid, Horace... ; Racine, Britannicus, Phèdre...) et comique (Molière, L’École des femmes, Dom Juan...) ; poésie (La Fontaine, Fables) ; littérature d’idées

l’Antiquité et du XVIIème siècle. * Caractère de ce qui est classique. I. Le classicisme littéraire A. La naissance du classicisme B. Les grands auteurs 1. Nicolas BOILEAU 2. Jean RACINE 3. Molière 4. Pierre CORNEILLE C. La raison et les règles 1. La raison 2. Les règles II. Le classicisme artistique A. Les caractéristiques du classicisme 1. La peinture 2. L’architecture 3. La sculpture LEXIQUE Anciens : En Europe

leurs sentiments. Dans Horace de Corneille, Camille n’a pas choisi d’aimer Curiace. Elle l’aimait d’ailleurs bien avant qu’Albe ne devienne l’ennemie de Rome. Entre temps la situation a changé mais l’amour étant un sentiment incontrôlable, Camille n’a pas cessé d’aimer l’Albain. C’est donc l’amour qui est à l’origine de sa tragédie. Les personnages de tragédie peuvent aussi simplement subir les conséquences désastreuses des actes de leurs entourages. Dans Le Cid de Corneille, c’est à cause de son

: répétition d’un mot ou d’un groupe de mots en début de phrase, de vers ou de proposition : « Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! /Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !/ Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore ! » (Racine, Horace)  L’ÉPIPHORE : répétition d’un mot ou d’un groupe de mots en fin de phrase, ex : « Musique de l’eau/ Attirance de l’eau » (courant en poésie)  II. Les figures d’amplification / d’atténuation : Les figures d’amplification consistent à accentuer

Répétition d’un mot ou d’un groupe de mots en début de phrase, de vers ou de proposition : « Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! /Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !/ Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore ! » (Racine, Horace) → L’ÉPIPHORE : Répétition d’un mot ou d’un groupe de mots en fin de phrase, ex : « Musique de l’eau/ Attirance de l’eau » (courant en poésie) → LA RÉPÉTITION : Un même mot est répété plusieurs fois dans le texte, mais les mots répétés sont