Horace

2. Auteurs et oeuvres. Pindare (-518 � v. -438), �pinicies. Horace (-65 � -8), Odes. Dante (1265-1321), La Vita Nuova. P�trarque (1304-1374), Canzoniere. H�lderlin (1770-1843), Po�mes. Lamartine, Les M�ditations po�tiques. Shelley (1792-1822), � une alouette. Victor Hugo, Les Contemplations. Alfred de Musset, Les Nuits. Walter Whitman (1819-1892), Les Feuilles d'herbe. Rainer Maria Rilke (1875-1926), �l�gies de Duino. Apollinaire, Alcools. Aragon, Les Yeux d'Elsa. Alain Grandbois

Agnès, élevée dans un couvent sur ses ordres et gardée dans l’ignorance la plus complête. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, homme raisonable qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été tenue à l’écart des réalités de la vie. Mais Horace, fils d’Oronte (un autre ami d’Arnolphe), est tombé amoureux d’Agnès; il se confie à Arnolphe tout en ignorant que celui-ci est le tuteur de la jeune fille. Il lui dit qu’il lui a fait la cour et qu'il en est aimé. Il se moque aussi de ce monsieur

Les odes  1. Les modèles d'Horace a) Horace est devenu poète lyrique par volonté plutôt que par vocation. Il lui fallait par conséquent des modèles. Or, il n'en pouvait trouver chez les Romains, dont le tempérament positif était peu fait pour ce genre de poésie. Horace s'adressa donc aux maîtres du lyrisme grec. b) Il n'osa pas rivaliser avec PINDARE : il laissa de côté le mètre du poète dorien et n'essaya pas de compositions aussi vastes que les "odes triomphales". Il se contenta de prendre parfois

d'autres noms, sous ceux de ses petits-fils, de sa femme et de sa sœur. Un âge d’or culturel Passée à la postérité sous le nom de « Siècle d’Auguste », cette période faste de la littérature romaine est marquée par les noms des poètes Virgile, Horace, Ovide, Tibulle, Properce, ou encore de l'historien Tite-Live. Tous ces auteurs doivent beaucoup à la protection du fidèle conseiller d'Auguste : Mécène. Introduits auprès du Prince par l'intermédiaire de Mécène, la plupart de ces auteurs sont des

celle de son domaine de Sabine, qu’il décrit par ailleurs (Épître I, 16), et à laquelle il a pu donner un nom tiré de son enfance (cf. entre autres F. Villeneuve, Horace, I, Odes et Épodes, CUF, p. 122). L’objection majeure est que le cours d’eau de son domaine porte un nom, Digentia (aujourd’hui Licenza) et que celui-ci est cité par Horace (Épître I, 18, 104). La discussion reste ouverte. 2. L’offrande à la source (strophes 1 & 2) Les deux premiers vers sont une explosion de joie et d’admiration, rendue

pareils a Harpagon dans L'Avare lorsqu'il perd son argent et se met dans des états pathétiques. Il y a aussi le comique de situation avec tous les quiproquos que Molière arrivait très bien a mettre en place; on peut le voir dans L'Ecole des femmes quand Horace prend pour confident Arnolphe, son rival. Ou encore le comique de mots basés sur un language, certains mots ou expressions qui provoquent le rire. De plus, le theatre a une atmosphere particuliere lorsque le spectateur va y rentrer il sera directement

Nicolas Boileau a écrit « l’Art poétique »qui est inspirée du livre d'Horace sa méthode par Horace et par ses théories par Aristote et surtout un poème satirique qui à son auteur l'espace nécessaire pour exposer ce qu'il juge bon ou mauvais selon les règles classiques [[Boileau s'adresse aux poètes surtout les jeunes pour leur enseigner les règles classiques de l'écriture poétique. L'ordre et la claireté sont les principes du classicisme. Ce poème se considère comme un poème didactique destiné

Appartenant au genre de l’apologue, ses fables mettent en scène des animaux personnifiés dont le seul but est de critiquer la société, tout en échappant à la censure. Ces récits courts en vers sont très prisés par la Cour. «Plaire et instruire» (Horace, «placere et docere»), tel est le but de La Fontaine. En 1669, il publie un roman révolutionnaire, mêlant mythologie et conversations littéraires, vers et prose, parut sous le nom de Les Amours de Psyché et de Cupidon. Suite à cette publication

- émerveillement devant la beauté de la nature ; - révolte devant le caractère éphémère de la vie ; - invitation à profiter des joies de la vie. V. Intertextualité. ● Sources : L’ode du poète latin Horace À Leuconoé, où est énoncée la célèbre formule « carpe diem » (= « cueille le jour », c’est-à-dire « profite du moment qui passe »). ● Relations avec d’autres œuvres de l’auteur : Un autre poème célèbre de Ronsard, Quand vous serez bien vieille

face à l’absence ou à l’éloignement.  Poésie qui parle de poésie et la théorise  Poésie qui propose des formes nouvelles  Poésie qui fait référence à la littérature « palimpsestes »  Poésie contemplative et picturale « Ut pictura poesis », Horace Transfiguration du monde  Louer par l’éloge  Dénoncer par le blâme Poésie Orphique = expression de soi. Dire son monde. Poète exalté Poésie Dionysiaque = transe. Dire un autre monde. Poète inspiré Poésie Apollinienne = harmonie. Dire le monde