Horace

du poète latin Horace : carpe diem, en le traduisant par « cueillez, cueillez votre jeunesse » (v.16) : la reprise du verbe à l’impératif et l’antithèse « jeunesse/vieillesse » à la rime des vers 16 et 17 rendent l’invitation pressante. Cette invitation est implicitement une invitation à céder à l’amour du poète pendant qu’elle est encore jeune et belle. Conclusion Devant le constat de la fuite du temps et de ses dégâts irrémédiables, le poète conclut, à la manière du latin Horace, luimême influencé

peut donc aujourd’hui trouver le repos alors que l’autre n’a rien pour se vanter et reste accroupie qui a une connotation péjorative qui pourrait signifier ici accablée. Quatrième strophe : Nous pouvons observer la notion de «Carpe diem » amenée par Horace. Elle stipule qu’il faut vivre l’instant présent comme demandé à Hélène. Il y a une métaphore entre les roses et la vie : La vie est comparée à une rose, cela insiste sur sa fragilité, sur le fait qu’elle pourrait rapidement se faner. Ensuite le « dès

c’était pour cela que le présent nous échappait. Dit comme cela, nous pouvons bien deviner que nous serions beaucoup plus heureux en vivant l’instant présent.. Introduction : Horace disait déjà un siècle dans son poème à Leuconoé avant J.-C., cueille le jour présent sans te soucier de l’avenir  (Carpe Diem). Dans ce poème, Horace cherche à persuader Leuconoé à ne pas se soucier de son avenir pour mieux profiter du présent. Carpe Diem illustre donc assez bien l’énoncé de Max Frisch. Max Frisch cherche

y retrouve même la répétition du verbe cueillir à l’impératif. De même dans « Quand vous serez bien vieille », on trouve la formule très proche : « Cueillez dés aujourd'huy les roses de la vie. » C’est une traduction de la métaphore du poète latin Horace « carpe diem », qui signifie « Cueille le jour », elle-même reprenant les principes des philosophes épicuriens, préconisant le fait de profiter de l’instant présent. Les roses, qui sont un motif essentiel de la poésie de Ronsard apparaissent plusieurs

fables, nous n’avons pas à choisir entre le « futile » et le sérieux, car elles sont les deux. Elles sont l’art de lier l’utile à l’agréable, entre enseignement et divertissement. Il s’agit de « plaire et d’instruire » comme l’a écrit le poète latin Horace dans son Art poétique, souvent reprise au XVIIe siècle. Leur caractéristique est d’allier légèreté apparente et profondeur inapparente. Ainsi, l’enseignement existe réellement, mais de façon moins flagrante que dans le cadre d’un long récit théorique

-Apostrophes : « oh ! » v 5 et 21 et 49. Ponctuation qui souligne le caractère élégiaque du poème (qqch de triste), son indignation devant la mort et ses doutes. Impératif v 21 ordre au temps, exhortation à profiter au moment présent (comme le carpe diem de Horace). Interrogation : exige une réponse, traduit l'angoisse du poète. -L’opposition des temps verbaux (passé / présent) : le passé évoque le souvenir, l’expérience vécue (strophes 3 et 4). L’imparfait insiste sur la durée des actions et le passé simple

fleur. « fleuronne », « verte nouveauté ». On peut donc penser à la rose du début : toute nouvelle, belle, fraîche. Tout cela permet à Ronsard de donner ce conseil à Cassandre : « Cueillez, cueillez votre jeunesse ». Cela rappelle le poète romain Horace qui avait dit Carpe diem. Vous connaissez Carpe diem ? Profiter du moment. Il l’invite donc de manière très visible de profiter de sa jeunesse (et de se laisser séduire par Ronsard), et donc de ne pas attendre et vieillir, devenir fanée… Dans cette

sommes seuls aujourd’hui, venusDe Naples, non pour voir Baïes et l’entrée des Enfers,Mais pour nous souvenir mélancoliquement. Cueille ce triste jour d’hiver sur la mer grise,Mon amie, ô ma bonne amie, ma camarade !Je crois qu’il est pareil au jourOù Horace composa l’ode à Leuconoé.C’était aussi l’hiver, alors, comme l’hiverQui maintenant brise sur les rochers adverses la merTyrrhénienne, un jour où l’on voudraitÉcarter le souci et faire d’humbles besognes,Être sage au milieu de la nature grave,Et parler

son éclat à l’époque où la fable a été écrite. En effet, le peintre Charles Lebrun, premier peintre du roi et chancelier de l’ Académie de Peinture, redonne à celle-ci un lustre largement national. La fable reprend un thème de l’ « Art poétique » de Horace, une réflexion sur l’ art « Mais, direz-vous, peintres et poètes ont toujours eu le droit de tout oser - Je le sais ; c’est un droit que nous réclamons pour nous et accordons aux autres. Il ne va pourtant pas jusqu’à permettre l’alliance de la douceur

les poètes s’adressent au lecteur ; « Faites… », « Que ton… », « Polissez-le… » Ils veulent en faire un futur apprenti poète. Ces trois textes, composés à des sièclesd’écart, ne trouvent-ils pas leur inspiration dans la poésie antique ? Puisque déjà Horace, poète antique latin, recherchait l’esthétisme, la quête du beau. Une même quête mais trois façons... [à continuer]