Horace

dodécasyllabe ou alexandrin et octosyllabe). B. Une double idéologie 1. Stoïcisme et épicurisme L’épicurisme est une philosophie fondée par le Grec Épicure qui identifie le souverain bien au plaisir. Les deux grands disciples d’Épicure sont les romains Horace et Lucrèce (qui disent « Carpe Diem »). La philosophie épicurienne se nomme le Jardin. En face, Zénon invente le stoïcisme (du grec stoa, le portique). Il s’agit d’une philosophie qui recommande l’effort et la résistance à la douleur. Ces principaux

trivium, premier cycle d'enseignement consacré aux lettres (grammaire, rhétorique et dialectique). Montrant un goût particulier pour la littérature[7], il acquiert une bonne connaissance de la Bible, des Pères de l'Église et de divers auteurs latins : Horace, Lucain, Sénèque (Lettres à Lucilius), Tacite, Juvénal, Perse, Stace, Térence et, surtout, Cicéron, Virgile et Ovide (y compris, de ce dernier, l'Art d'aimer)[8], ce qui fait de lui un parfait représentant des lettrés de son temps.

vers, ces différents extraits partageant de mêmes caractéristiques : thèmes, genre, style, langue, origine géographique de leurs auteurs, etc. CARPE DIEM : Carpe diem (quam minimum credula postero) est une locution latine extraite d'un poème de Horace, un philosophe romain de l'Antiquité. Elle signifie "cueille le jour sans te soucier du lendemain". Son sens a traversé les siècles jusqu'à nos jours sans qu'il soit altéré. RECUEIL : Livre réunissant des écrits provenant de différentes sources

l'imagination qu'il juge trompeuse. Les passions, sources de désordre sont également condamnées par les moralistes comme La Rochefoucauld et La Bruyère ou par le dramaturge Racine. Plaire et instruire : Un des principes majeurs du classicisme est dicté par Horace dans son Art poétique (Ier siècle av J.-C.) : « il obtient tous les suffrages celui qui unit l'utile à l'agréable, et plaît et instruit en même temps.». L'honnête homme : c'est l'idéal social que cherchent à atteindre les courtisans qui veulent

tragédies classiques, le plus souvent tirées de la mythologie grecque ou de l’Antiquité historique. Ce culte transparaît également avec l’établissement des règles classiques, exposées par Boileau dans l’Art poétique (1679) et directement inspirées par Horace et Aristote. On peut également rappeler que la majorité des Fables de La Fontaine sont adaptées de leurs équivalentes antiques, et que même un auteur comique, Molière, s’est inspiré de Plaute.   La définition de tous les genres littéraires : c’est

pas mourir de faim, opposition entre la vie et la mort) au comique et ironique, La Fontaine ne se prend pas au sérieux . Il y a une complicité, familiarité entre La Fontaine, le lecteur et le grand poète Horace (« le bon Horace »v.17). Avec son ironie, La Fontaine rappelle une fable de Horace. Cette comparaison est faite à l’épopée, Le Héron n’est pas une épopée, l’auteur adopte donc un ton ironique. La Fontaine fait le portrait du héron, il s’attache à le rendre ridicule parce qu’il a des travers

Ronsard « allons cueille cueille/les roses les roses/roses de la vie, qui renvoie à « cueillez, cueillez votre jeunesse. Dans son poème on trouve la phrase « cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie » → traduction de la métaphore du poète latin Horace « carpe diem » qui signifie cueille le jour. - Les roses : motif essentiel dans la poésie de Ronsard qui revient dans la 2ème strophe de si tu t'imagines « ton teint de rose » et dans la métaphore filée liée aux « roses de la vie »; Queneau la développe

amoureux. Nous pouvons donc conclure que, bien que très différents, ces textes sont bien des discours de persuasion amoureuse, et que pour les rédiger, leurs auteurs se servent des mêmes éléments. L’expression « Carpe diem » a été instaurée par Horace, c’est une métaphore qui signifie « profite du présent ». Nous allons donc essayer de voir comment chacun des trois textes étudiés définit l’action de « cueillir le jour », en traitant d’abord des similitudes entre les poèmes, et dans un deuxième

complexe fait que le texte est complètement contrôle par l’auteur qu’a pour but d’éveiller la catharsis du lecteur, ainsi la tragédie nous apprend en nous démontrant les conséquences de nos actes les plus terrifiants comme par exemple dans Horace, quand Horace tue le mari et les frères du mari de sa sœur puis sa sœur. La tragédie est un moyen de se divertir en la regardant mais si on pouce plus loin la tragédie nous enseigne par la purgation des passions les plus terrifiant car la tragédie évoque

sa chambre. Malgré les conseils de sagesse prodigués par Chrysalde, Arnolphe, plus que jamais déterminé dans ses projets, donne des instructions drastiques à ses serviteurs qui doivent refouler le jeune prétendant à coups de bâton. * Acte V - Horace rencontre à nouveau Arnolphe et lui explique qu'il est tombé dans le guet-apens tendu par les serviteurs d'Arnolphe, et qu'il n’a eu d’autre choix que de faire le mort pour éviter d'être roué de coups. Mais Agnès, qui l'a rejoint, s’est enfuie avec