Horla Comparaison

alors une tentative de suicide en 1892 en se tranchant la gorge. Interné dans la clinique du docteur Émile Blanche , il décède finalement le 6 juillet 1893 à Paris . Il est enterré au cimetière de Montparnasse à Paris. II Comparaison des textes lus. 1_ Il y a deux textes, à mon avis, où les personnages sont les plus intéressants et les mieux réussis : « Le Loup » et « conte de noël » . Tout d’abord dans « le conte de Noêl » il y a le docteur, le prêtre et la femme hantée

au XIXe siècle par le personnage de Jeanne. Guy de Maupassant a marqué la littérature française par ses six romans comme Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300) comme Boule de Suif en 1880 ou Le Horla en 1887. L’extrait choisi, qui se trouve dans le dernier chapitre de roman, nous montre la visite du château de son enfance appelé « Les Peuples » après l’avoir quitté depuis de longues années. Par le biais d’un narrateur omniscient, on voit les

du livre du narrateur du Horla qui se tournent toutes seules, quand ce ne sont pas des meubles qui quittent, seuls, le domicile de leur propriétaire (Qui sait ? Maupassant). Ce thème récurrent du fantôme (ou fantasme) de l’autre monde recoupe en fait celui du double, l’un des plus fertiles de la littérature fantastique. Il arrive que le triste héros de ces histoires de dédoublement tente de se débarrasser de son double (tentation que connaît aussi le narrateur du Horla), mais alors il se tue

accepté et justifié car le cadre est imaginaire et irréaliste, et l’étrange, dans lequel il est expliqué et accepté comme normal. Maupassant s’appuie bien souvent sur le thème de la peur, l’angoisse et même la folie. Il réunit ces trois critères dans Le Horla, un chef-d’œuvre écrit sous forme de journal où le narrateur relate ses angoisses dues à la présence d’un être invisible. Il laisse le lecteur perplexe en utilisant la folie pour expliquer des faits incompréhensibles: « Alors, j’étais somnambule, je

signifie avoir du temps. Sylvain Tesson dans son livre Dans les forêts de Sibérie, où il raconte son expérience de 6 mois seul dans une cabane au bord d’un lac en Russie, dit “Ici, j’ai le temps de percevoir les nuances de ma tectonique propre”. La comparaison de la tectonique renvoie évidemment à sa propre structure, et à qui il est véritablement. Seul, il constate que la société et les innombrables activités, préoccupations ou possibilités qui en découlent, empêchent un instant de pur repos et d’échange

" apparaît " : le modalisateur est supprimé - " regardant les deux apparitions ", Renée fait un pas en arrière. Cette illusion devient réalité ? - Renée ne se voit pas dans la glace car elle est vampirisé par Saccard et Maxime ( assimilation au Horla ) II - La prise de conscience du rôle complémentaire de Maxime et de Saccard * une prise de conscience, non une simple "vision" : - rapport entre "autrefois" et "maintenant" - " elle le comprenait maintenant, il lui parût grandit " - imparfait

Métaphore : la métaphore est presque comme la comparais mais la comparaison a un outil de comparaison et la métaphore n'en a pas L'hyperbole : exagération Euphémisme : Atténuer la réalité (Il est mort par il est partit) Antithèse : Deux mots apposés qui sont « collés » Personnification : Rendre quelque chose ou quelqu'un humain Anaphore : Répétition d'une même expression ou d'un même mot en début de phrase Gradation : les termes sont de plus en plus fort Allégorie : Personnification d'une

faire quelques rapprochements avec Le Horla à propos du thème du double. Pierre et Jean et Le Horla Le Horla, récit fantastique écrit quelque temps avant Pierre et Jean, est l’histoire d’un être angoissé, tourmenté par son double. Tenter une comparaison entre Pierre et Jean et un conte fantastique peut sembler vide de sens, mais dans ces deux récits aussi différents le « double », un des thèmes majeurs de la littérature fantastique, y est omniprésent. Le Horla est une entité invisible qui se manifeste

personnage, confronté à des phénomènes inexplicables, par le lexique de l'étrange et le champ lexical de la peur. Formes : le registre fantastique est souvent associé à la description dont on observera la valeur subjective et incertaine (onirisme, comparaisons et métaphores témoignant de l'incapacité à cerner le phénomène). Renvoyée au témoignage incertain d'un sujet solitaire (focalisation interne), l'appréciation des faits nous est livrée de manière parcellaire et hésitante. La syntaxe sera pour cela

remarquer en publiant Boule de Suif et devient rapidement un maître incontesté de la littérature française. Malade de syphilis, il est interné à Paris et meurt en 1893. Œuvres principales : Les Contes de la Bécasse, Bel Ami, Pierre et Jean et Le Horla Bel Ami : Bel Ami de Guy de Maupassant, de 1885, raconte l’ascension sociale de Georges Duroy dans le milieu de la presse, alors en pleine expansion, et dresse un tableau satirique de la société parisienne. Georges Duroy arrive à Paris les poches