Horreur

égouts qu'on ne peut pas curer» et que «toutes les horreurs que les romanciers croient inventer sont toujours au-dessous de la vérité. » Nous voyons, à l’analyse de ces 2 extraits que paradoxalement, tout ce qui est d’abord accumulé dans le roman pour faire de lui un ambitieux en cours de réalisation, aura pour effet, de donner plus de force à sa décision finale de s’en aller : «  moi, je vais vivre à la campagne avec ma femme, Paris me fait horreur. » Ce personnage lucide qui connait l’âme humaine

essayant de représenter les choses avec réalisme. Ce tableau se déroule de manière chronologique comme si on voyait le déroulement d'une journée. III)Interprétation -Otto Dix transforme son expérience de combattant en œuvre pour dénoncer les horreurs de la guerre. Tout n’est qu’horreur, violence et mort. Le peintre exprime une vision cauchemardesque de la Première Guerre mondiale. C’est une œuvre engagée. La succession des panneaux marque le cycle d’une journée : 1) La marche vers le front

l'entrée du Conseil de sécurité des Nations unies à New York. Elle y a été placée pour rappeler les horreurs de la guerre. Il est un appel constant, pour nous tous, de l’horreur de la guerre. Pacifiste convaincu, Picasso a toujours pris parti contre les horreurs commises. « Dans le panneau auquel je travaille et que j’appellerai Guernica et dans toutes mes œuvres récentes, J’exprime clairement mon horreur de la caste militaire qui a fait sombrer l’Espagne dans un océan de Douleur et de mort. » Pablo

plus tard dans l'armée allemande où il deviendra mitrailleur. Il a aussi combattu durant la bataille de la Somme. Mais après cette guerre, Otto Dix est traumatisé par les horreurs de la guerre, il en viendra même a faire des cauchemars. Après la guerre, il adopte l'expressionnisme et le collage puis il décida de peindre les horreurs de la guerre notamment « Les Joueurs de Skat», « Le marchand d'allumettes», mais aussi « Rue de Prague». Les sujets des tableaux d'Otto Dix son souvent la mort, la vieillesse

dangereux pour nous. […] ces destructeurs de notre espèce s’égorgent les uns les autres, et nous fournissent un repas somptueux. » Dissertation Pensez-vous que la littérature, ou l’art en générale ait un rôle à jouer dans la dénonciation des horreurs de notre temps ? L’art est la principale activité d’expression humaine qui se présente sous une multitude de formes. Depuis le milieu XVIIIeme siècle l'art est composé de toutes les « belles chose » que l’Homme a réussi à façonner

confrontés trop tôt à une réalité et des responsabilités d’adulte. Pour commencer, nous allons vous parler de la peur que les pères ont de perdre leur identité. Ils se sentent comme des machines et finissent par oublier qui ils sont face à toute cette horreur qu’est la guerre. Ceci se déroule dans un contexte particulièrement affreux. La guerre bat son plein, les soldats sont séparés de leur famille et les morts sont nombreux. Leur vision du monde est totalement détruite et est remplacé par l’horreur qu’ils

entre le héros et le coquin). Héros : demi-dieu aux capacités surhumaines. Coquin : sournois/truand. Le canon participe au spectacle de deux manières : 1-Musique 2- Boucherie (Euphémisme) => expression imagée de la mort. Légèreté du discours [pic] horreur du contenu. Boucherie héroïque = carnage sanglant (oxymore) ; abattage systématique glorifié sous le masque épique. II/ Un texte dénonciateur La Guerre est un fléau absurde, sans justification ni logique

procédé joue un rôle essentiel dans la force de la critique que Voltaire fait de la guerre. Compte tenu de ces caractéristiques, on pourra analyser le texte en prenant pour axes d’étude : - une vision élogieuse de la guerre - l’expression des horreurs de la guerre - la force dénonciatrice de cette double vision 1. Une vision élogieuse de la guerre La guerre est présentée, de manière visuelle et auditive, comme un spectacle merveilleusement ordonné. C’est là la vision de Candide.

largeur. Elle a été crée en quelques semaines, sur commande des républicains pour le pavillon espagnol de l’exposition universelle de Paris de 1937.Cette toile, inspirée du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937, devient le symbole des horreurs de la guerre. Le tableau est composé de couleurs monochromes (blanc, gris, noir) pour symboliser le deuil et la mort. Le tableau nous montre un ensemble de personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être

Hambourg On a quitté Hambourg T'as voulu voir Anvers On a vu qu’ ses faubourgs T'as plus aimé ta mère On a quitté ta sœur, Comme toujours Mais je te le dis Je n'irai pas plus loin Mais je te préviens J'irai pas à Paris D'ailleurs, j'ai horreur De tous les flonflons De la valse musette Et de l'accordéon T'as voulu voir Paris Et on a vu Paris T'as voulu voir Dutronc Et on a vu Dutronc J'ai voulu voir ta sœur J'ai vu l’ Mont Valérien T'as voulu voir Hortense Elle était dans l’