Horreur

le passé familial pour excuser sa propre faute : « Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable / Je péris » : - cf. sa mère Pasiphaë v.249-250 - cf. sa soeur Ariane v.253-254 II- Un chant douloureux a) Horreur et compassion Horreur : « Tu vas ouïr le comble des horreurs », « A ce nom fatal, je tremble, je frissonne », « Contre moi-même enfin j'osai me révolter », « crime », « terreur » -> hyperboles, elle se compare à une criminelle, sentiment de dégoût d'elle-même. Compassion : «

que j’ai fait ». Macbeth : « Tout l’océan du Dieu Neptune arrivera t’il à laver ce sang de ma main ? ». Lady Macbeth : « Mes mains ont la couleur des vôtres ; mais j’ai honte De porter un cœur si blanc».  Scène 3 Macduff : « Horreur ! Horreur ! Horreur… La destruction a produit son chef d’œuvre». Donalbain : « Là où nous sommes, il y a des poignards dans les Sourires des hommes ». Malcolm : « Le trait meurtrier tiré n’a pas achevé sa course ».  Scène 4 Un vieillard :« C’est

204 cm pour le panneau central, 204 cm x 102 cm pour les panneaux latéraux et 60 cm x 204 cm pour le panneau inférieur. L’œuvre est exposé à la gallérie Neue Meister de Dresde en Allemagne. Ma problématique est : Comment Otto Dix montre-t-il les horreurs de la guerre ? Le tableau est composé de 4 parties dont 3 grosses donnant un triptyque. Un triptyque est une œuvre peinte composé de trois panneaux, dans lequel les deux panneaux extérieurs peuvent se replier sur le panneau central. Ce tableau

(1881-1973), sur commande des républicains pour le pavillon Espagnol de l'Exposition universelle de Paris de 1937 (dédiée au progrès et à la paix), Guernica exprime la révolte du peintre espagnol. Cette immense toile monochrome est le symbole des horreurs de la guerre, inspiré du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937, pendant la guerre d'Espagne, par l'aviation nazie, alliée de Franco (1600 morts).  Les personnages sont répartis sur toute la longueur du tableau et se détachent

"AVIS" La nuit qui précéda sa mort (v.1) Fut la plus courte de sa vie L'idée qu'il existait encore Lui brûlait le sang aux poignets Le poids de son corps l'écoeurait Sa force le faisait gémir (v.6) C'est tout au fond de cette horreur Qu'il a commencé à sourire Il n'avait pas UN camarade Mais des millions et des millions Pour le venger il le savait Et le jour se leva pour lui. (v.12) Comment la structure du poème subvertit-elle les significations du mot "avis"? "Avis" est un poème

n’évoque que le coté négatif du combat. Il pense que la guerre est une « Horreur », un « assassinat », une « abominable erreur ». L’auteur fait une comparaison entre le plaisir charnel et le combat. Lorsqu’une personne assiste à une scène de combat, elle découvre ce qu’est vraiment l’horreur, comme si une personne vierge découvrait les plaisirs charnels. « On est puceau de l’Horreur comme on l’est de la volupté.». L’allégorie « Horreur » montre l’importance de ce mot. On peut dire que Céline fait un éloge

Dissertation (plan) Sujet : Pensez vous que la littérature et l'art en général aient un rôle à jouer dans la dénonciation des horreurs de notre temps? Introduction • Phrase d'accroche Si vous vous promenez dans les salles du Louvre, vous rencontrerez au hasard de votre déambulation des œuvres qui célèbreront l'amour et la beauté et d'autres qui dénonceront des massacres comme Les Massacres de Chio de Delacroix • Problématique Peut on dire que l'une ou l'autre de ces

HISTOIRE DES ARTS Thématique 1 : Art du Visuel Les joueurs de Skat : Otto DIX Bazire Juliette 3°C Boné Joseph 3°C Thématique 1 : Art et pouvoirs. Comment les arts témoignent-ils de la première guerre mondiale? Les horreurs de la guerre. Titre : Les joueurs de Skat Peintre : Otto Dix Date : 1922 Technique: Huile sur toile et collage Lieu de conservation : Neue National galerie, Berlin (Allemagne) Dimensions : 110 x 87 cm Période artistique : époque contemporaine Mouvement artistique: expressionisme

C’était un jour de marché : de nombreux animaux sont morts ce jour-là. Les caractères d’imprimerie rappelés par le pelage de l’animal: les informations arrivaient à Picasso par les journaux. Le soldat qui agonise : Le corps est en morceaux : horreur de la guerre et en particulier des bombardements. Les traits sur les bras : blessures. Il tient une épée brisée : c’est l’armée républicaine dont la résistance est brisée. Un fantôme tenant une lampe : Le monde faisant la lumière sur ce qui s’est

documentaire d’investigation est le sujet : il porte sur le réalisateur lui-même et sur ses propres souvenirs. Pour Ari Folman, « le sujet du film, c’est l’amnésie », la mémoire que perdent les soldats quand ils ont été témoins de massacres, toutes ces horreurs que l’être humain préfère oublier, effacer « du disque dur ». Le choix de la mise en scène sous forme de dessin animé est donc tout à fait approprié : C’est une histoire de mémoire et de souvenirs enfouis, d’hallucinations, de rêves, de cauchemars…L’animation