Horreur

informations arrivaient à Picasso par les journaux. • En bas du tableau, un guerrier coupé en deux, main gauche ouverte, main droit crispée sur une arme cassée qui représente l’armée républicaine dont la résistance est brisée. Le corps est en morceaux : horreur de la guerre et en particulier des bombardements. Les traits sur les bras : blessures. • Tout à droite, une femme tombe d’un immeuble en flamme. Ses yeux sont aussi en forme de larmes. Des bombes incendiaires ont été utilisée. Souffrance et désespoir

guerre, réfute l’idée que l’homme soit un « animal raisonnable », ce que semblent d’ailleurs confirmer les textes de Sternberg et de Voltaire, à des degrés divers : on sent chez Sternberg le découragement des intellectuels après les horreurs du XX e siècle, horreurs qu’on retrouve dans le récit effrayant de Jean Hatzfeld, Une saison de machettes où il interroge les auteurs du génocide rwandais. INVENTION Un discours, comme le texte A. Une attaque qui reprend la critique de la guerre dans

replis de son cœur toute les lâchetés’’ (v.1919 – 1920) => éloge du monarque : le roi a un regard essentiel, le pouvoir de découvrir les secrets des cœurs, un attribut divin. -vers 1915 : ‘’amour pour les vrais’’ / vers 1916 : ‘’faux’’ ; ‘’horreur’’ => antithèse : souligne la différence, ce qui est bon est récompensé, le mal est horrifiant. -vers 1918 : ‘’Et de pièges plus fins on le voit se défendre’’ => se moque de Tartuffe, il n’est même pas tellement astucieux. -vers 1919 à 1924 : alternance

nous inspire le phénomène criminel : que nous inspire l'infraction ? Comment bâtir une politique pénale ? L'infraction inspire différents sentiments. L'infraction commise par un délinquant fait peur : elle peut susciter : horreur, angoisse, mépris ou dérision : horreur pour le meurtrier en série, angoisse lorsque l'on parle du terroriste, mépris lorsque l'on évoque l'homme qui est au pouvoir et qui en abuse, dérision enfin lorsque l'on évoque l'action commise par le malheureux. En tout cas, on

bombardement du 26 Avril 1937 de la ville de Guernica par les Allemands. Beaucoup d’esquisses ont été conservé. Le 11 mai, Picasso commença les premières ébauches de composition. Il acheva ce tableau le 3 juin 1937. Picasso a voulu démontrer les horreurs de la guerre avec l’exemple du bombardement de Guernica. Très marqué par la montée du fascisme, Picasso parla de cette époque comme la pire de sa vie. Contexte artistique : D’un point de vue artistique, on observe l’utilisation de formes simples

fuir la guerr Ce tableau est une citation d’un tableau de Francisco de fusillant des civils en Espagne, sous les ordres de Manet, L'Exécution de l'empereur Maximilien Picasso est donc un artiste engagé, travail et rappeler aux spectateurs les horreurs de la guerre. Engagement politique et artistique de Picasso est un tableau de Picasso peint en 1951, dans le style expressionniste de Paris. Il se dégage du tableau une impression générale de désolation, avec des ruines dans le fond. Les ruines

et poètes existèrent. La poésie romantique fait son apparition dans les années 1820 après les chute de l'empire napoléonien, et dure jusqu'en 1850. De 1850 à 1920, la poésie se modernisa et le symbolisme apparue. Ensuite, de 1920 à 1940, après les horreurs de la première guerre mondiale, le surréalisme exista, il laissa plus de liberté aux poètes. Enfin, de 1940 à aujourd'hui, c'est une période moderne avec beaucoup de liberté d'expression. Durant toutes ces périodes, les poèmes en vers sont dominants

musique d'une parade militaire, Ferdinand Bardamu, jeune rebelle, décide, par excès d'héroïsme, de s'engager dans la guerre contre les Allemands. Mais au front, c'est l'enfer et l'absurdité. Il perd vite son enthousiasme et découvre avec épouvante les horreurs de la guerre. Il ne comprend plus pourquoi il doit tirer sur les Allemands. Il prend aussi conscience de sa propre lâcheté. On lui confie une mission de reconnaissance. Lors d'une nuit d'errance, il rencontre un réserviste nommé Robinson qui

souvent appel à la satire et se moque ou critique le sujet qu'elle traite. Par exemple, dans « Le Crapaud », Corbière se moque de la peur injustifiée du peuple envers le crapaud : « - Un crapaud ! - Pourquoi cette peur » v.7 « … Il chante. - Horreur !! - Horreur pourquoi ? » v.11 Ici, Corbière provoque la population en la comparant à des êtres peureux et stupides. De la même manière, Robert Desnos provoque les Chrétiens dans « Notre paire », où il reprend le texte de la bible « Notre père », en hommage

histoire commence à Paris en 1914, où Ferdinand encore jeune et assez naïf, attiré par la musique d’une parade militaire, décide, de s’engager dans la guerre. Au front, c’est l’enfer. Notre personnage perd donc vite son enthousiasme en découvrant ces horreurs. Il ne comprend pas pourquoi les hommes sont aussi cruels et c’est là qu’il commence à réfléchir aux atrocités de la vie, devenant de plus en plus pessimiste et misanthrope. Lors d'une nuit d'errance, il rencontre un soldat nommé Robinson qui cherche