Hotchkiss-Brandt

l’Ouest où on pense que cela peut favoriser la libéralisation du système communiste) et la coopération scientifique reprend, symbolisée par la rencontre spatiale entre Apollo et Soyouz en 1975. b/ En Europe : l’Ospolitik du chancelier de la RFA, Willy Brandt (1969-1973) L’Allemagne, coeur de la guerre froide, connaît elle aussi la Détente. C’est un des aspects fondamentaux de la Détente. Jusqu’en 1967, les relations entre la RFA et ses voisines de l’Est ont été détestables, les deux Allemagnes refusant

réprimé. L’autre alternative consistait à ce que les États occidentaux, notamment la RFA, renoncent à des principes adoptés jusque là, sans qu’ils fussent pour autant payés de retour. Déjà en 1963, Egon Bahr, le conseiller le plus proche de Willy Brandt en matière de politique extérieure, en indiquait la direction par sa formule du « changement par le rapprochement » (Wandel durch Annäherung). La date de l’adhésion à l’ONU des deux États allemands dépendait donc directement de l’évolution du

négociation du côté occidental. 8° Le chancelier Willy Brandt interprète l'accord comme une amélioration des conditions de vie à Berlin , tous d'abord pour évitais a l'avenir d'autres crises , réduire les tensions et donnais au Berlinois une meilleure sécurité de vie , mais aussi une plus grande liberté et une entente entre Berlin-Ouest et et Berlin-Est . 9° On peut établir entre cette accord et l'Ostpolitik un lien de paix , Brandt inaugure avec son « Ostpolitik » la détente avec les pays

que la sidérurgie, la construction navale et l’industrie chimique plongèrent dans une crise profonde. Le gouvernement de Willy Brandt fut effectivement renversé par l’impact de la crise pétrolière autant que par les révélations de l’affaire Stasi qui mettait en cause Günther Guillaume, le proche conseiller de Willy Brandt. En mai 1974, Helmut Schmidt succéda à Willy Brandt après que celui-ci eut offert sa démission à Gustav Heinemann, le président de la RFA. La plupart des gouvernements européens

premiers accords S.A.L.T. qui limitent la quantité de vecteurs de lancement de charges nucléaires (sous-marins, missiles). - II - La détente de 1962 à 1975 La détente permet de consolider le statu-quo en Europe. L’ostpolitik, pratiqué par Willy Brandt (chancelier en 1969) en Allemagne se fait dans le cadre de la détente. Cette ouverture à l’Est, des traités sont signés avec la Pologne, l’URSS et la RDA qui reconnaissent l’inviolabilité des frontières européennes y compris sur l’Oder-Neisse. Le

stabilisation en Europe. Il ne faut pas oublier que l’Ostpolitik du chancelier Brandt s’inscrit dans ce contexte de « coexistence pacifique » d’après la Guerre Froide. A ce moment-là la volonté des Américains et des Soviétiques est d’éviter toute cause qui pourrait les amener à se déclarer la guerre de nouveau. Or, la question allemande reste une cause de conflit d’où la nécessité de la trancher. Cette politique décidée par W. Brandt en 1969 n'a-t-elle pas contribué à l'allègement de l'état de tension qui

Ouest, mais bien le symbole visible de la séparation de deux mondes, deux idéologies. Berlin n'est pas seulement le synonyme du conflit international, elle est également celui de l'évolution des relations entre les pays. Le 28 octobre 1969, Willy Brandt, le chancelier de l'Allemagne de l'Ouest, met en place une nouvelle politique étrangère appelée « OSTPOLITIK ». Cette politique vise à mettre en place un rapprochement et une sorte de détente politique entre l'Allemagne de l'Ouest, l'Union des républiques

au Général de Gaulle en 1969 il doit faire face à une conjoncture nouvelle marqué par une rupture de l’équilibre relatif qui existait jusque là entre la France et l’Allemagne. Un second facteur important est l’arrivée à la chancellerie de Willy Brandt suite aux élections de Septembre 1969. Celui-ci se présente comme un allié fidèle à l’occident cependant il ne cache pas son intention de rompre la ligne politique suivie jusque là par ses prédécesseurs qui se sont rapprochés des alliés pour tenter

La tension entre Etats-Unis et URSS est à son comble. Le 27 juin 1963, le président américain, John F. Kennedy effectue un déplacement à Berlin-Ouest. Il se rend au Mur de la honte en compagnie du très populaire bourgmestre social-démocrate, Willy Brandt, futur chancelier et prix Nobel de la paix. Il prononce alors un discours dans lequel il déclare en allemand: "Ich bin ein Berliner", "Je suis un Berlinois". Une citation, restée fameuse, qui fait savoir aux Soviétiques et au reste du monde que les

l’Europe des l’Est, des démocraties populations sous influence soviétique, liées par le pacte de Varsovie. Question 3. Quelle attitude préconise Willy Brandt, le Chancelier de la République Fédérale d’Allemagne (RFA) vis-à-vis de la République Démocratique d’Allemagne (RDA) ? Dans quel but ? (document 2) – 3 points L’attitude préconisé par W Brandt est celle de la détente, de la coexistence pacifique, et de l’assouplissement des relations entre les deux Allemagnes pour le bien-être de leurs populations