Hôtel-Dieu

Plus que pour tout autre philosophe une biographie de Nietzsche s'impose. Dans Par delà le bien et le mal, il écrit : " J'ai peu à peu découvert ce que toute grande philosophie a été jusqu'à ce jour : la confession de son auteur et une sorte de Mémoires involontaires et insus. Chez le philosophe, il n'y a absolument rien d'impersonnel et sa morale notamment témoigne de façon nette et décisive qui il est ". Ce ne sont bien entendu pas les évènements en eux-mêmes qui intéressent Nietzsche mais l'événement

moribond caressant son tombeau. Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe, Ô Beauté, monstre énorme, effrayant, ingénu! Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ? De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène, Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours, Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! - L'univers moins hideux et les instants moins lourds. Baudelaire, Les Fleurs du Mal

............................ 14 Le retour à Dieu ou le repentir ............................................................................................... 16 La patience (ou l’endurance).................................................................................................. 22 La sincérité (ou la véracité) .................................................................................................... 27 Le contrôle permanent de Dieu............................................

Molière n'a pas inventé le personnage de Dom Juan, il l'a emprunté à la littérature espagnole (tirso de molina, A CITER) et il a repris ce thème dans cette pièce en le développant (éléments nouveaux ect). Cette comédie de Molière est écrite en 1665 et La 1ère représentation de dom juan a lieu le 15 Février 1665. Molière joue le personnage de Sganarelle et le public l'accueille favorablement. Cependant après 15 représentations la pièce est censurée car elle est jugée un peu trop controversée vis

reconnaissance d’un Dieu qui a créé l’univers et le divin s’incarne dans une personne qui est le Christ.Puisque le divin chrétien fonde le monde, la vérité est révélée par la foi. Cette vérité est révélée par quelqu’un d’autre d’où le fait que la conception chrétienne propose d’obtenir son salut par un Autre qui connait mieux que personne.Celui-ci promet une vie éternelle a tout le monde sans exception et vient sauver les gens de la solitude. Par contre, pour avoir ce salut, il faut croire en Dieu, l’aimer

République ». Diderot rend l’autorité de consentement légitime en passant par Dieu B) Il évite la censure : - Dieu est présent dans sa définition de l’autorité, pour lui l’Homme est totalement sous à Dieu. - Personne ne peut critiquer sa thèse puisque l.25 « son maître supérieur » est Dieu. - Il prouve que le roi est inutile l.27 « Dieu, jaloux absolu, qui ne perd jamais de ses droits et ne les communique point ». Dieu ne donne pas ses pouvoirs. * CL de la soumission : l.24 « entièrement »

Le cancre Il dit non avec la têteMais il dit oui avec le coeurIl dit oui à ce qu'il aimeIl dit non au professeurIl est deboutOn le questionneEt tous les problèmes sont posésSoudain le fou rire le prendEt il efface toutLes chiffres et les motsLes dates et les nomsLes phrases et les piègesEt malgré les menaces du maîtreSous les huées des enfants prodigesAvec des craies de toutes les couleursSur le tableau noir du malheurIl dessine le visage du bonheur. Jacques Prevert XXes UnitéPar-dessus l'horizon

Lecture analytique : Lamartine, Méditations poétiques, "Le Lac" 1) Contextualisation : Biographie de Lamartine Lamartine est un poète né à Mâcon le 21 octobre 2790. Il va très vite s'enfoncer dans le culte de la nature. Il va passer son enfance à Milly, ville à laquelle il sera attaché à tel point qu'il en deviendra maire il voyagera beaucoup. Il grandira en idolâtrant Chateaubriand. En devenant maire, il marquera le début de sa carrière politique. Il vit un premier amour avec une certaine Julie

David et Goliath Naissance d'un héros Dans la vallée d'Elah, deux armées étaient prêtes au combat, seule une colline les séparait. La plus grande était celle des Philistins, qui, au surplus, étaient bien armés. L'autre était celle de Saül, roi des Juifs. Subitement, le géant philistin, Goliath, se montra au sommet de la colline et ses paroles eurent la force du tonnerre : « Je défie quiconque de cette pitoyable armée, soit-il roi ou esclave, de se battre avec moi en duel. Le résultat de ce

"un peuple venait acclamer", "la foule comme un fleuve" (notion de nombre de personnes) ; "encens", "une odeur fine de benjoin", "opéra" (un lieu divin). - L’apothéose de Duroy, son triomphe, même Dieu descend pour lui, pour le marier : "sur l’autel, le sacrifice divin s’accomplissait", "l’homme dieu consacre Duroy". C’est sa cérémonie à lui seul, il ne pense pas trop au mariage ("il ne pensait qu’à lui") 2) L’ascension d’un arriviste - Ascension dans le comportement : "lentement", "pas calme"